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  • Envoyé par kurush75
    Actraiser 2 (Super Famicom) 24.01.21
    Épisode assez décrié car se démarquant radicalement du premier Actraiser en délaissant totalement la partie gestion, Actraiser 2 reste malgré tout un très bon action-platformer.
    Le gros point fort du titre va vous sauter aux yeux dès l'introduction : les graphismes sont absolument magnifiques, parmi les plus beaux de la console ! Sprites très détaillés, des stages qui s'apparentent à de véritables tableaux avec des arrière-plans fournis, ennemis, sous-boss et boss charismatiques à souhait et imposants, il n'y a rien à jeter !
    Les musiques sont également réussies (le ton est souvent très solennel), même si elles n'atteignent pas la qualité de celles du premier opus (made byYūzō Koshiro himself).
    Celles du 2 aussi en partie, mais je plussoie, celles du 1 sont bien meilleures.
    En revanche le 2 est bien plus dur. sur les derniers niveaux, faut se la coltiner la maniabilité..
    La personne la plus detestable, la plus ignominieuse des forums francais.

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    • Mise à jour pour edgar et kurush.

      Enfin mon premier finish de l'année avec Shadow Hearts sur PS2.
      RPG classique teinté de survival horror (sa préquelle Koudelka avait posé les bases question ambiance), on incarne Urmnaf (Yuri en occident), un jeune homme au tempérament rebelle qui va accompagner Alice à travers le monde pour la protéger de plusieurs factions qui veulent l'enlever : le jeu commence dans un train en France, puis on passe par la Chine en pleine occupation japonaise (l'action se déroule au début du 20e siècle), avant de revenir en Europe.
      La particularité du héros est qu'il est un harmonixer, un humain capable de fusionner avec les démons. Plus on avance, plus on récupère des "âmes" élémentaires, qui débloqueront via un combat dans le cimetière (un lieu symbolique primordial dans l'esprit du héros) des fusions plus puissantes.
      Au coeur du gameplay, on trouve la judgment ring, sorte de disque mystique sur lequel circule une aiguille. Pour toutes les actions (attaquer, lancer une magie, etc.) ou certaines énigmes, on devra appuyer au bon moment sur les différentes zones colorées du disque pour valider ces commandes. Le sens du timing est donc essentiel, surtout quand on vise les toutes petites zones qui procurent des coups critiques. C'est un système très intéressant même s'il casse un peu le rythme des combats, et grâce à certains accessoires (ou l'acuponcteur qui peut accroitre l'efficacité des armes et/ou la largeur de leurs zones) on pourra se faciliter la tâche.
      C'est un RPG que j'apprécie énormément, surtout pour sa suite pour être totalement sincère, ses personnages attachants à commencer par le couple au coeur de l'histoire, son ambiance horrifique et son système de jeu qui se démarquait.

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      • Ori and the Blind Forest - Definitive Edition (Switch) 31.01.21

        Ayant fait l'impasse sur les consoles Microsoft depuis la Xbox première du nom, j'attendais les versions physiques sur Switch pour me lancer dans les 2 Ori.
        Je viens tout juste de finir Ori and the Blind Forest (en un peu moins de 9h, j'ai pris mon temps) et je n'ai pas été déçu une seule seconde !!!
        L'intro empreinte de poésie et de mélancolie (façon Là-Haut) marque une belle entrée en matière et ne laisse pas le joueur indifférent. La direction artistique est folle et les compositions envoutantes. L'univers est hyper cohérent (pas sans rappeler certaines productions des studios Ghibli d'ailleurs) et vous transporte littéralement.
        Metroidvania axé sur les phases de plateformes, Ori se paie le luxe d'avoir un gameplay à la hauteur de sa DA et de ses musiques, un sacré exploit. Les compétences acquises enrichissent considérablement le gameplay et, si elles demandent un certain temps d'adaptation, certaines sont jouissives à utiliser : notamment le fait de pouvoir renvoyer les tirs ennemis mais aussi et surtout de les absorber pour se propulser en hauteur. Le jeu prend alors une toute autre dimension ! Le level design hyper maîtrisé permet vraiment d'exploiter toute la palette de mouvements de Ori.
        Le challenge est assez conséquent (je suis mort plus de 300 fois) avec du bon vieux die & retry et le back-tracking sera de rigueur pour gagner de l'Xp, augmenter votre barre de vie, développer votre arbre de compétences, etc. Les saves sont limitées par votre barre bleue, à utiliser à bon escient donc.
        Ori présente malgré tout quelques rares défauts : l'action n'est pas toujours hyper lisible à l'écran (en cause les nombreux effets visuels), les ennemis auraient pu être un peu plus variés, les boss plus nombreux et enfin les mécanismes de progression un peu plus originaux (typiquement quand vous êtes bloqué, il faut en général trouver un ou plusieurs éléments permettant d'ouvrir une porte).
        En conclusion, un chef d'œuvre tout simplement, une expérience à faire au moins une fois si on est passionné de JV !
        Dernière modification par kurush75, 31 janvier 2021, 20h24.

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        • Tu peux enchaîner le 2
          La personne la plus detestable, la plus ignominieuse des forums francais.

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          • Yep ! Je fais une petite pause mais j’enchaîne avec le 2 d'ici quelques semaines.

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            • Mise à jour pour kurush.

              J'ai fini Assassin's Creed III sur PS3, avec toutes les quêtes à 100% de synchronisation, en un peu plus de 40h. En revanche j'ai eu droit au glitch concernant les pivots virtuels à retrouver une fois le jeu fini. Comme beaucoup d'autres joueurs, dans ce "mini-jeu" où l'on doit trianguler des positions avec des pivots pour réduire la zone de recherche du prochain, je me suis retrouvé avec l'un d'entre eux en plein milieu d'un bâtiment donc totalement impossible à collecter... Merci Ubi une fois de plus, pour ce genre d'idée à la noix, et pour ce genre de programmation de haut niveau. Le pire, c'est que si jamais la situation se débloque un jour pour moi, c'est qu'en réalité le glitch aura été déplacé dans la partie d'un autre joueur (c'est un pseudo mode en ligne) qui comme moi n'avait rien demandé.
              Enfin bref, dans ce troisième et dernier (?) épisode autour de Desmond et de ses ancêtres assassins dans la lutte contre Abstergo, l'action se passe aux États-Unis, ce qui nous change énormément après la trilogie italienne. Le point de départ de l'histoire est vraiment intéressant puisque l'on incarne le futur père du personnage principal du III, avec un très joli retournement de situation au moment où l'on passera de l'un à l'autre.
              Pour le reste c'est très classique, la formule ne varie pas des masses, hormis l'introduction de batailles navales franchement peu passionnantes, et la chasse, principale source de revenus. Car contrairement aux épisodes précédents, le fait d'avoir une "villa" de mieux en mieux restaurée de nous octroie aucune entrée d'argent automatique. C'est plus réaliste, mais pour les habitués de la série, là dès qu'on veut acheter une nouvelle arme ou des cartes par exemple, on doit vider ses poches.
              L'histoire principale est plutôt courte ; je me dis que ceux qui font foncer en ligne droite en se fichant des contraintes de chaque mission (faire moins de x morts, réaliser tant d'assassinats aériens, ne pas toucher le sol, etc.) iront très vite. Les contraintes portent d'ailleurs bien leur nom parce qu'elles sont souvent pénibles, mention spéciale à celle de la dernière mission maritime où l'on doit détruire les trois navires d'une manière très précise, alors qu'il est très facile de les couler sans faire exprès (et donc recharger immédiatement le dernier point de contrôle...).
              Globalement j'ai beaucoup moins accroché au personnage de Connor par rapport à Altaïr ou Ezio, mais suivre les aventures de cet assassin Amérindien ne manquait pas d'intérêt.
              Il ne me reste plus que les trois DLC de Washington à faire, je m'étais déjà débarrassé de celui en ligne dès le début.

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              • Bien joué kurush75 pour Actraiser 2, c’est un des jeux les plus difficiles de sa génération je trouve, un véritable enfer, surtout en Hard (crises de nerfs à l’époque...).
                Comme la plupart des gens j’ai une préférence pour le 1er, notamment pour ses musiques et surtout la partie gestion absente dans le 2 (un scandale à l’époque). Mais malgré ça j’ai qd même une certaine admiration pour la réalisation globale du 2, ses graphiques somptueux, sa DA (les boss magnifiques), son gameplay technique et millimétré qui ne laisse aucune place au hasard, et surtout le challenge qu’il propose !
                Entouka GG, tu l’as terminé en quel mode de diff ?

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                • Assez d'accord, je dirais aussi que le maniabilité quand on vole/plane aide vraiment pas.

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                  • - Mortal Kombat (MD) 24.02.2021

                    Mortaaaaaaaaal Kombaaaaaaaaaaat !
                    Hum, nous voici donc en face du portage du jeu de combat le plus gore de son temps. Il s'était bien sûr fait un nom avec cela dans le petit monde de l'arcade. Quel ne fut pas le choc à l'époque, quand dans la salle où j'allais, mon tout mignon Wonder Boy III avait été remplacé par ce jeu aux bruitages exacerbés et aux flots d'hémoglobine incessants. Hélas, il y avait un attroupement permanent et il faudra attendre quelques jours pour enfin me frayer un chemin jusqu'à la borne et me prendre mes premières raclées.

                    Un an plus tard le jeu est adapté sur les deux stars des salon, la Super Nintendo et la Mega Drive. Et là, inutile de se voiler le face. Encore plus que pour l'écart Street Fighter II Turbo / Street Fighter II', ici on a limite l'impression qu'il y a une génération d'écart.
                    Les stages de cette version Mega Drive sont bien vides, les personnages ont rétréci, les bruitages et voix simplifiés au-delà du raisonnable. Bref, une sous-version... heureusement sauvée par le fameux Kode ABACABB.
                    Cela reste dans tous les cas très inférieur à la version Super Nintendo, mais quand on est en 1993 et que le jeu est hypant au possible, cela fait toute la différence.

                    Pour terminer, un mot sur les musiques. Je les trouve très réussies, mêmes si elles s'éloignent un peu de la version arcade. Par contre chose curieuse, que ce soit sur Mega Drive, Mega CD ou Super Nintendo, les musiques ne sont pas associées aux bons stages : à chaque fois on a une combinaison différente, et à chaque fois c'est erroné.

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                    • Mortal Cambadélis, le mec qui a mis le parti socialiste au fond du pit trou

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                      • Mise à jour pour Tarma.

                        J'ai fini les deux premiers épisodes de La Tyrannie du roi Washington, le DLC le plus important d'Assassin's Creed III.
                        Un peu étrange puisque cela place le héros dans un univers où il n'aurait jamais quitté son village indien, donc n'aurait jamais pu suivre sa formation d'assassin, aux prises avec un George Washington qui aurait pété un câble à cause du pouvoir d'un sceptre (avec la pomme d'Eden insérée) et qui se met à conquérir le pays au lieu de le libérer. Je verrai s'il y a une vraie explication à la fin de la troisième partie, car le héros semble autant déstabilisé que le joueur tellement c'est incohérent. Il a tout son savoir du jeu principal (ses techniques, son éducation, ses souvenirs) alors que les autres personnages le rencontrent visiblement pour la première fois.
                        Cette situation type univers parallèle est l'occasion d'octroyer des pouvoirs animaux au héros : un loup permettant d'être invisible momentanément, un aigle ultra over méga pratique pour se déplacer vite fait (surtout après le premier épisode où on a de la neige jusqu'aux cuisses donc on passe son temps à appeler des chevaux pour ne pas passer trois heures à traverser la carte), et d'après ce que j'ai lu, un ours dans le prochain.
                        Comptez entre deux et trois heures par épisode pour tout faire.

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                        • Mise à jour.

                          Entre deux parties d'Assassin's Creed III, j'ai fini ACA Neo·Geo: Real Bout sur PS4. Je l'ai toujours préféré à Fatal Fury 3, mais là un point m'a tout de même "choqué" entre les deux : le changement des touches de coups, qui passent à seulement trois (poing, pied, coup fort). J'ai toujours été davantage un adepte d'une séparation HP/HK donc j'ai dû reprendre mes marques et me retenir d'appuyer sur la quatrième touche qui sert désormais aux passages entre les différents plans de combat. On sent qu'ils ont voulu simplifier ces passages, mais je regrette malgré tout ce choix (surtout que je ne m'en sers pratiquement jamais, quel que soit l'épisode).
                          Après j'ai été au bout assez vite, juste un peu buté sur Mai, Kim et Yamazaki.

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                          • - Grandia HD Remaster (PC) 12.02.2021

                            Il existe des jeux qu'on avait adoré à l'époque à laquelle on y avait joué, Grandia est de ces jeux-là.
                            Et il existe aussi des jeux qu'on avait adoré à l'époque à laquelle on y avait joué et qu'on n'aurait pas dû ré-essayer 20 ans plus tard, Grandia est aussi de ces jeux-là....

                            Nos madeleines à nous qu'on aurait dû garder en mémoire avec les souvenirs de l'époque, mais que j'ai personnellement altérées en voulant me refaire ce petit revival émotionnel. Déception.

                            Grandia est un très bon jeu, attention, mais qui souffre le poids des années comme rarement. Il m'a fallu plus de la moitié de l'aventure pour m'y mettre pleinement et commencer à ré-apprécier le mythe.
                            Surtout que le remaster souffre de quelques défauts (framerate, transitions CG buguées,...).

                            Tout le monde connaît Grandia j'imagine donc je n'aurai rien de plus à ajouter sur le jeu en lui-même, c'est un très bon RPG d'il y a plus de 20 ans.
                            le paradoxe féminin

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                            • Mise à jour pour Amano.

                              Raah mais pourquoi ils ne le sortent pas sur PS4 ce Grandia HD Remaster ?
                              Je serais ultra chaud pour y retourner malgré les années.

                              Là j'ai entamé Tengai Makyô 4th Apocalypse sur Saturn d'ailleurs, et je kiffe toujours autant.

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                              • Merci pour la màj

                                Une série que j'aimerais bien essayer un jour ces Tengai Makyô ! Y'a eu des versions US ?
                                le paradoxe féminin

                                Commentaire

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