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    J'ai fini Garô Densetsu Special sur Neo·Geo, la version finale du 2 pourrait-on dire, avec des ajustements (enfin les enchaînements !), la possibilité de jouer avec les bosses et quelques personnages en plus.
    Un incontournable de la machine. Difficile de retourner au(x) précédent(s) quand on a goûté à celui-ci tellement il est complet.
    Pour avoir récemment rejoué au 2 (sur PS4), j'ai pleinement apprécié l'évolution.

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    • Ce jeu est tellement une bombe ! Je n'avais jamais accroché jusqu'au jour où j'ai pu enfin y jouer à 2, et là, la révélation !
      Dans mon top vs Neo
      le paradoxe féminin

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        • J'adore ce jeu. Pour toujours.

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          • King of the Monsters (Neo.Geo) 02.02.19

            King of the Monsters se situe à mi-chemin entre un jeu de monstres et et un jeu de catch (il faut réussir à maintenir son adversaire au sol durant 3 secondes pour l'emporter).
            Typiquement japonais dans l'esprit, on y incarne un gigantesque monstre (dont le sprite aurait d'ailleurs gagné à être un peu plus imposant) parmi 6 : un dinosaure rappelant furieusement Godzilla, un golem de pierre de l'Egypte Antique, un ersatz de King Kong, une espèce de scarabée géant, un monstre tout droit sorti des égouts et enfin une sorte de clone de Captain America. 6 villes japonaises font office de terrain de jeu (Kobe, Tokyo, Kyoto, Osaka, Hiroshima, Okayama) et elles sont à peu près entièrement destructibles. Très fidèlement représentées, elles sont assez facilement reconnaissables (par exemple le port de Kobe, la Tokyo Tower, le Osaka-Jo, le palais impérial, Kinkaku-ji et le Kyomizu-dera pour Kyoto, etc) et c'est un réel plaisir que d'envoyer son adversaire valdinguer dans un édifice historique et de raser une ville entière ! On peut même détruire des shinkansen, voire même utiliser des véhicules de l'armée pour s'en servir de projectiles. La maniabilité des monstres est assez lourde. Les commandes restent assez basiques, malgré la présence d'une attaque spéciale à distance et de 3-4 chopes par perso (dont le système de priorités me parait assez nébuleux...). En ramassant 10 pastilles "P" (pour "Power") qui s'obtiennent en ayant réussi une projection, on peut faire monter de niveau son monstre (jusqu'à 2 fois).
            Pour plier le mode arcade, un peu à la manière d'un 2nd loop sur un shmup, il faut finir 2 fois les 6 villes du jeu. Heureusement, les conditions climatiques varient lors de la seconde itération (sous la neige, de nuit, etc.) ce qui apporte un peu de variété. Cela dit, le tout reste assez lassant et frustrant, d'autant plus que le CPU est compliqué à mettre au sol, il faudra le plaquer à au moins 2-3 reprises pour l'immobiliser.
            King of the Monsters reste malgré tout un assez bon jeu, notamment pour son ambiance typiquement japonaise. Il est assez largement supérieur à sa suite, que je tâcherai de finir prochainement (ce qui ne sera pas une mince affaire !).


            Nekketsu Oyako (Saturn) 02.02.19

            Délire typiquement nippon pour ce beat them all made by Techno Soft qui se déroule dans un Tokyo futuriste. Au programme, 3 persos aux caractéristiques techniques différentes (Power/Speed/Skill) qui semblent s'inspirer de Bare Knuckle et/ou Final Fight (Rando est un clone éhonté de Haggar). Le gameplay repompe également celui de Bare Knuckle avec un bouton d'attaque, un bouton de saut (présence d'un double saut), un coup ultra puissant en appuyant sur C (il ne consomme de la barre de vie que s'il touche un ennemi aux alentours) et des attaques spéciales à base d'arc de cercle. Il est malgré tout beaucoup plus approximatif que dans le titre de Sega. Les musiques sont dynamiques à souhait et les niveaux très colorés, à condition d'aimer les teintes roses (cf 1er stage). Le jeu vaut surtout le détour pour son ambiance débridée et certains stages totalement WTF (notamment celui où l'on combat dans les entrailles d'une baleine, avant d'être recraché par cette dernière et de finir le niveau sur son dos). Dommage que les développeurs n'aient pas maintenu le même niveau d'originalité sur tout le jeu, le dernier niveau étant particulièrement peu inspiré, avec une reprise des boss des stages précédents... Nekketsu Oyako reste malgré tout une curiosité sympathique, à tester au moins une fois.


            Tenchi wo Kurau II (Saturn) 03.02.19

            Un très bon beat them up à l'ancienne made by Capcom qui a l'avantage de sortir un peu des sentiers battus puisqu'il se situe en pleine Chine Ancienne. Dès l'écran de sélection, le titre marque par sa générosité avec 5 persos disponibles, dont un épéiste, un chopeur et même un archer ! Les mouvements sont assez basiques, malgré la présence de quelques manips spéciales (à base de charge bas puis haut + attaque). Côté items, des épées énormes, des haches, des masses qui permettent de stunner les ennemis. On peut également monter à cheval, bien pratique pour faire le ménage et charger dans le tas ! Le soft est juste violent comme il faut, avec des gerbes de sang et des ennemis que l'on peut trancher à foison (voire même décapiter pour le boss final). Techniquement, c'est très propre, le CPS-2 fait le boulot (la conversion Saturn de l'arcade est parfaite), les graphismes sont fins et détaillés, les environnements variés (forêts, rivières, palais, bataille navale, etc.), le tout restant très fluide malgré souvent la présence de 5-10 ennemis à l'écran. La générosité se retrouve également dans la durée de vie avec 9 stages qui se plient en une grosse heure (et 2 stages bonus très typés Capcom, dévorer une assiette remplie de victuailles plus rapidement que son adversaire, puis détruire des statues en un temps imparti). Bonne idée de ce portage, le nombre de continues est limité, ce qui apporte un petit peu de challenge. Seul véritable reproche, les musiques (assez épiques) se ressemblent un peu toutes et ne sont pas très marquantes...

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            • Salut Shu et bonne année à toi.

              Dans ta mise à jour tu as omis mon Batman!
              Si t'as une minute ca serait cool que tu me l'ajoutes

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              • - Spyro le Dragon (PS4) 05.02.2019

                Premier épisode de Spyro Reignited Trilogy, je l'ai fini à 100% en une petite vingtaine d'heures en trouvant tous les dragons, toutes les pierres précieuses et tous les œufs. J'avais un bon souvenir de ce jeu, le seul que j'ai fait sur PlayStation à l'époque (1998). Je n'ai pas fait les deux autres, étant parti du côté de la Dreamcast par la suite.
                Pour en revenir à ce premier Spyro, c'est vraiment joli, comme dans mes souvenirs (j'ai revu une vidéo de l'original sur YouTube, ça pique les yeux). La caméra reste problématique, même en mode automatique. Elle a beaucoup de mal à suivre notre vaillant petit dragon et se retrouve facilement coincée par un élément du décor. On meurt donc parfois sans voir où on est, génial... Enfin, c'est toujours mieux que sur la PlayStation où il fallait la recentrer avec R1 et L1. En plus, ces mouvements de caméra fatiguent à la longue, me donnant parfois carrément le mal de mer.
                Bref, moins mythique (pour moi) que Crash Bandicoot, cela a été tout de même un très bon moment même si le maniement a pas mal vieilli.

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                • - Old School Musical (PC) 09.02.2019

                  Un rythme game scénarisé typé old school (avec musiques typées chiptunes).
                  Plutôt facile et instinctif. Pas mal d'humour et de références. Il lui manque peut-être quelques sons qui font comprendre au joueur qu'il a appuyé sur la touche.
                  Sinon c'est plutôt bien fait.

                  - Resident Evil 2 (PC) 10.02.2019

                  J'ai adoré ce remake. Capcom n'a pas dénaturé son œuvre d'origine. Mise à part certaines textures douteuses (même avec toutes les options graphiques à fond), c'est très beau et je valide le nouveau chara-design des personnages ainsi que les nouvelles phases de gameplay. L'ambiance est top. La prise en main s'est assouplie sans donner trop de liberté au joueur et c'est très bien comme ça. Ça nous permet d'être terrifié à chaque fois qu'on croise un ou deux lickers (ces derniers sont extrêmement bien rendus soit dit en passant).
                  J'émettrais quelques réserves sur la partie BGM. En effet, l'absence des thèmes cultes de la version PS m'a un peu déçu (celles du commissariat et des save rooms en tête).
                  Aussi il manque quelques bestioles emblématiques comme les araignées géantes. Dernière ombre au tableau, on ne peut plus écraser les zombies au sol avec les pieds (mouvement pourtant dispo dans le jeu d'époque).

                  Après avoir fini les deux scénarios, on débloque le mode 4ème survivant avec Hunk. Pas encore testé mais CAPCOM va aussi mettre en DLC gratuit mettant en scène de nouveaux persos.
                  Si jamais c'était le début d'une longue série, le jeu aurait encore de beaux jours devant lui (on peut rêver).
                  Dernière modification par Raphoon, 10 février 2019, 23h03.

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                  • 10/02/2019, Shadow of the Colossus (PS2).

                    Fini en mode normal, sans prendre de lézard ni de fruit, surtout par ce que je me suis rendu compte qu'on pouvait les prendre rendu aux trois-quarts du jeu...

                    Le jeu est bon, je n'irais pas dire le contraire, mais je n'ai pas du tout ressenti les mêmes sensations qu'avec Ico, sont grand frère spirituel. Car si l'épure (pas de level up, pas d'inventaire, pas de point, pas de barre de vie...) d'Ico était compensée par une narration ( où on ne comprenait pourtant pas une ligne de dialogue au 1er run du jeu!) prenante et une contemplation poétique certaine, le monde ouvert de Shadow of the colossus m'a laisser plus dubitatif.

                    Le concept du "Jeu de boss" (16 colosses tous bien différents à affronter) peut séduire, mais le jeu n'a rien à vous proposer entre chacun d'entre eux, à part d'inutile galopade sur votre epona du pauvre, et quelque passage plate-forme pour atteindre les colosses, qui eux même sont à battre en grimpant dessus générallement: bonjour la redondance...

                    Si les deux jeux partagent un objectif simple ( s’échapper avec la princesse dans Ico, tuer les colosses pour réssussité la princesse dans SOTC), Ico avait du moins le mérite de proposé un challenge un minimum différent à chaque "niveau" ( le plus souvent a base de mini énigme), de ménager plusieurs feinte pour te faire croire que tu peux enfin t’échapper de cette enfer, une fausse fin, etc. Dans SOTC, le procéder est toujours le même : atteindre le colosse, tuer le colosse, respawn devant l'autel où ta dulcinée atteint sa résurrection, reprendre ton cheval et allez jusqu'au prochain colosse.

                    Si la friandise proposée c'est à quoi va ressembler le prochain boss, et comment ont doit faire pour le tuer, le jeu n'est pourtant pas capable de se réinventer complétement, et le principe reste le même. On ne comprend rien au rare cinématique censés nous en apprendre plus sur les motivations/ le passé du héros, le background de ce monde qui semble très mystérieux, et dont on peut s'amuser à essayer de le reconnecter à Ico, ce qu'on nous incite fortement à faire... Je suis pourtant le premier à applaudir quand le jeu vidéo s'essaye pleinement à être un art, mais trop de mystère et de possibilité d'interprétation ouverte vous ôte le plaisir de chercher le sens, puisqu’en fait, il n'y a peut-être rien à trouver
                    Et du coup, très peu d'empathie pour le héros, limite beaucoup de sympathie pour les colosses qui ne t'on rien fait^^" , gros point noir vie à vie d'Ico qui m'avait saisi de bout en bout.

                    Les colosses restent très impressionnants, la PS2 crache ses tripes, les ralentis sont rare et l'effet brouillard faible. Quand on pense qu'ils ne peuvent pas être plus gros, le jeu te détrompe avec des bosses à plusieurs étages et te surprend un peut avec d'autres tout petit mais également redoutable.


                    J'irais peut-être me frotter au mode hard et au times attack ,petite surprise qui le différencie de Ico et lui offre une rejouablilité supérieur (les deux jeux sont très court, moins de 10H00 chacun). Je ne pense pas quand même que je m'y remettrais avant un moment. Un bon jeu, peut être pas un très grand jeu.

                    Je ne sais pas encore qu'elle sera le prochain jeu sur ma liste sur PS2, peut être un tactical, histoire de se reposer un peu^^
                    Dernière modification par megaman, 11 février 2019, 20h43.

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                    • Envoyé par megaman
                      10/02/2019, Shadow of the Colossus (PS2).

                      Fini en mode normal, sans prendre de lézard ni de fruit, surtout par ce que je me suis rendu compte qu'on pouvait les prendre rendu aux trois-quarts du jeu...

                      Le jeu est bon, je n'irais pas dire le contraire, mais je n'ai pas du tout ressenti les mêmes sensations qu'avec Ico, sont grand frère spirituel. Car si l'épure (pas de level up, pas d'inventaire, pas de point, pas de barre de vie...) d'Ico était compensée par une narration ( où on ne comprenait pourtant pas une ligne de dialogue au 1er run du jeu!) prenante et une contemplation poétique certaine, le monde ouvert de Shadow of the colossus m'a laisser plus dubitatif.

                      Le concept du "Jeu de boss" (16 colosses tous bien différents à affronter) peut séduire, mais le jeu n'a rien à vous proposer entre chacun d'entre eux, à part d'inutile galopade sur votre epona du pauvre, et quelque passage plate-forme pour atteindre les colosses, qui eux même sont à battre en grimpant dessus générallement: bonjour la redondance...

                      Si les deux jeux partagent un objectif simple ( s’échapper avec la princesse dans Ico, tuer les colosses pour réssussité la princesse dans SOTC), Ico avait du moins le mérite de proposé un challenge un minimum différent à chaque "niveau" ( le plus souvent a base de mini énigme), de ménager plusieurs feinte pour te faire croire que tu peux enfin t’échapper de cette enfer, une fausse fin, etc. Dans SOTC, le procéder est toujours le même : atteindre le colosse, tuer le colosse, respawn devant l'autel où ta dulcinée atteint sa résurrection, reprendre ton cheval et allez jusqu'au prochain colosse.

                      Si la friandise proposée c'est à quoi va ressembler le prochain boss, et comment ont doit faire pour le tuer, le jeu n'est pourtant pas capable de se réinventer compléter, et le principe reste le même. On ne comprend rien au rare cinématique censés nous en apprendre plus sur les motivations/ le passé du héros, le background de ce monde qui semble très mystérieux, et dont on peut s'amuser à essayer de le reconnecter à Ico, ce qu'on nous incite fortement à faire... Je suis pourtant le premier à applaudir quand le jeu vidéo s'essaye pleinement à être un art, mais trop de mystère et de possibilité d'interprétation ouverte vous ôte le plaisir de chercher le sens, puisqu’en fait, il n'y a peut-être rien à trouver
                      Et du coup, très peu d'empathie pour le héros, limite beaucoup de sympathie pour les colosses qui ne t'on rien fait^^" , gros point noir vie à vie d'Ico qui m'avait saisi de bout en bout.

                      Les colosses restent très impressionnants, la PS2 crache ses tripes, les ralentis sont rare et l'effet brouillard faible. Quand on pense qu'ils ne peuvent pas être plus gros, le jeu te détrompe avec des bosses à plusieurs étages et te surprend un peut avec d'autres tout petit mais également redoutable.


                      J'irais peut-être me frotter au mode hard et au times attack ,petite surprise qui le différencie de Ico et lui offre une rejouablilité supérieur (les deux jeux sont très court, moins de 10H00 chacun). Je ne pense pas quand même que je m'y remettrais avant un moment. Un bon jeu, peut être pas un très grand jeu.

                      Je ne sais pas encore qu'elle sera le prochain jeu sur ma liste sur PS2, peut être un tactical, histoire de se reposer un peu^^
                      J'ai lu ton avis... Je pense que ton point de vue s'explique par le fait que tu as joué d'abord à Ico.
                      Perso, j'ai préféré SotC... c'est aussi mon premier Ueda. J'ai ensuite joué à Ico, et j'ai clairement moins accroché...
                      Comme quoi, ça ne peut pas plaire à tout le monde. J'ai par contre, beaucoup apprécié ton avis sur le jeu, même si tu as été déçu. Ça a le mérite d'être argumenté

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                      • NEO XYX (Dreamcast) 10.02.19

                        Un manic shooter à l'ancienne, réalisé par la NG Dev Team et qui rend hommage à ce genre né au début-milieu des années 90. Niveau gameplay, c'est du classique puisqu'il reprend les commandes de la série des DonPachi : tir simple, tir concentré (la contrepartie étant que le vaisseau se déplace plus lentement dans ce mode) et smart bombs. Dommage par contre que les tirs ne soient pas upgradables... Les smart bombs sont hyper utiles comme dans tout bon danmaku qui se respecte et on peut en récupérer de nouvelles en récoltant 6 fragments, ce qui nous pousse souvent à prendre des risques inconsidérés !
                        Côté graphique, on retrouve la patte de la NG Dev Team; certes, on a vu bien mieux sur le support (les arrière-plans sont désespérément fixes) mais ils sont très colorés et le design général est d'assez bon goût. Les ralentissements sont quasi inexistants (un comble pour un danmaku) et il faudra s'habituer à la vitesse des boulettes, qui déferlent à toute allure (heureusement la hitbox est très réduite).
                        La durée de vie est hyper courte, comptez une vingtaine de minutes pour venir à bout des 6 stages. Par contre, c'est de l'action non-stop qui ne laisse pas une minute de répit au joueur, constamment sur le qui-vive. Et le développeur a eu la bonne idée de limiter le nombre de crédits à 7-8 de mémoire, si bien que vous n'en viendrez pas à bout lors de vos premières parties, le temps d'apprendre les passages chauds et les patterns des boss.
                        La musique, teintée d'electro-rock, est de très bonne facture (comme souvent avec les productions NG Dev). A noter que le jeu peut se jouer en tate (pas très pratique cela dit de décaler mon Sony Trinitron de 90° vu qu'il pèse un âne mort).

                        En bref, un danmaku qui ne prend pas trop de risque mais de (très) bonne facture, peut-être un cran en-dessous d'un Razion mais très largement supérieur à un Fast Striker par exemple. Signe qui ne trompe pas, j'y reviens avec plaisir !

                        Pour ceux qui ne connaissent pas et qui voudraient voir à quoi ça ressemble, un longplay sur Dreamcast : https://www.youtube.com/watch?v=J_U3KBfkf2o

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                        • Mefffisto: je suis d'accord qu'en matière de série ( surtout, quand elles sont bien original) il y a une "prime à la nouveauté", et que j'aurais sûrement bonifié SOTC si j'y avais joué en premier.

                          Ceci étant, je maintient que même en inversant la découverte, j'aurais offert ma préférence à Ico, tout simplement par ce que je suis très rebuté par la répétition, et très sensible à narration dans les jeux - déformation professionnelle oblige - et plus encore au gachi quand je vois un grand potentiel - et SOTC n'en manque pas - de narration.

                          Oh, j'ai oublié d'en parler, mais ce qui m'a frustré aussi ces la gestion que SOTC fait de son monde ouvert: je suis un grand fans des GTA, des jeux d'aventure qui ne te guide pas trop, etc. Mais là, est-ce qu'on m'expliquer l’intérêt ? En dehors de l'envie de ballade soudaine (qui passe généralement, vite, vue le nombre de cavalcades que le jeu nous fait faire...) et la quête (très annexe, à part peut être en mode hard?) des lézards et des fruits, le jeu est un putain de couloir : il n'y a qu'un seul chemin pour progresser dans le jeu, un seul ordre pour affronter les colosses... l’illusion de la liberté étant bien fade, face à la vrai liberté.

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                          • Mise à jour pour tout le monde.
                            edgar : c'est rectifié. Merci de l'avoir signalé, j'avais manqué le changement de page.

                            Fin janvier, j'ai complété Castlevania Requiem: Symphony of the Night. Un jeu qui m'émerveille toujours autant... En dehors de la gestion de l'inventaire, c'est tellement parfait. Comme je l'ai déjà dit c'est l'un de mes jeux préférés de tous les temps. Pas étonnant que j'y ai joué sur PS, Saturn, PSP, Xbox 360 et là sur PS4.
                            L'ingéniosité du level design, le coup du château inversé tout simplement génial, la quantité incroyable de secrets, la qualité de la bande-son, toutes les références aux autres épisodes (même si c'est bien sûr focalisé sur Akumajô Densetsu et Chi no Rondo), le fait de pouvoir jouer avec d'autres personnages, etc.
                            Là j'aurais juste aimé davantage d'options graphiques, le seul filtre de scanlines étant trop juste pour avoir un résultat intéressant, surtout que plusieurs autres vieux titres arrivent à proposer de quoi adapter proprement sur un écran plat.

                            Et fin janvier aussi, immédiatement après en fait, j'ai bouclé la saison 2 de Minecraft Story Mode. Joli final avec ce cinquième épisode, mais je comprends que plein de monde ait lâché l'affaire avant tellement l'écriture manquait d'inspiration.

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                            • Red Dead Redemption 2 (PS4) 17.02.19

                              RDR 2, un jeu que j'aurai mis à peu près 3 mois à terminer, avec un completion rate de 82.9%... J'ai fait toutes les missions secondaires, mais je doute d'avoir le courage de me taper toutes les quêtes annexes type dreamcatcher à récolter, os de dinosaures à dénicher, etc etc...
                              Difficile de résumer une grosse soixantaine d'heures (à la louche, peut-être plus en réalité) mais ce RDR 2 constitue pour moi une semie-déception, d'autant plus que RDR premier du nom reste probablement mon jeu préféré sur la génération précédente, une véritable claque et une révolution à l'époque.

                              Tout d'abord, ce qui saute immédiatement aux yeux, c'est la technique hallucinante (même supérieure à un Uncharted 4) et le souci infini du détail (ex: les mouvement des muscles et la crinière lorsque le cheval est au galop, l'anatomie du gibier lorsqu'on le dépèce, l'écosystème avec une quantité phénoménale d'espèces animales et végétales, sans parler des testicules des équidés qui montent ou descendent en fonction de la température, caractéristique qui avait très vite leaké dans la presse, etc). La gestion de la lumière, l'évolution en temps réel des conditions climatiques, les cycles jour/nuit, la topographie de la map, c'est vraiment du très grand art, chapeau Rockstar !!! La direction artistique est de toute beauté, les villes/villages comme les grands espaces. La bande-son, discrète mais fabuleuse, nous happe encore plus dans cet univers, d'une cohérence rare. Les persos sont très travaillés et les dialogues finement ciselés (comme toujours avec Rockstar). Chacun a sa personnalité, ses qualités, ses défauts et si je trouvais Arthur Morgan (le héros de cet opus) un peu trop lisse au tout début, il évolue au fil de l'aventure et gagne en profondeur, tout comme les principaux membres du gang (Dutch, Micah, John Marston, etc), qui essaient de trouver leur place dans cette fin du XIXème siècle, dans un monde en pleine mutation ... C'est là une des forces du titre, le joueur a véritablement l'impression de faire partie d'un gang, ce qui est renforcé par les scènes de la vie quotidienne dans le campement. Je me souviens notamment d'une scène où on peut chanter et boire au coin du feu à la nuit tombée, en compagnie des autres hors-la-loi, dans laquelle on peut presque poser sa manette pour suivre les conversations croisées et s'imprégner de l'ambiance... RDR2, un jeu contemplatif ?

                              Si la narration est excellente, on ne peut malheureusement pas en dire autant du gameplay. Ce dernier n'est pas fun pour un sou, je le trouve très limité voire même archaïque... Les commandes requièrent un certain temps adaptation, et le rythme du jeu est extrêmement lent, ce qui est même renforcé par la lourdeur de notre personnage. Rockstar a voulu un soft ultra-réaliste mais la contrepartie est qu'on se fait souvent chier !!! Entre les gunfights sans grand intérêt et répétitifs, les missions principales qui finissent par toutes se ressembler (heureusement les missions secondaires sont en général un peu plus originales), les ennemis à fouiller un par un, le titre manque singulièrement de fun. Et je ne parle même pas des trajets à cheval affreusement longs (vive le fast travel), les nombreux aller-retour à se taper sur la map... RDR2 relève parfois plus de la simulation de cheval que du vrai jeu de western... Enfin, le titre est trop long (à l'image de son épilogue de plus de 5h). Si l'on joue trop souvent et sur de grosses sessions, on frise assez rapidement l'overdose et il peut vite devenir assez indigeste.

                              Pour finir, je ne comprends pas la hype de la presse vidéo-ludique qui lui a mis 20 voire même 21/20... RDR 2 reste objectivement un très bon jeu (non sans défauts comme j'ai pu le souligner) mais qui vaut pour moi un bon 17/20, tout au plus un 18/20. Cela reste malgré un tout un titre à faire pour son histoire (SPOILER : la descente aux enfers du gang de Dutch Van Der Linde et de ses principaux membres est particulièrement bien amenée) et son univers ultra-immersif. Pour RDD3, si Rockstar paufine son gameplay tout en conservant la même ambiance et le même niveau d'exigence global, on ne sera pas très loin du jeu parfait !
                              Dernière modification par kurush75, 17 février 2019, 20h30.

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                              • Envoyé par kurush75
                                Red Dead Redemption 2 (PS4) 17.02.19

                                RDR 2, un jeu que j'aurai mis à peu près 3 mois à terminer, avec un completion rate de 82.9%... J'ai fait toutes les missions secondaires, mais je doute d'avoir le courage de me taper toutes les quêtes annexes type dreamcatcher à récolter, os de dinosaures à dénicher, etc etc...
                                Difficile de résumer une grosse soixantaine d'heures (à la louche, peut-être plus en réalité) mais ce RDR 2 constitue pour moi une semie-déception, d'autant plus que RDR premier du nom reste probablement mon jeu préféré sur la génération précédente, une véritable claque et une révolution à l'époque.

                                Tout d'abord, ce qui saute immédiatement aux yeux, c'est la technique hallucinante (même supérieure à un Uncharted 4) et le souci infini du détail (ex: les mouvement des muscles et la crinière lorsque le cheval est au galop, l'anatomie du gibier lorsqu'on le dépèce, l'écosystème avec une quantité phénoménale d'espèces animales et végétales, sans parler des testicules des équidés qui montent ou descendent en fonction de la température, caractéristique qui avait très vite leaké dans la presse, etc). La gestion de la lumière, l'évolution en temps réel des conditions climatiques, les cycles jour/nuit, la topographie de la map, c'est vraiment du très grand art, chapeau Rockstar !!! La direction artistique est de toute beauté, les villes/villages comme les grands espaces. La bande-son, discrète mais fabuleuse, nous happe encore plus dans cet univers, d'une cohérence rare. Les persos sont très travaillés et les dialogues finement ciselés (comme toujours avec Rockstar). Chacun a sa personnalité, ses qualités, ses défauts et si je trouvais Arthur Morgan (le héros de cet opus) un peu trop lisse au tout début, il évolue au fil de l'aventure et gagne en profondeur, tout comme les principaux membres du gang (Dutch, Micah, John Marston, etc), qui essaient de trouver leur place dans cette fin du XIXème siècle, dans un monde en pleine mutation ... C'est là une des forces du titre, le joueur a véritablement l'impression de faire partie d'un gang, ce qui est renforcé par les scènes de la vie quotidienne dans le campement. Je me souviens notamment d'une scène où on peut chanter et boire au coin du feu à la nuit tombée, en compagnie des autres hors-la-loi, dans laquelle on peut presque poser sa manette pour suivre les conversations croisées et s'imprégner de l'ambiance... RDR2, un jeu contemplatif ?

                                Si la narration est excellente, on ne peut malheureusement pas en dire autant du gameplay. Ce dernier n'est pas fun pour un sou, je le trouve très limité voire même archaïque... Les commandes requièrent un certain temps adaptation, et le rythme du jeu est extrêmement lent, ce qui est même renforcé par la lourdeur de notre personnage. Rockstar a voulu un soft ultra-réaliste mais la contrepartie est qu'on se fait souvent chier !!! Entre les gunfights sans grand intérêt et répétitifs, les missions principales qui finissent par toutes se ressembler (heureusement les missions secondaires sont en général un peu plus originales), les ennemis à fouiller un par un, le titre manque singulièrement de fun. Et je ne parle même pas des trajets à cheval affreusement longs (vive le fast travel), les nombreux aller-retour à se taper sur la map... RDR2 relève parfois plus de la simulation de cheval que du vrai jeu de western... Enfin, le titre est trop long (à l'image de son épilogue de plus de 5h). Si l'on joue trop souvent et sur de grosses sessions, on frise assez rapidement l'overdose et il peut vite devenir assez indigeste.

                                Pour finir, je ne comprends pas la hype de la presse vidéo-ludique qui lui a mis 20 voire même 21/20... RDR 2 reste objectivement un très bon jeu (non sans défauts comme j'ai pu le souligner) mais qui vaut pour moi un bon 17/20, tout au plus un 18/20. Cela reste malgré un tout un titre à faire pour son histoire (SPOILER : la descente aux enfers du gang de Dutch Van Der Linde et de ses principaux membres est particulièrement bien amenée) et son univers ultra-immersif. Pour RDD3, si Rockstar paufine son gameplay tout en conservant la même ambiance et le même niveau d'exigence global, on ne sera pas très loin du jeu parfait !

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