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Palmarès JV (2.0)

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  • Mise à jour pour ces messieurs.

    J'ai fini le quatrième et dernier DLC de Mass Effect 3 : Citadelle.
    Nous emmenant dans un quartier inédit de la capitale galactique à l'occasion d'une permission bien méritée, Shepard se retrouve au milieu d'une conspiration orchestrée par un clone (jamais fan de ce genre d'histoire). Au cours de plusieurs opérations, on aura la chance de combattre avec de très nombreux partenaires, ce qui fera plaisir aux fans ; la dernière partie action est vraiment grisante, avec l'assaut de trois équipes bien coordonnées qui en plus se vannent.
    Le tout s'achèvera dans la bonne humeur (le DLC est très drôle pour le coup, les auteurs se sont lachés) lors d'une fête organisée dans le nouvel appartement du héros.
    Je peux à présent me consacrer pleinement à l'histoire principale.

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    • Kurush il enchaine

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      • Mise à jour.

        J'ai fini Mass Effect 3 sur PS3.
        Quelle trilogie de folie... que de moments intenses passés grâce au Commandant Shepard et son équipe. Le conflit final monte au fur et à mesure qu'on mobilise des forces extra-terrestres pour contrer les Moissonneurs qui comme tous les 50000 ans viennent faire le ménage dans la galaxie. Plusieurs issues seront possibles :
        - en prendre le contrôle
        - les éradiquer (ainsi que toutes les formes de vies mécaniques)
        - opérer une fusion entre vie organique et vie synthétique (c'est ce que j'avais fait sur Xbox 360)
        - apparemment une quatrième fin avait été ajoutée, dans laquelle on refuse les trois autres pour ne faire aucun sacrifice, mais cela signifie juste que le cycle de moisson reprendra.
        Là j'ai testé la fin contrôle, que j'aime moins que la synthèse.
        Lors de mon second loop (en difficulté démentiel), je vais une fois de plus opter pour une orientation pragmatique (bien plus amusant de jouer façon thug) et la fin destruction.

        Dans dix ans j'y rejouerai, mais sur l'édition légendaire de la PS4.

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        • Gremlins 2 : The New Batch (GB) 14.07.21

          Réalisé par Sunsoft et sorti en 1990, ce Gremlins 2 s'éloigne de la version NES/Famicom puisque l'on a droit cette fois-ci à un jeu de plate-forme très classique, en vue de côté.

          Le soft reprend vaguement la trame scénaristique du second film avec quelques cut-scenes bien réalisées.

          Graphiquement, le titre est plutôt propre pour une console portable, même si les environnements manquent de détails et peinent à se renouveler (normal en même temps vu que tout le film se déroule dans un building, parodie de la Trump Tower). Les musiques sont assez agréables mais clairement un ton en-dessous de celles de la version NES/Famicom. Sunsoft nous a habitués à mieux...

          J'avais en mémoire un jeu à la difficulté brutale... Et bien c'est encore pire que dans mes souvenirs ! Gizmo a une hitbox très (trop) large, les sauts se gèrent au pixel près (ah ces saloperies de ressorts !!!), les ennemis de base sont de véritables teignes qui vous marquent à la culotte. Pour ne rien arranger, on démarre chaque niveau à poil, avec un Gizmo totalement inoffensif donc. Il faudra impérativement mettre la main sur l'arme de base, à la portée limitée... Les autres items dispos (notes de musique que l'on balance sur les ennemis, item vous rendant momentanément invincible etc.) ne facilitent pas vraiment la tâche... Les boss constituent de véritables sacs à PV. Le jeu est court (seulement 4 niveaux) mais le challenge monte encore d'un cran dans la deuxième moitié. Le dernier stage vous tiendra en haleine un bon bout de temps, il est truffé de passages putassiers à souhait ! Le boss final (l'araignée tirée du film) est une véritable plaie, impossible à ma connaissance de la battre sans finir avec un unique point de vie (et encore, en partant du principe que vous avez une barre de vie pleine au préalable, soit 4 cœurs !). Il faudra donc réussir à la tuer avant qu'elle ne vous emporte elle-même. Des bonus stages viennent s'intercaler entre chaque stage : lors d'une séance de punching ball, il faut réussir à matraquer le bouton de frappe comme un taré, 99 fois pour obtenir un 1-up. Basique mais défoulant !

          En conclusion, un assez bon platformer mais à la difficulté trop frustrante, qui ternit l'expérience de jeu...

          13,5/20

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          • Je kiffe les 0,5 points

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              • Mise à jour pour kurush.

                J'ai fini DoDonpachi Blissful Death en un crédit sur iPad.
                Portage iOS de DoDonpachi Daiôjô plutôt réussi, l'émulation tourne bien, aucun bug graphique ou autre ralentissement non prévu par le jeu. Comme toujours avec ce genre d'adaptation tactile, le gameplay est retouché en conséquence : le vaisseau tire non-stop, on a une "touche" pour alterner entre shot et laser, une pour la bombe/hyper, et une dernière pour visiblement s'arrêter de tirer. Le déplacement tactile permet de bouger le vaisseau bien plus rapidement que dans l'original, ce qui est toujours très utile.
                En revanche, il est toujours autant (voire plus) difficile de maintenir ses chaînes (cela restera pour moi le plus gros point noir de cet excellent épisode). Je ne sais pas si cette alternance tactile joue un rôle dedans mais c'est invariablement ultra chaud pour ne pas laisser retomber cette fichue jauge.
                Cette version est largement plus abordable, même en mode normal (il y a un mode novice pour les plus frileux) puisque je l'ai "one crédité" dès ma première partie. Alors que pour la PCB ou ses portages consoles, faut se lever de bonne heure pour y parvenir. Les habitués le verront immédiatement : boulettes moins nombreuses et moins rapides. Après pour un titre aussi exigeant, c'est compréhensible d'avoir voulu le rendre plus accessible dans l'absolu, et plus encore pour des supports portables (visibilité réduite et maniabilité différente).
                Dernière précision : le jeu est actuellement gratuit sur l'Apple Store, donc n'hésitez pas. Tout un tas d'options supplémentaires sont payantes mais aucun intérêt.

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                • Super Turrican 2 (SNES) 19.07.21

                  Réalisé par le studio Factor 5, Super Turrican 2 est sorti relativement inaperçu, en toute fin de vie de la console, en 1995, alors que beaucoup de joueurs étaient déjà passés à la génération de consoles suivante.

                  Cet opus tranche radicalement avec les autres épisodes de la série car il propose une progression linéaire très orientée action (à la manière d'un run & gun), là où ses prédécesseurs mettaient beaucoup plus l'accent sur l'exploration, avec des niveaux à l'architecture plus complexe.

                  En contrepartie, Super Turrican 2 offre des situations très variées avec une alternance de niveaux en 2d et en simili 3d, ainsi que différentes phases de gameplay. En vrac : une course en char d'assaut dans un désert où vous sauterez de dunes en dunes (les déformations dues à la chaleur que l'on peut observer en arrière-plan sont d'ailleurs assez bluffantes); session de plateformes à dos de vers géants; un passage où vous serez agrippé à un vaisseau en mouvement tout en arrosant à tout va; une course contre le temps dans une usine désaffectée où il faudra éviter des nuées de gaz toxiques; plusieurs phases (assez anecdotiques) en 3d à bord d'une moto futuriste; une sortie dans l'espace où vous sauterez d'un missile balistique à un autre; une phase de shmup vertical vers la fin du jeu qui n'est pas sans rappeler celles d'Axelay (en beaucoup moins bien cela dit), et j'en passe... Seul le niveau sous-marin propose un level design labyrinthique rappelant ceux des autres opus : juché sur un engin à propulsion, il vous faudra détruire plusieurs sas disséminés sur la map, qui abritent chacun un générateur à détruire afin de poursuivre votre progression.

                  ST2 est vraiment très abouti sur le plan technique, avec de nombreux effets de zooms, distorsions et des scrollings multiples. La palette de couleurs est exploitée à fond (le premier niveau dans le désert devrait vous en convaincre), les graphismes sont très soignés et détaillés. Les combats contre les boss sont épiques, usent et abusent des capacités techniques de la console : un vers géant qui tournoie sur lui-même, une énorme araignée qui vous prend dans sa toile et à laquelle il faudra échapper en se balançant d'un fil à un autre à l'aide de son grappin. Ou bien encore cette raie XXL qui cherche à vous atteindre à l'aide de son dard... Un gros travail a également été réalisé sur la mise en scène, avec des cinématiques en 3D précalculées très impressionnantes pour le support.

                  Côté armements, notre Turrican dispose d'une panoplie particulièrement étoffée : tir multiple ("Spread Shot"), laser, lance-flammes, balles rebondissantes, smart bombs, etc. Le grappin fait son grand retour; il sera très utile dans moultes situations (pour s'accrocher à des parois notamment) et, si sa maîtrise demandera un temps d'adaptation, elle sera indispensable pour espérer voir la fin du jeu. Comme tout bon Turrican qui se respecte, ST2 est d'ailleurs assez long (comptez au bas mot une bonne heure en ligne droite) et assez difficile. Il offre une grosse durée de vie, d'autant plus qu'il y a 3 fins différentes en fonction du mode de difficulté choisi.

                  Malgré tout, Factor 5 n'a pas pour autant rendu une copie parfaite. Je trouve les musiques assez quelconques, en deçà des standards de la série (par contre les digits vocales sont parmi les plus belles que j'ai entendues sur le support). Et les contrôles s'avèrent souvent approximatifs... Je salue l'effort des développeurs pour renouveler la série mais j'ai le sentiment qu'à trop vouloir en faire et en proposer, ils se sont un peu perdus en cours de route, notamment sur le plan du gameplay qui pâtit clairement de cette variété.

                  En définitive, je garde une légère préférence pour le premier Super Turrican sur SFC/SNES, même si je conçois que je ne dois pas faire partie de la majorité ! (d'un simple point de vue technique, ST2 bat à plate couture ST1). Mais Super Turrican 2 est loin d'être dénué d'intérêt, je le trouve même supérieur à R2 par exemple. Dommage qu'il ne soit jamais sorti en version jap !

                  Note: 16/20

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                  • Mise à jour pour kurush, qui ne perd pas le rythme.

                    J'ai fini SRT 4S sur PS3.
                    Comme j'ai réussi à atteindre le stage final dans les temps (la limite est de 350 tours dans cette version), j'ai pu faire une double sauvegarde pour faire les trois fins.
                    Là j'ai opté pour commencer par la mauvaise (qui implique d'arriver trop tard), et de choisir d'affronter le true last boss, en triple exemplaire ! Ceux qui l'avaient fait sur Super Famicom pourraient paniquer devant une telle situation, mais je trouve qu'en réalité c'est moins difficile, pour deux raisons :
                    - on ne commence pas la bataille avec un moral au minimum (50) mais à 80. Il faudra donc moins de magies pour vite accéder aux grosses attaques.
                    - les ennemis ne sont pas niveau 99 mais niveau 60, ce qui question stats est sacrément différent.
                    Donc oui, sur le papier affronter simultanément trois Neo Granzon semble impossible à gérer, mais comme chacun d'entre eux est moins abusé que sur SFC, cela donne à peu près le même challenge.
                    J'ai plié la bataille en 5 tours. Il faut dire qu'on n'a pas le choix car les ennemis nous foncent dessus (à ce stade du jeu, tous peuvent agir deux fois par tours) et ils sont tous tellement dangereux (c'est limite du one shot sur n'importe quelle unité, donc si on n'est pas prêt c'est le carnage assuré) qu'on est forcé de tout faire pour vite s'en débarrasser. Parmi les trois bosses, seul l'authentique possède un palier en dessous duquel il se rendra toute sa vie, mais comme de toute façon ils ont naturellement une régénération majeure (30% de la vie rendue automatiquement à chaque début de tour), pas d'hésitation faut attaquer pour tuer en un tour ou rien sinon les ressources et magies ne suffiront pas. Je recommande vivement de baisser leur moral en tout cas, sinon certaines attaques font carrément 0 point de dégât, tout simplement...
                    Je n'ai plus qu'à faire la fin normale (arriver trop tard mais convaincre le TLB de ne pas achever le boss final) et la bonne (arriver dans les temps et recevoir les renforts qui annulent l'arrivée du TLB), même si ces deux batailles sont presque identiques en réalité. Elles sont quoi qu'il arrive nettement moins stressantes.^^

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                    • - Blaster Master Zero (PS4) 26.07.2021

                      Voilà, c'est fait, 100%, True Ending.

                      Je le conseille vivement à ceux qui aiment les jeux Famicom. Parce que c'est vraiment un jeu Famicom. Avec de jolies couleurs et des musiques entraînantes. En plus, il permet de s'affranchir de la frustration du Blaster Master originel, grâce à un système de sauvegarde moderne.

                      Je vais attaquer le 2 dans la foulée et le 3 sort dans quelques jours. Je ne suis pas sûr d'être à jour pour le day one, c'est dommage.

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                      • Tu piques ma curiosité, gredin.
                        J'avais testé la démo au lancement de la Switch, mais sans plus...
                        Mais quand je vois que je passe quasi plus de mon temps de jeu sur des titres ambiance rétro que sur des "trucs d'aujourd'hui", pourquoi pas !

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                        • Je pense que tu devrais le faire. L'ambiance rétro est au maximum. Il y a juste quelques arnaques au niveau des couleurs et du son, comme d'habitude, mais sinon, c'est un jeu Famicom. Et j'insiste sur le côté Famicom, car c'est un jeu full japonais et full SUNSOFT de la fin des années 80. Ni plus, ni moins.

                          D'après la petite communauté autour de la licence, le 2 est plus abouti et le 3 est donc très attendu. Il y a une compilation des 3 avec tous les DLC inclus qui sort en physique, uniquement au Japon pour l'instant. Tu peux investir directement là-dedans, ça sort dans quelque jours.

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                          • Uncharted 3 (PS4) 23.07.2021

                            Seul épisode "canonique" non terminé car il m'était tombé des mains à sa sortie. Relancé dans sa version liftée Ps4, les défauts de gameplay restent flagrants. Ces couloirs cachés qui impliquent des zones où on croit pouvoir passer/s'agripper mais qu'en fait on ne peut pas deviennent vraiment lourdingues. Les combats de "boss" sont toujours aussi mauvais.
                            Restent quelques séquences grand spectacle qui, après avoir fini Uncharted 4, ont un peu perdu de leur superbe.
                            Le dépaysement et l'écriture façon buddy movie reste de qualité mais la formule s'essoufflait. Dans mon souvenir, le 4 est bien plus réussi sans être exempt de défauts connus de cette recette. Je vais enchainer avec le "lost legacy" pour vérifier.


                            Shadow of the Colossus (PS4) 27.07.2021

                            Toujours repoussé dans mon backlog, j'avais des craintes du fait du statut de "chef d’œuvre".
                            Le remake Ps4 me semblait être le meilleur moyen d'en profiter au mieux. Le souci est qu'au niveau du gameplay, le jeu fait son âge : les caméras ne sont pas toujours optimales (pour être gentil) alors que ce n'est pas la foule du carrefour de Shibuya à l'écran. Les animations contextuelles façon chewing-gum qui rendent le gameplay lourd, le mangeage de murs en exploration, le plantage de course du cheval sur un mini caillou etc. rappellent les 15 ans du titre. Idem pour les endroits où on a l'impression de pouvoir grimper mais que finalement non... il me semble avoir compris que Breath of the wild permet de grimper littéralement partout... si c'est le cas, c'est l'une des plus grandes avancées du JV de ces 20 dernières années. Bref.
                            Le pire est le jumelage de tous ces mini problèmes sur le dernier colosse où caméras et animations plantent le timing de la phase la plate-forme la plus demandante du titre... Détestable.

                            A côté de ça, énormément de choses sont très réussies et c'est certainemnet le souvenir qui me restera malgré tout : l'immensité et la variété des paysages ; le plaisir de s'y balader à dos de cheval ; le sentiment de liberté qui s'en dégage. Le scénario qui se raconte sans recours aux dialogues ou cinématiques longues et verbeuses ni sombrer dans le cryptique. La mélancolie/tristesse mêlée au plaisir de voir les géants s'effondrer tout en se doutant que ça ne va pas bien tourner, la "mort" du cheval qui n'en est pas vraiment une .

                            Pour crier au génie, il aurait certainement fallu que je joue au remaster Ps3, plus proche générationnellement, afin d'apprécier le jeu sans tiquer sur des défauts logiques inhérents à son âge mais avec de meilleurs conditions que dans son format original.
                            Car là, même en le remettant dans le contexte, certains problèmes m'ont vraiment fait sortir du trip, ce que je n'attendais pas d'un remake. Grosse pensée à ceux qui l'ont fait sur Ps2 avec les caméras d'époque (que j'imagine bien plus récalcitrantes) et le framerate apoplectique...

                            Tout ça me fait regarder les remakes de Resident Evil d'un autre œil : je les vois avec les yeux de l'amour de celui qui avait joué aux originaux, qui accepte leur rigidité tout en appréciant leur beauté intérieure sous le lifting avantageux (trompeur ?) des millions de polygones... mais je peux comprendre que les nouveaux venus restent circonspects voire floués sur le statut culte des titres pour le coup.

                            Moralité : je n'attendrai donc pas trop longtemps avant de jouer à Last gardian, pour éviter d'avoir ce ressenti "décalé". Enfin, c'est le plan quoi...
                            Dernière modification par TamTam13, 27 juillet 2021, 11h43.
                            "un bon mot et tu as la vie sauve"

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                            • Envoyé par kurush75 Voir le message
                              Merci Shû ! J'essaie de ne pas faiblir !
                              ]
                              Over Horizon c'est l'Andro Dunos de la Famicom

                              As tu chopper RECCA ?
                              http://benishiro.blog.free.fr/ - Tas... dwa n tamusni

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                              • Tiens un revenant !

                                Nope il faut encore que je choppe Recca et Crisis Force.

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