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  • J’ai le même ressenti sur Spiderman que je parcours en prenant le temps. Niveau 32 53% du jeu fait.

    Tu me donnes envie de dépoussiérer la psvr
    <==// JUSTE J'ACHETE ET JE REVENDS ET JE RACHETE PARCE QUE C BIEN QUAND MEME ...CREW \\==>[/color]

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    • Ninja Gaiden (NES Classic Mini) 19.05.19

      Un action-platfomer efficace réalisé par Tecmo dans lequel on incarne un ninja, Ryu Hayabusa. Le soft est étonnamment scénarisé pour un jeu d'action et brille par des cinématique assez impressionnantes et novatrices pour l'époque. Notre shinobi est très véloce et dispose d'une panoplie de mouvements très riche : il tranche les ennemis à la vitesse de l'éclair à l'aide de son katana, utilise des armes secondaires (shurikens, etc), peut rebondir et s'accrocher à des parois. Le level-design sort un peu des sentiers battus avec un gameplay assez "vertical" et le scrolling alterne entre droite et gauche. Les graphismes dépouillés et plutôt grossiers n'ont rien d'extraordinaire. Par contre, les musiques sont très pêchues et accompagnent parfaitement la frénésie à l'écran. Si les premiers niveaux se passent sans trop de difficulté, le challenge monte très vite de plusieurs crans et vos réflexes seront mis à rude épreuve : les ennemis surgissent de nulle part, ont une fâcheuse tendance à respawner, le chrono vous oblige à rusher. Et c'est sans compter sur ces saloperies d'oiseaux, qui auront tôt fait de vous envoyer dans le précipice le plus proche ! Le titre engendre pas mal de frustration malgré la présence de continues infinis. Les ennemis sont particulièrement nombreux à l'écran et les frames d'invincibilité de Ryu une fois touché est extrêmement courte, si bien qu'on est valdingué d'un bout de l'écran à un autre comme une vulgaire balle de tennis, avec parfois la désagréable impression de ne rien contrôler du tout. La difficulté atteint son paroxysme aux stages 6-2 et 6-3... Mais si vous avez le malheur de mourir contre le boss de fin (qu'il faut battre 3 fois puisqu'il dispose de formes différentes), vous repartez directement au stage 6-1... Ninja Gaiden, un jeu pour masochistes avides d'expériences traumatisantes... Cela reste objectivement un très bon titre mais à ne pas mettre entre toutes les mains, pour gamers avertis uniquement !


      Rendering Ranger: R2 (SNES Classic Mini) 25.05.19

      Créé par Manfred Trenz (le papa de Turrican), R2 est un jeu d'action exclusif à la Super Famicom. Dès les premiers instants, on est plongé au beau milieu d'un champ de bataille à l'ambiance post-apocalyptique qui rappelle furieusement Terminator. On alterne entre des phases à pied (run & gun) et d'autres à bord d'un vaisseau spatial (shmup). Notre soldat dispose de 4 types de tirs différents ainsi que de 3 smart bombs (rechargeables dans le temps) qui diffèrent en fonction du type de tirs choisi. Idem pour le vaisseau spatial, qui peut d'ailleurs pivoter (les ennemis surgissant parfois derrière vous). Ce qui saute immédiatement aux yeux, c'est la prouesse technique : la réalisation est vraiment à tomber par terre, digne d'une 32-bits ou d'une Neo Geo. Les sprites sont énormes (notamment les boss) avec une débauche d'effets spéciaux (zooms, effets de distorsion, pseudo 3D, scrolling qui change de direction et qui accélère ou ralentit), les explosions illuminent l'écran et les vagues d'ennemis défèrlent sans aucun ralentissement à déplorer. Du grand art !
      Oui mais R2 s'avère un peu trop classique à mon goût et manque d'originalité et du petit supplément d'âme qui l'aurait fait rentrer au panthéon du JV. Le level design des phases de shmup est trop simpliste (au final, contre toute attente, j'ai préféré les phases de run & gun) et le jeu traîne un peu trop en longueur à mon goût, ce qui casse le rythme. Les musiques sont dans l'ensemble oubliables. Chris Huelsbeck, le compositeur attitré de la série Turrican ne fait pas partie du casting et son absence se fait cruellement sentir... Avec 9 stages (4 de run & gun et 5 de shmup), R2 est globalement un titre difficile mais pas insurmontable.
      Du fait de sa sortie tardive (1995) et confidentielle (on parle d'environ 5000 unités distribuées sur le territoire japonais), R2 fait partie des titres les plus côtés sur Super Famicom, dans la fourchette large 1000€-2000€ en fonction de l'état. Compte tenu de sa faible replay value et de son prix, je vais sans doute me contenter de ma version émulée !


      Majyuuou (SNES Classic Mini) 26.05.19

      Encore un titre exclusif au marché japonais sorti très tardivement (en 1995) et qui coûte une blinde. Action-platformer assez simpliste niveau gameplay, il rappelle Castlevania et Altered Beat par certains aspects. On y incarne Abel, un jeune homme dont la femme a été tuée et qui deviendra un démon pour sauver sa fille Iria des griffes de Lucifer himself. Dans sa forme humaine, Abel dispose d'un flingue ainsi que d'une fée (qui représente l'âme de Maria, sa femme disparue) chargée d'attaquer les ennemis les plus proches. A la manière d'Altered Beast, Abel peut se transformer en démon. Après avoir terrassé un boss, on peut choisir parmi 3 transformations (dragon, sorte de ptérodactyle, etc). On peut également accéder à une transformation "ultime" en fin de jeu. Le titre détonne par son ambiance glauque, limite malsaine. L'atmosphère est très sombre et parfois gore (les têtes des ennemis valdinguent lorsqu'on les shoote au pistolet). Les décors constituent le gros point fort du titre. Les artworks sont souvent superbes, on a parfois le droit à de véritables tableaux (notamment la ville en ruine envahie par une flore luxuriante). Dommage que les sprites soient minuscules... Le level design ne prend pratiquement aucun risque et les derniers stages (6 au total) sont un peu moins réussis, à l'image de ce recyclage éhonté de boss lors du stage final... Les musiques alternent le bon et le moins bon mais d'une manière générale, elles ne collent pas du tout avec l'ambiance lugubre (c'est particulièrement vrai pour la musique face aux boss qui est tout bonnement ridicule). Le jeu est très old school avec certains passages assez chauds. La présence d'un chrono complique la tâche car il vous oblige à prendre des risques parfois inconsidérés. Globalement le titre est vraiment trop court (moins de 30 minutes pour le plier). Une curiosité à tester, ne serait-ce que pour sa patte graphique très affirmée.


      Castlevania Chronicles (PS1)

      Un remake assez paresseux de la version X68000 (sorti sur Sharp en 1986), qui était déjà plus ou moins lui-même un remake du premier Akumajo Dracula sur Famicom, cela dit avec de nouveaux niveaux, des graphismes plus fins et un bestiaire légèrement différent.
      Ce Castlevania reste très linéaire et assez classique, avec un gameplay rigide (malgré le fait que l'on puisse changer de direction pendant un saut, et frapper en diagonale avec le fouet vers le bas). La difficulté est dans le haut du panier pour la série: les ennemis font mal (il suffit de se faire toucher 4 fois pour que Simon Belmont passe de vie à trépas) et on repart au début du niveau à chaque fois que l'on meurt (le jeu est subdivisé en 8 niveaux découpés en 3 tronçons, soit 24 stages au total). D'ailleurs, si je ne dis pas de bêtises, c'est le seul épisode qui en plus des traditionnelles armes secondaires (bloomerange, couteau, eau bénite, etc) donne accès à une herbe verte qui remonte toute notre vie si on a suffisamment de cœurs, mais l'item en question est particulièrement rare.
      Sans doute conscient de la difficulté de la version originale, Konami a eu la bonne idée de proposer un mode Arrange, qui est plus facile : présence de sauvegardes, les ennemis font moins de dégâts, les push-back sont cette fois aux abonnés absents (Simon Belmont n'est pas projeté en arrière s'il est touché par un ennemi). Il y a quelques modifications légères également au niveau des sprites, quelques retours graphiques, une intro en image de synthèse et des musiques remixées (qui ne sont pas toujours une franche réussite, loin de là même !).
      Un bon titre globalement mais sans commune mesure avec Super Castlevania IV, Chi no Rondo ou Vampire Killer sur MD Jap pour parler des épisodes "linéaires".

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      • Grosse mise à jour pour Oni (je prends note pour What Remains of Edith Finch ; j'avais vu ce titre dans la liste de trophées d'un pote, et là tu confortes que c'est à noter pour plus tard) et kurush.

        J'ai totalement bouclé le DLC sur Léonard de Vinci d'Assassin's Creed: Brotherhood. Ce qui est pas mal, c'est que c'est intégré ni vu ni connu à l'histoire principale ; on peut tout à fait l'avancer entre deux missions standards, car c'est disposé sur la carte du monde au même titre que les séquences d'ADN majeures ou les contrats.
        Après cela reste très court, on récupère les tableaux du maître en deux trois mouvements et on lui sauve la peau vite fait bien fait (seul le début est difficile, toutes les salles d'épreuves sont bien moins tordues que celles du jeu principal).
        Du coup synchronisation globale à 100%.

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        • Envoyé par Onihyde

          - Gun Force 2 (Arcade) : 27.05.2019
          Ce jeu est une tuerie ! Je ne l'avais jamais approfondi, quelle grosse erreur !
          Bien évidemment, je savais que Gun Force 2 était l'œuvre des futurs membres de Nazca, qui développeront la série des Slug, mais j'ai kiffé d'y jouer tout en pensant à ce que les programmeurs proposeraient dans le futur sur NeoGeo.
          Tout est déjà là : le design général, les animations détaillées, la folie, les digits sonores et la qualité de la musique, les véhicules, la variété des ennemis, le jeu décomposé en 5 stages, les otages à sauver (des meufs, ici), tout !
          Si Metal Slug propose un jeu plus abouti globalement, j'ai limite trouvé que Gun Force 2 était plus fou dans sa proposition. Un très grand moment d'arcade.
          Je confirme qu'il s'agit d'une petite tuerie ce Geostorm/Gun Force 2!
          Par contre, hormis la patte graphique, les bruitages et les otages, il n'a pas grand chose à voir avec Metal Slug pour moi.

          Avec son côté beaucoup plus sérieux et sombre (pas de SD), l'utilisation des 2 armes et des véhicules, et certains Aliens communs ou similaire à Contra, on est beaucoup plus proche de Contra que de Metal Slug en terme d'ambiance et de feeling pour moi.
          Une de ses grandes forces et son nombre de véhicule disponible pour moi, mais le manque d'une 3ème action à part le tir et le saut se fait clairement sentir (pas de grenades comme les Slugs).

          Son principal défaut et qu'il a été fini à la hâte, et cela s'en ressent: des mêmes thèmes répétés sur différents stages et remixés d'Air Duel, pas de fin et un mode 3 joueurs avorté. C'est un jeu pas fini...

          Tu l'as fait sur ému ou en original?

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          • Mise à jour.

            J'ai fini l'épisode de Final Fantasy XV consacré à Ardyn.
            Assez scénarisé, ce DLC aide à humaniser le méchant désinvolte du jeu principal, à comprendre comment le trône lui a échappé il y a 2000 ans et pourquoi il a autant la haine.
            La logique a été respectée, dans le sens où il est tellement puissant que les pauvres soldats qui nous affrontent n'ont aucune chance et qu'on les dégomme sans peine. J'avais peur qu'ils trouvent un prétexte bidon pour le "nerfer" histoire de rehausser le défi (les précédents DLC proposaient toujours un challenge aux limites de l'impossible), ou de sortir un boss ultra pété de nulle part, mais non.
            Résultat aucun soucis pour le plier. A aucun moment je n'ai été inquiété qu'il ne meure, et j'ai même failli réussir le rang S dès ma première partie.
            Après ils ne se sont pas foulé puisque tout se passe dans la capitale, où l'on se balade librement pour aller détruire les sept antennes qui amplifient le mur magique protecteur, et massacrer toutes les patrouilles qui ont le malheur de nous croiser (celles qui tentent des attaques surprises peuvent être pulvérisées en quelques secondes, puisque si on contre leurs arrivées, elles se retrouvent immédiatement en vulnérabilité maximum).
            On a quand même la possibilité d'acheter de l'équipement (des chapeaux), et des compétences (l'arbre est très réduit mais c'est important de le remplir) pour lui et Ifrit. Car le bougre est secondé par l'illustre invocation du feu, qu'on peut appeler en soutien via le remplissage d'une jauge, pour un résultat dévastateur.
            Pas inoubliable, ce DLC a le mérite d'être un bon défouloir pour ceux qui comme moi ont enduré (il n'y a pas d'autre mot) les précédents. Je fais encore des cauchemars des courses de motoneige de Prompto et du "match amical" contre Noctis avec Ignis.

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            • Mise à jour.

              J'ai fini 36 Fragments of Midnight, un petit jeu sans prétention où l'on dirige Midnight, sorte de cube de lumière, qui doit aller récupérer des fragments d'étoile pour de curieuses créatures de la forêt.
              Reposant sur du die & retry, on le finirait (encore) plus vite si les niveaux n'étaient pas générés aléatoirement, ce qui est d'ailleurs un minimum problématique quand on s'attaque au time attack.
              Mais concrètement, une fois qu'on a apprivoisé chaque disposition des pièges (lasers, scies circulaires, pics, dans diverses configurations), ce n'est plus qu'une question de concentration, peu importe l'agencement des différents étages. Reste juste à composer avec la légère latence du saut, surtout quand on doit aller récupérer des fragments suspendus juste au-dessus de pics.
              Plié en moins d'une heure, mais vu son tout petit prix, pas de quoi en faire un drame.
              Je pense que je ferai plus tard l'autre jeu de cet univers puisqu'il coute à peine plus cher.

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              • Un time attack avec des niveaux aléatoires, ça n'a aucun sens, non ?

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                • Ce n'est pas un vrai mode time attack, mais en gros c'est demandé de faire le jeu en moins de six minutes, pour les "completionists".
                  Et là tu sens qu'en fonction du point de départ, qui est également le point d'arrivée puisque dès que tu es en possession des fragments, tu dois retourner voir les créatures, c'est bien plus simple si par exemple c'est dans le coin d'un dernier étage (haut ou bas) car cela t'évite de te perdre en route. Tu sais immédiatement où repartir, donc économiser plein de temps.
                  Mais c'est impossible de pouvoir comparer ses temps avec les autres joueurs, c'est clair. Celui qui fait un temps record le doit aussi au tirage des emplacements.

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                  • Top Hunter (Neo.Geo) 30.05.19

                    Une production SNK à la croisée des chemins entre un action-platformer, un beat them all et un run & gun. Le titre va puiser son inspiration dans pas mal de titres mais parvient à créer sa propre identité. A la manière d'un Fatal Fury, on peut déplacer notre perso sur 2 plans, pratique pour esquiver, prendre des ennemis par surprise, ou bien choisir son itinéraire. On peut sauter sur la tête des ennemis, leur asséner des coups de poing, les assommer, les choper... La panoplie de coups est digne d'un jeu de baston, avec des bras qui s'allongent (vous avez dit Dhalsim ?) et un nombre impressionnant de coups spéciaux (le hado, le shouryu, les milles mains de Honda et j'en passe), pas toujours évident à sortir par contre (la maniabilité étant assez raide). On peut également balancer à la tête des ennemis de nombreux projectiles, et on trouve même des sortes de tanks/méchas qui préfigurent ceux de Metal Slug. Une item Power décuple la puissance du héros et le transforme en Super Saiyan.
                    Arcade oblige, il y a plein de mécanismes/interrupteurs à activer et d'items à ramasser. Dont certaines qui vous permettent de grappiller de précieuses secondes, le compte à rebours à zéro étant synonyme de vie(s) perdue(s).
                    La durée de vie est assez conséquente avec des niveaux vastes. Un stage select permet de choisir parmi 4 planètes à explorer (elles-même subdivisées en 3 stages) : la forêt, le feu, le vent et la glace. Le monde final ne comptant qu'un stage, c'est donc 13 stage qu'il faudra parcourir au final (sans compter les niveaux bonus). Dommage que certains soient parfois un peu longuets. Les graphismes sont bien détaillés mais un peu trop fouillis à mon goût. Les ennemis se ressemblent un peu tous, ce qui accentue l'aspect répétitif du titre. Les 2 plans engendrent de temps en temps de la confusion à l'écran, c'est particulièrement vrai lorsqu'on joue à 2 simultanément. Les musiques (et les bruitages) sont de bonne qualité, enjouées et entêtantes comme il faut.
                    Pas forcément très connu, Top Hunter est une curiosité qui vaut le détour.


                    Viewpoint (Neo.Geo) 30.05.19

                    Réalisé par Sammy, Viewpoint est un shmup en fausse 3D isométrique, non sans rappeler Zaxxon. Le gameplay est simple mais efficace : un tir simple / un tir chargé en maintenant appuyé le bouton de tir (indispensable à maîtriser pour espérer dompter le jeu) / 3 types de smart bombs / un bouclier et un double pod, et c'est à peu près tout.
                    La vue isométrique requiert un certain temps d'adaptation, notamment afin d'évaluer la distance qui nous sépare des boulettes ennemies. Et dieu sait qu'elles sont nombreuses !!!. Par moment, le titre s'apparente à un danmaku. Il est extrêmement dur, il faut absolument connaitre les patterns des boss, apprendre par cœur les passages chauds. Si l'on meurt, il est quasi impossible de finir le jeu. On est donc pratiquement obligé de le 1cc pour en venir à bout (sans Unibios ou si on ne joue par sur émulateur bien sûr). On progresse lentement, et c'est une immense satisfaction de réussir à détruire un boss que l'on croyait invincible (la tête de mort du stage 4 ?)... La difficulté monte encore d'un cran au stage 5 (où l'on se retape tous les boss), sans parler du stage 6 évidemment...
                    Techniquement, Sammy a fait des merveilles. Viewpoint est une véritable prouesse pour un jeu sorti en 1992 : l'effet 3D flatte la rétine, les animations sont superbes (malgré quelques ralentissements ici et là), et les niveaux ont une véritable identité, avec un bestiaire qui leur est propre (mes préférés : le stage 2 aquatique et le stage 3 avec sa forêt d'insectes). En parlant d'identité, je ne peux faire l'impasse sur les musiques, qui contribuent grandement au statut culte de ce jeu. Parfois électro, parfois plutôt funky ou jazzy, voire même "orientales" (celle du stage 4) elles sont tout bonnement excellentes avec des digits vocales très soignées. Pour vous en convaincre :
                    Full soundtrack of the 1995 Neo Geo CD game Viewpoint.TRACKLIST:Track 01: 0:00Track 02: 0:37Track 03: 0:48Track 04: 3:19Track 05: 5:23Track 06: 9:51Track 07:...

                    Un shmup d'exception, totalement culte, mais clairement à ne pas mettre entre toutes les mains. Il en rebutera beaucoup !


                    Chuck Rock II (MD) 02.06.19

                    Développé par Core Design, on incarne cette fois-ci le fils de Chuck Rock, ce dernier ayant été kidnappé par son pire ennemi. En pratique, on contrôle un bébé armé d'une massue plus grande que lui. Il peut frapper les ennemis avec (son père, lui, donnait des coups de bide dans le premier opus), monter dessus en équilibre ou encore chevaucher certains familiers pour atteindre des endroits inaccessibles autrement.
                    Techniquement, le titre tient bien la route avec des graphismes fouillés, des boss gigantesques et de couleurs plus vives que dans le premier épisode. Les mondes traversés ne brillent pas trop par leur originalité (mer, forêt aux papillons, cascade, volcan et caverne, montagne enneigée, environnement industriel, etc.) mais leur level design est dans l'ensemble plutôt réussi.
                    Le bestiaire est très varié et l'humour fait souvent mouche, même si le jeu s'avère moins déjanté que son prédécesseur. Niveau gameplay, ce n'est pas toujours extrêmement précis en raison de la lourdeur du perso et on a parfois la désagréable sensation d'être obligé de se faire toucher afin de franchir une plateforme un peu trop haute...
                    Le titre n'est pas très long mais il n'est pas pour autant évident (en mode normal). Entre chaque niveau, des bonus stages (tous différents les uns des autres) permettent si on les réussit de gagner un crédit supplémentaire, ce qui ne sera pas de refus !
                    Au final, ce Chuck Rock II est un bon petit jeu de plateformes, assez classique, sans doute moins culte et clairement moins connu que l'opus original. Et cela reste une belle pièce de collection sur MD jap, il ne court pas les rues (Chuck Rock premier du nom n'étant jamais sorti au Japon).

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                    • Mitsume ga Tooru (Famicom) 22.04.2019
                      Un excellent plateformer/shoot basé sur le manga éponyme de Tezuka.
                      Le perso répond au doigt et à l’œil et le jeu est assez joli.
                      On peut simplement regretter qu'il soit un peu court.

                      Team Sonic Racing (PC) 01.06.2019
                      J'avais peur en voyant les previews d'il y a 6 mois mais je me suis quand même lancé.
                      Un vent d'air frais pour moi qui en avais ras la casquette de Mario Kart.
                      Complètement jouissif en multi, il tourne très bien (testé en local en splitté). Attention, apparemment sur switch et PS4 le jeu perd pas mal de fps en splitté.
                      Les courses mettent en compétition quatre équipes de trois pilotes, tous issus de la franchise du hérisson bleu. Il y a trois classes d'engins : vitesse, technique et puissance. Selon la classe certains items pourront varier.
                      Le gameplay s'articule autour du jeu en équipe, mettant et encourageant la coop, comme par exemple suivre le sillage de ses coéquipiers pour gagner du boost, s'échanger des objets, donner un boost d'un coéquipier en difficulté etc.
                      Chaque action d'équipe fait monter une jauge de boost collective qui, une fois déclenchée, rend celui qui l'a utilisé invincible et plus rapide pendant un laps de temps. Si les trois pilotes l'activent en même temps, l'effet du superboost dure plus longtemps, tout comme le fait de dégommer les adversaires croisés ici et là. Tout peut arriver, la tendance de la course peut évoluer à chaque seconde et l'ensemble est pour ma part, moins frustrant qu'un MK et sa carapace bleue qui peut ôter la victoire un trop facilement sans la possibilité de revenir dans la course autrement qu'en priant le bon dieu des items.
                      Pas mal de choses à gérer et c'est ce qui fait justement la variété des actions.
                      L'histoire est anecdotique mais on n'est pas là pour ça. Quant aux épreuves du mode solo, elles sont plutôt utiles pour affiner son pilotage en débloquant des pièces pour améliorer les bolides.. Au passage, on a de bonnes sensations de drift.
                      Côté roster ça reste du Sonic, exit les persos de JSR and co ou les transformations. C'est pourquoi je vois ce jeu comme complémentaire à Sonic & All Star Racing Transformed.
                      Les tracés auraient aussi pu être plus nombreux même s'ils font bien le taf. Ils reprennent les stages post Sonic Adventure (ils auraient dû aussi y implanter des références aux épisodes old school). Certains demandent pas mal d'entraînement tellement il y a de pièges à éviter ou de raccourcis à connaître.
                      En bref, Team Sonic Racing est à Sonic & All Star Racing Transformed ce que Real Bout 2 est à Real Bout Special. Différent mais loin d'être moins bon intrinsèquement.

                      EDIT : J'ai oublié un autre jeu.
                      Devil Engine (PC) 01.06.2019
                      Le fils spirituel de Thunder Force IV avec beauuucoup plus de boulettes.
                      Imaginez les patterns de Progear accélérées x4, des scrollings parallaxes, des références à quelques grands noms du shoot them up, la possibilité d'absorber les tirs ennemis... vous obtenez Devil Engine.
                      J'en veux plus des comme ça.
                      Dernière modification par Raphoon, 02 juin 2019, 23h30.

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                      • Resident Evil 2 remake (PS4) 05.06.2019

                        Terminé avec Leon en mode normal. (7h45)
                        Que c'est dur comparé au remake du 1e que j'avais terminé à l'aise avant !

                        Munitions et herbes/sprays au compte-gouttes, zombies plus résistants qui t'accrochent de plus loin et qui peuvent enchainer des rushs, Nemesis qui te fout le bordel quand tu penses commencer à te balader tranquille.

                        Le gameplay au niveau des menus et des items est bien pensé, avec la carte d'une grande aide pour ne pas manquer les items (la salle reste rouge s'il reste un truc pas vu ; s'il a été vu, il apparait directement).
                        Je regrette quand même l'impossibilité de simplement poser un objet : on est obligé de le jeter, donc le perdre. Pareil pour l'incapacité de combiner directement les herbes en les ramassant, ce qui implique d'avoir toujours au moins un emplacement libre pendant l'exploration. C'est d'autant plus incompréhensible qu'il le font pour les munitions ! ...

                        Question gameplay, ça a évolué mais ça reste raide comparé à un Dead Space qui est encore pour moi le summum dans le genre.
                        Le fait de ne pas pouvoir achever les zombies envoyés à terre en leur écrasant la gueule comme le faisait ce brave Isaac ou même en les brulant comme le proposait le remake du 1e te fait dire qu'on est quand même un peu en train de t'enfler. La visée est compliquée sur les éléments en mouvement, c'est franchement lourdingue. Enfin, les headshots sont très durs à réussir avec le flingue de base. Il me semble avoir compris sur la fin qu'il faut vraiment viser un oeil [le droit?] ou le haut du crâne pour avoir une chance d'économiser des balles. Si ça se joue en clavier/souris sur PC, ça doit être bien plus facile.

                        Question ambiance, au delà des zombies déjà évoqués, le jeu se joue en tps caméra épaule (fov ajustable) en éclairant les lieux dans la pénombre à la lampe torche. C'est une alternative intelligente aux angles de caméra fixes de l'original qui fonctionne très très bien. Ça fonctionne d'ailleurs d'autant mieux qu'ils n'en abusent pas non plus : le retour en pénombre quand on a repris plus ou moins l'habitude d'être éclairé remet un petit coup de stress.
                        L'ambiance sonore rajoute à la perfection et nous oblige à être toujours à l'affut à cause d'un cri, d'un grattage, d'un grognement, d'un grincement, d'un coup de vent, etc.

                        Question scénar, c'est grosso modo le même (de ce que je me souviens) mais plus clairement exposé et peut être moins kitch (quoique toujours très série B, pour être gentil)


                        Un très bon remake qui donne envie de voir le 3e revenir sous -presque- la même forme.
                        La réal tient vraiment la route et l'ambiance est fantastique.
                        Le gameplay, en revanche, n'est que moyen +, la faute à une visée trop lente sur les éléments vifs (lickers, chiens) qui finissent souvent à tes pieds et te massacrent allègrement avant que tu ne puisses répondre...



                        Je commence le NG+ (campagne "bis") avec Claire pour le scénar "alternatif". La connaissance du level design y est peut être pour quelque chose mais il me semble que c'est quand même plus facile, même en normal. Peut être que j'aurais dû commencer par celui là parcequ'aux 2 derniers affrontements avec Leon, j'ai vraiment bien galéré.
                        Dernière modification par TamTam13, 05 juin 2019, 15h36.
                        "un bon mot et tu as la vie sauve"

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                        • Les zombies sont beaucoup plus résistants en effet, il faut esquiver un maximum, ne tuer un zombie que si c'est nécessaire.

                          Pareil pour Tyran, le nier complètement sauf s'il te bloque le passage. Dans ce cas, 3 balles de magnum dans la tronche et tu es tranquille pour un temps.

                          Perso le boss de fin a été d'une facilité déconcertante, je crois que ça duré une minute ou deux.

                          J'ai même eu un trophée pour ça.

                          Mais bon, il me restait 34 balles de magnum que je lui ai mis dans la tronche plus une dizaine de cartouches de fusil à pompe après lol.

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                          • Envoyé par fboy
                            J’ai le même ressenti sur Spiderman que je parcours en prenant le temps. Niveau 32 53% du jeu fait.

                            Tu me donnes envie de dépoussiérer la psvr
                            Tetris Effect est à 10 balles à la Fnac.

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                            • Ma Retrostone fraîchement reçue, j'en ai profité pour finir quelques titres NES. L'ergonomie est correcte (sauf pour les jeux de baston qui se jouent à 6 boutons, les boutons placés à l'arrière de la console n'étant pas facilement accessibles).. L'écran de 3.5' a une faible résolution mais on finit par s'y faire (et apparemment, on peut en partie contourner le problème en installant l'OS Supreme Retrostone) sous réserve qu'il n'y ait pas trop de textes à l'écran (pas l'idéal pour les RPG donc)... On peut la brancher en HDMI à la télé et jouer jusqu'à 4 mais je n'ai pas encore essayé cette feature. Avec une carte 32 Go remplie à craquer (6000 roms et une quinzaine de systèmes émulés), voilà de quoi m'occuper en avion, train ou bus !!!


                              Batman : The Video Game (NES) 09.06.2019

                              Première apparition du Chevalier Noir sur NES, inspiré du film de Tim Burton, ce Batman est une franche réussite ! Il a longtemps été considéré comme la meilleure adaptation vidéo-ludique de l'homme chauve-souris et sa réputation n'est pas usurpée.
                              Développé par Sunsoft, le titre prend la forme d'un action-platformer. Ici pas de grappin, Batman fait le ménage à l'aide de ses poings et a également accès à différentes armes secondaires (batarang, pistolet et triple shuriken) fort utiles si on veut jouer safe et pour terrasser les derniers boss plus aisément. Principal caractéristique de ce soft, notre super-héros a la faculté de réaliser des wall jumps. Ces derniers requièrent un temps d'adaptation mais sont très précis, et exploitent à merveille le level-design vertical du jeu.
                              Malgré des petits sprites, les graphismes sont fins (non sans être exceptionnels) et retranscrivent avec brio l’ambiance sombre et glauque de Gotham. Les développeurs n'ont que partiellement respecté la trame du film , puisque l'on retrouve seulement quelques passages (l'usine chimique, l'ascension dans la cathédrale à l'issue de laquelle on affronte le Joker, etc). A noter quand même la présence de cut-scenes inspirées du film très réussies. La durée de vie est assez réduite (seulement 5 niveaux) et la difficulté est progressive, les derniers boss et leurs patterns vous donneront du fil à retordre ! Pour finir, je ne peux pas oublier de mentionner la bande-son superbe et très rythmée, typique des productions Sunsoft de l'époque.
                              En définitive, un must-have sur NES !


                              Teenage Mutant Ninja Turtles (NES) 10.06.2019

                              Difficile de rester objectif devant ce soft (à la difficulté légendaire), moi qui suis depuis ma plus tendre enfance un grand fan de la licence Tortues Ninja...
                              TMNT alterne entre 2 phases de gameplay : celles en vue du dessus qui poussent à l'exploration, et les niveaux plus classiques en 2d à scrolling horizontal qui fourmillent de phases action-plateformes. Le scénario est assez convenu, il faut d'abord sauver April O'Neil, puis Splinter, trouver le Technodrome, l'infiltrer et détuire Shredder (pas de Krang ici, bizarre)...
                              Les 4 tortues répondent évidemment présent et sont interchangeable à tout moment, idéal pour établir un semblant de stratégie. Si Donatello et Leonardo (dans une moindre mesure) sont très utiles en raison de leur allonge, on ne peut par en dire autant de Michelangelo et Raphaelo, qu'il faudra envoyer au charbon pour économiser les autres. Si les 4 tortues meurent, c'est le game over assuré ! Il ne faut pas lésiner sur l'utilisation des armes secondaires (shuriken, boomerang, parchemin) qui vous sortiront de pas mal de situations assez mal embarquées.
                              Techniquement, le titre est assez propre, les principaux protagonistes sont finement modélisés et facilement reconnaissables, malgré des ralentissements assez désagréables quand les ennemis sont trop nombreux à l'écran.
                              La difficulté est corsée mais pas forcément pour les bonnes raisons : les ennemis respawnent à l’infini, il n'y a pas de sauvegardes possibles, les collisions avec les ennemis sont parfois douteuses... Il y a également plein de passages qui se révèlent en définitive être des pièges : ils sont truffés d'ennemis mais ne servent à rien dans la progression; au mieux, ils vous feront perdre du temps, au pire ils entameront largement les barres de vie de vos tortues (sans assurance de trouver des pizzas pour régénérer votre santé)... Vous n'avez pas fini d'entendre ce bruit désagréable (à la manière de Zelda) quand il ne vous reste plus qu'un carré de vie ! Certains stages sont même rentrés dans la légende : le stage sous-marin du barrage, où il faut désamorcer des bombes, en temps limité, en évitant ces saloperies d'algues tueuses et les courants éléctriques. Ou bien encore le Technodrome, avec ses nombreux couloirs de la mort qui risquent de vous coûter quelques tortues... Bizarrement, seuls les boss sont pour la plupart un bon cran en deçà en matière de difficulté.
                              Malgré tout, en connaissant les niveaux par cœur et en limitant l'exploration aux zones qui doivent être visitées uniquement, et avec beaucoup d'acharnement, vous devriez vous en sortir. Votre salut passera par une bonne gestion des tortues, éviter les pièges à con, connaitre l'emplacement des pizzas (assez rares) et des endroits où récupérer ses tortues capturées. Il vous faudra aussi apprendre à maîtriser des sauts pas toujours évidents, et jouer avec le pattern de certains ennemis (c'est particulièrement vrai dans les derniers stages, comme les astronautes du Technodrome).
                              En tout objectivité, ce TMNT est un assez bon titre qui pourra rebuter par sa difficulté. Ses musiques sont cultes mais trop répétitives (on se retape les 2-3 mêmes thèmes tout au long de l'aventure) et la cinématique de fin est bâclée (mais qui peut se targuer de l'avoir vue à l'époque ? ;-)). Malgré ses défauts, il s'agit assurément d'un des titres cultes de la NES.
                              En bonus, une vidéo assez poilante du JDG :
                              vingt-deuxième test du grenier avec Tortue Ninja sur NES, un jeu dont j'ai longtemps repoussé l'échéance mais qu'il fallait que je parle un jour ou l'autre ...

                              Et un vidéo guide (1life) de l'ami DGJX de GHM :
                              [VideoGuide #006] DGJX termine Teenage Mutant Ninja Turtles sur Nintendo !DGJX vous propose aujourd'hui le vidéo guide d'un sacré morceau sur Nintendo : Teen...



                              Edit: un petit finish vite fait bien fait sur Famicom (support original cette fois !)

                              WWF Wrestlemania Challenge (Famicom) 10.06.2019

                              WWF Wrestlemania Challenge est un bon petit jeu de catch développé par Rare avec une vue en 3d isométrique. Au menu de sélection, 3 choix s'offrent au joueur : un mode exhibition, un tag (2 vs 2) et un 3 vs 3 (sorte de Survivor où c'est le dernier qui reste en vie qui gagne). Les catcheurs sont au nombre de 9, un perso fictif censé représenter le joueur ("Yourself") et 8 superstars réelles ( Randy Savage, Hulk Hogan, André The Giant, The Ultimate Warrior, etc) . C'est seulement en incarnant le perso fictif dans le mode exhibition que l'on a accès à une sorte de mode arcade à la Street Fighter, dans lequel il faut successivement battre tous les 8 catcheurs. Ces derniers sont facilement reconnaissables, ont leur propre apparence physique/corpulence et ont chacun des coups et des thèmes musicaux spécifiques. Le ring est graphiquement assez dépouillé mais le public est plutôt bien représenté et les développeurs ont eu la bonne idée d'intégrer les barres de vie des catcheurs sur les côtés du ring, ce qui ne détériore pas la lisibilité. Le gameplay est étonnamment riche malgré le peu de boutons à disposition (la croix directionnelle, A, B, Select) : 2 prises et un coup spécial par perso, coup de poing (qui se transforme en coup de pied en maintenant le bouton appuyé), dash, esquive, attaque sautée depuis la corde, etc. Dommage que le mode exhibition se plie aussi vite et qu'il suffise d'appliquer la même technique pour venir à bout de tous les adversaires (choppe + descente du coude)... A retester en multi (contre un adversaire humain ou bien à 2 contre le CPU) !
                              Dernière modification par kurush75, 10 juin 2019, 19h38.

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                              • Resident Evil 2 remake (PS4) 09.06.2019

                                Terminé la campagne bis de Claire en mode normal (6h50), nécessaire pour avoir la vraie fin et débloquer le mode 4rth survivor (Hunk)

                                Des énigmes équivalentes avec quelques trucs changés, un déroulement grosso modo équivalent avec 2 grosses heures vraiment différentes.
                                Cette fois j'ai bien mieux géré les munitions, les sprays et autres herbes, ce qui m'a permis de ne rien louper dans les upgrades ou les armes.
                                Je persiste à dire que le gameplay est encore trop rigide malgré ses améliorations et la vue TPS.

                                Bon, 3 jeux finis depuis le 2 mars et la sortie de Sekiro ; je vais retourner en hibernation (du moins jusqu'à samurai spirits 2019), j'ai des séries à finir ^^
                                "un bon mot et tu as la vie sauve"

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