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    • nogo: Oui, par ce que tu te ballade ( le jeu est très beau, c'est vraiment ce que la xbox 360 peut faire de mieux sur une monde aussi vaste j'ai l'impression) et que tu te donne par moments tes propre contraintes.
      C'est très précisément ça à la fin j'en avait vraiment ras-le-bol, mais c'était devenu une habitude, un rendez-vous, et quand t'a enfin ton 100%, ça fait tout bizarre de perdre ce rendez-vous, de remettre le jeu dans la boite et sur l'étagère, en se disant qu'on y rejouera plus :(

      du coup à il y a une semaine et quelques j'ai fait une pause sur bioshock infinite:
      27/01/2018 Xbox 360.

      Immense fans de bioshock 1 ( qui m'a personnellement redonner foi dans la next-gen, alors que je n'en attendais plus rien) et ayant trouvé mon plaisir ( en bien atténuer) dans Bioshock 2, j'était assez heureux de pouvoir retrouver une partie de sont ambiance et de ses mécanique de jeux, même si dans un autre univers.
      Le jeu à de la gueule, l'ambiance 1913 est sympathique, ont retrouve des équivalence au plasmide et à toute les armes qu'on connaissait avant. le grappin qui permet d'évoluer dans la ville volante offre une sensation de liberté sympathique ( même si le jeu est un putain de couloir) et s'avère très utile en combat.
      Si cette histoire de gourou religieux qui emmène ses ouailles dans le ciel pour les rapprochez du paradis à quelques chose de fascinants dans les premières heures de jeux (après le délire Scientiste et libertarien de bioshock 1 et les dérives de la psychanalyse au rabais de Bioshock 2), Elle trouve rapidement ses limites: le scénario de ce jeux est une farce, sous un vernis sectaire complotiste super fouillis se cache une histoire qui ne tient pas debout ( qu'il est loin le scénario au petit oignons du 1...) malgré la voix VF badass du heros ( qui est la même que le héros de la série avorté Firefly).
      Et sans faire de spoiler alerte, le principe des mondes alternatifs ( qui aurait pu être excellent! et qui est bien utiliser en matière de Gameplay) s'est du grand n’importe quoi, c'est bourré d’approximation ( qui se retrouve dans les dialogues, les personnages n'ont aucune idée souvent de ce qu'ils font).

      En fait, ce qui me frustre le plus, ces que cette histoire s'enfonce dans un entre deux détestable: le jeux aurait été GENIAL s'il avait écouter sa folie pour se présenter comme une expérience sensoriel, une bulle poétique, au lieu de faire semblant, d'une façon très prétentieuse, d'avoir un récit complet à nous transmettre. Cela par ailleurs en faisant preuve d'un nihilisme idéologique assez lamentable:le productivisme comme la religion ont leurs curseurs tellement au max que tout est ridicules, et les rebelles prolétaires de services se révèle être encore plus bêtement méchant et cruel que le grand méchant du jeu, qui l'était déjà inutilement.

      Mais bon, on entra perçois Rapture à la fin, et apparemment les DLC nous y mènes. je sent que si je tombe sur la version GOTY avec tout les DLC, je vais craquer et tenter ma chance. peut être se seront il rattraper sur la suite?

      Un bon jeu, une mauvaise histoire.
      Dernière modification par megaman, 16 février 2018, 13h40.

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      • Mise à jour pour megaman.

        J'ai fini les épisodes 6 et 7 de Minecraft Story Mode (copine en formation = Shû qui enchaîne à mort). Le sixième n'est pas mal du tout avec son ambiance à la Dix petits nègres d'Agatha Christie.

        Et à côté, un petit KoF '95 sur PS4.
        Ils avaient vraiment craqué à l'époque sur le fait de devoir se taper Omega Rugal dans la foulée de Saishû Kusanagi... Obligé d'utiliser des techniques de p*tes pour passer proprement le premier, sinon ce n'est même pas la peine d'espérer finir le jeu. Un épisode marquant pour l'arrivée de Iori et de la possibilité d'éditer son équipe

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        • Mise à jour.

          J'ai achevé la première saison de Minecraft Story Mode.
          Le huitième et dernier épisode tire surtout son inspiration dans Hunger Games. Enfin c'est plié, les héros sont rentrés chez eux.

          Sinon j'ai fini Fatal Fury sur PS4. Il a définitivement pris un énorme coup de vieux. Techniquement les suites ont fait tellement mieux, et les coups spéciaux sortent tellement mal... Merci à Andy et son zan'eiken qui fait mouche facilement. Billy Kane m'a posé pas mal de problèmes, plus que Geese en fait.

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          • Le glitch du coup spécial en l'air existe toujours ?
            le paradoxe féminin

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            • Downhill Bikers (arcade) 13.02.2018

              Un jeu de descente de VTT sorti par Namco en 1997. Le truc sympa c'est qu'il faut pédaler sur la borne dédiée, donc arrivé en bas mine de rien on souffle
              Le problème est qu'il n'y a que 2 parcours (dérivés de la même piste) : descente et vitesse.

              Fini 1er sur les 2 parcours.
              le paradoxe féminin

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              • Mise à jour pour Amano (tu parles de quel glitch ?).

                J'ai fini Alundra sur PS.
                Un titre assez connu du support auquel je n'avais pas pris le temps de jouer à l'époque.
                Globalement c'est un bon "Zelda-like", mais d'énormes problèmes de perspective n'aident pas lors des phases de plateformes au beau milieu des énigmes à résoudre. On a souvent l'impression que le saut est possible alors que non.
                A part cela, les combats sont assez faciles (le héros est résistant) mais assez longs (car les ennemis aussi le sont). Je ne pense pas faire le 2 par contre.

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                • (Si tu fais la manip d'un coup spécial pendant un saut, le perso se téléporte au sol pour le sortir)
                  le paradoxe féminin

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                  • - Caveman Warriors (PS4) 20.02.2018

                    Hommage à Caveman Ninja, ce jeu de plates-formes très orienté action propose d'alterner entre 4 persos, chacun ayant ses pouvoirs. Entre le gros bourrin armé d'une hâche capable de péter des rochers, la jeune donzelle qui tire avec sa lance, la blonde est-allemande ayant un bon bouclier et le dandy au cheveux bleus qui fait danser les ennemis avec son singe, il y a de quoi faire. Il faut switcher d'un perso à l'autre selon les moments, un peu comme dans Giana Sisters.
                    Les environnements vont du logique (préhistoire) au grand n'importe quoi avec des nazis à dégommer.
                    C'est propre (mais visuellement très basique), c'est frais, pas du tout sérieux et c'est jouable à 4 en même temps.
                    Un peu court avec ses 16 niveaux (pas évidents à terminer pour certains), cela reste un moment sympa pas prise de tête pour un petit jeu "triple C" (ha ha ha).

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                    • Assassin's creed 3 (pc) 12/02/2018
                      J'ai vraiment pas grand chose à dire dessus. J'ai moins aimé que le 2, je trouve le personnage absolument pas charismatique, mais il faut le faire pour clôturer l'histoire. Je me suis lancé le 4 (offert avec mon pc), mais j'ai du mal à accrocher (toujours les mêmes mécanismes).

                      Xenoblade Chronicles 2 (switch) 22/02/2018
                      Pour moi c'est du lourd, j'ai dû y jouer 125h. Le système de combat ne m'a pas rebuté (j'ai même apprécié), et non il ne dure pas une plombe une fois maîtrisé. J'ai aimé l'histoire, le monde (finalement pas si vaste), les sociogrammes (sauf celui d'ursula ), l’ambiance, les quêtes, les personnages. Il est pas parfait, mais il m'a bien happé, comme le premier. J'aurai aimé que le personnage d'adam soit plus développé, savoir pourquoi rex et pas un autre etc ...
                      Je le conseil

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                      • J'ai profité dimanche dernier d'une offre proposée par Retrogameplay75 (un mag de République) qui échangeait une SNES Classic Mini "standard" contre une neuve avec 200 jeux pré-installés (PAL et Jap). L'idéal pour jouer en mode casual sans prise de tête en semaine quand j'ai 1 heure devant moi.

                        Gradius III (SNES Classic Mini) 22.02.2018

                        Un bon shmup dans la lignée des Gradius précédents. On peut lui reprocher sa difficulté (il est plus dur que le 2ème opus), son absence de prise de risque, ses décors un peu vides avec des écrans noirs, ses nombreux ralentissements (similaires à ceux de Super R-Type). Cela dit, le gameplay frise toujours la perfection avec son système d'options, les musiques sont de qualité et malgré le peu d'innovations, on notera quelques nouveaux thèmes graphiques parmi les niveaux (au nombre de 10), ainsi que le choix parmi 4 barres d'armement en début de partie. Bref, un bon Gradius, dans la continuité.

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                        • Mise à jour pour ces messieurs.

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                          • Mise à jour.

                            J'ai fini Heavy Rain sur PS3.
                            L'intrigue m'a bien tenu en haleine, c'est bien ficelé de ce côté-là.
                            La réalisation est encore bluffante pour un jeu PS3 qui date de 2010. Le boulot effectué sur les visages surtout est assez incroyable. Ceux qui y ont joué à l'époque devaient être ébahis.
                            Le point fort du jeu, outre son scénario, c'est qu'il y a une incidence des actes bien plus lourde que dans ce qu'on trouve chez d'autres éditeurs dans le genre, à commencer par Telltale Games (et vous savez pourtant que je suis fan de leurs productions). Là la fin peut varier du tout au tout puisque chaque personnage peut mourir, le crime peut être totalement élucidé ou non, etc. Pas étonnant qu'il existe de nombreuses variantes ; heureusement qu'on peut changer le destin via la sélection de chapitre pour ne pas avoir à tout se retaper. Je vais d'ailleurs m'y atteler dans les jours qui viennent, pour voir toutes les possibilités prévues.
                            Le point faible du jeu, à part bien sûr le côté film interactif (qui perso ne me dérange pas le moins du monde quand c'est aussi bien fait), c'est que le personnage ne répond pas très bien aux commandes, et que les QTE, sans être compliqués (j'ai fini les God of War en mode titan donc pas comme si je n'avais pas l'habitude), sont trop nombreux pendant les combats pour pas grand chose, et surtout manquent de clarté. Combien de fois on va se planter parce qu'il fallait tapoter et non maintenir...
                            Très satisfait. J'espère que Beyond: Two Souls me fera autant d'effet.

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                            • - Xenoblade Chronicles 2 (Switch) 01.03.2018

                              Commencé dans l'avion a l'aller, fini dans l'avion au retour.
                              La switch c'est quand même un truc de dingue a un moment je me suis retrouvé a jouer allongé sur une table de massage sur le ventre la tablette posée au sol et un joy con dans chaque mains pendant deux heures tu peux pas faire plus pacha.

                              Bon le jeu je dois dire sur j'ai adoré, mais ses défauts son gros comme une maison.
                              C'est bien le gros JRPg qu'on attend avec des noms au casting comme tetsuya nomura et yasunori mitsuda, un monde incroyable basé sur des artworks a couper le souffle qui sont detaillés dans l'artbook de l'edition limitée. Un vrai character design avec des dizaines de blades et des persos très vivants et mémorables, et une quantité de contenu absolument délirante: non seulement il y a des dizaines de blades mais les rares ont toutes leur propre sidequest et des missions pour débloquer leur skill tree.

                              D'ailleurs a cause de ces quetes annexes je me suis retrouvé avec 10 LV de trop et toute la fin du jeu a été une blague.

                              Le souci c'est que c'est decousu au possible, parfois tu veux juste passer une porte ben non il faut trouver des blades qui ont la capacité X et Y et/ou faire des side quest pour la farmer.
                              Du coup on se perd vite tu voulais ouvrir un coffre et dix heures plus tard tu te retrouves a faire des sidequest a la chaine que tu peux pas finir. C'est sympa si on a le temps remarque, mais vers 50h de jeu j'ai decidé d'aller en ligne droite sinon je voyais pas la fin.

                              L'autre truc relou c'est le bordel des combats entre les mecs qui te poussent dans la ravin =dead les ennemis LV90 qui s'incrustent =dead y'a des endroits ou j'ai recommencé une dizaine de fois alors que j'avais largement le niveau. Il y a un donjon particulièrement vicieux moche et désagréable a la fin duquel tu dois trouver l'épée utime mais en fait elle est plus là.


                              Les combats sont repetitifs j'ai mis 40H a piger le systeme finalement j'ai trouvé le tuto de RPG site, maisnune fois compris c'est toujourd pareil après. Il y a des stats a prendre en compte ou des ailments mais globalement il suffit d'avoir le bon LV et des blades assez boostées.

                              Voila un jeu agréable tout de meme, avec tous les canons et les clichés du genre mais c'est un peu ce qu'on lui demande. Il faut pas être trop dur, le jeu a certes des defauts mais ce n'est pas "game breaking" le jeu reste excellent.


                              Envoyé par Shû Shirakawa
                              Mise à jour pour Amano (tu parles de quel glitch ?).

                              J'ai fini Alundra sur PS.
                              Un titre assez connu du support auquel je n'avais pas pris le temps de jouer à l'époque.
                              Globalement c'est un bon "Zelda-like", mais d'énormes problèmes de perspective n'aident pas lors des phases de plateformes au beau milieu des énigmes à résoudre. On a souvent l'impression que le saut est possible alors que non.
                              A part cela, les combats sont assez faciles (le héros est résistant) mais assez longs (car les ennemis aussi le sont). Je ne pense pas faire le 2 par contre.
                              Le second est vraiment pas terrible et n'a absolument aucun rapport c'est un jeu steampunk pour enfants generique et trop facile.
                              Dernière modification par edgarfigaro, 02 mars 2018, 07h38. Motif: ablette

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                              • Chapeau d'avoir eu le courage d'aller au bout. Je crois que c'est mort pour moi.

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