Salut les pervers,
Cet aprem, l inspiration tapa à ma porte et me poussa à prendre mon sexe pour écrire ces quelques lignes:
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Belle mère laissez moi vous présenter monsieur de…
Voyons mon enfant, tout le monde connaît en ville monsieur de coucounâtes
Madame, je vous salue avec tous les éloges qu’une dame de votre rang mérite
C’est trop d'honneur que vous me faites là mon bon prince
Mais dites moi, que nous vaut l'honneur de votre visite?
Et bien chère comtesse, je viens à vous car j ai ouïe dire que la fellation des tartarini était celle qui se faisait de mieux dans toute la Toscane
C est bien vrai jeune mosquito de amor, notre savoir faire s’hérite de génération en génération et le palpé se fait sur nos aïeux afin d'apprendre à malaxer dans le bon sens.
Mais ce n est qu’à l’âge de 11 ans que nous pouvons l'introduire dans notre bouche et l'humidifier avec notre langue et ce sont des heures de léchage durant des nuits entières pour arriver à maitriser la technique des tartarini.
Une fois assimilée, elle nous permet de faire juter à volonté ces sexes dures et faibles tant que nous le souhaitons, une bonne douche aux saveurs acides et gluantes qui nous collent à la peau et nous poussent à nous toucher pour ne pas mourir d'envie.
Voir le visage du propriétaire se torde de plaisir et de souffrance, et savoir que tout son être réside entre nos mains procure une sensation exquise de saleté.
Mais laissez moi vous en faire la démonstration mon tendre, vous êtes sûrement venu pour y goûter ?
Madame, quel fou oserait refuser une tartaranade de votre part, vos lèvres divines créées pour tartariner à foison sont les péchés que ce monde nous réserve dans ses abysses.
Vos miches, madame, permettez moi d’en parler, de le scander, la vision qu'elles me procurent simplement en les regardant, bien droites, dures comme le pain rassi, ovales comme une poire fraiche du matin façonnée a la main.
Si je m écoutais madame, je les prendrais et torturerais des heures dans tous les sens, mordrais jusqu’à saignement et que le quartier entende vos cris de jouissance.
Une fois les avoir bien léchées de partout, j y poserais mon sexe entre, pour que vous puissiez vous y venger et me rendre toute l'aristocratie que j'y ai consacrée.
Oh oui comtesse, je serai si dure que vous y laisserez vos dents.
Señori Coucounâtes, je vous prie de vous laissez aller à vos démons, je n'en puis plus de vous écouter. Je salive vos mots et en mouille ma culotte, venez à mes miches et jurez-moi d'appliquer le sort que vous leur réservez, jurez de me faire reine, que mes poils s'erectus et que je les tire, TIREeee tireeeeeeeeeeeee à n'en plus finir.
Vite, venez à moi, je n'en puis plus, vous me tuez avec vos yeux qui me dévorent de trop loin, approchez mon brave, approchez, montrez à ma fille comment les coucounâtes savent traiter les dames avec insolence et dégoût.
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Y en a t il parmi vous qui s'adonne aussi à l'écriture ?
Cet aprem, l inspiration tapa à ma porte et me poussa à prendre mon sexe pour écrire ces quelques lignes:
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Belle mère laissez moi vous présenter monsieur de…
Voyons mon enfant, tout le monde connaît en ville monsieur de coucounâtes
Madame, je vous salue avec tous les éloges qu’une dame de votre rang mérite
C’est trop d'honneur que vous me faites là mon bon prince
Mais dites moi, que nous vaut l'honneur de votre visite?
Et bien chère comtesse, je viens à vous car j ai ouïe dire que la fellation des tartarini était celle qui se faisait de mieux dans toute la Toscane
C est bien vrai jeune mosquito de amor, notre savoir faire s’hérite de génération en génération et le palpé se fait sur nos aïeux afin d'apprendre à malaxer dans le bon sens.
Mais ce n est qu’à l’âge de 11 ans que nous pouvons l'introduire dans notre bouche et l'humidifier avec notre langue et ce sont des heures de léchage durant des nuits entières pour arriver à maitriser la technique des tartarini.
Une fois assimilée, elle nous permet de faire juter à volonté ces sexes dures et faibles tant que nous le souhaitons, une bonne douche aux saveurs acides et gluantes qui nous collent à la peau et nous poussent à nous toucher pour ne pas mourir d'envie.
Voir le visage du propriétaire se torde de plaisir et de souffrance, et savoir que tout son être réside entre nos mains procure une sensation exquise de saleté.
Mais laissez moi vous en faire la démonstration mon tendre, vous êtes sûrement venu pour y goûter ?
Madame, quel fou oserait refuser une tartaranade de votre part, vos lèvres divines créées pour tartariner à foison sont les péchés que ce monde nous réserve dans ses abysses.
Vos miches, madame, permettez moi d’en parler, de le scander, la vision qu'elles me procurent simplement en les regardant, bien droites, dures comme le pain rassi, ovales comme une poire fraiche du matin façonnée a la main.
Si je m écoutais madame, je les prendrais et torturerais des heures dans tous les sens, mordrais jusqu’à saignement et que le quartier entende vos cris de jouissance.
Une fois les avoir bien léchées de partout, j y poserais mon sexe entre, pour que vous puissiez vous y venger et me rendre toute l'aristocratie que j'y ai consacrée.
Oh oui comtesse, je serai si dure que vous y laisserez vos dents.
Señori Coucounâtes, je vous prie de vous laissez aller à vos démons, je n'en puis plus de vous écouter. Je salive vos mots et en mouille ma culotte, venez à mes miches et jurez-moi d'appliquer le sort que vous leur réservez, jurez de me faire reine, que mes poils s'erectus et que je les tire, TIREeee tireeeeeeeeeeeee à n'en plus finir.
Vite, venez à moi, je n'en puis plus, vous me tuez avec vos yeux qui me dévorent de trop loin, approchez mon brave, approchez, montrez à ma fille comment les coucounâtes savent traiter les dames avec insolence et dégoût.
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Y en a t il parmi vous qui s'adonne aussi à l'écriture ?
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