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  • Gates of Thunder (PC Engine) 17.03.19

    Réalisé en 1992 par Hudson Soft, Gates of Thunder est un shmup très classique mails ultra efficace. Les ressemblances avec Thunder Force III sautent immédiatement aux yeux, tant du point de vue de la patte graphique que du gameplay. En effet on retrouve le même système d'armements que dans le tire de Techno Soft, avec 3 armes (upgradables) entre lesquelles on peut switcher à tout moment (lasers, tir classique et sorte de lance grenade) et le même système de bouclier. A noter la présence de missiles mais aussi de pods/options, ces derniers pouvant être "retournés" par simple double pression du bouton de tir, bien pratique pour nettoyer les ennemis qui arrivent par derrière. Ici, pas de smart bombs mais une fois l'armement au max, chaque bonus récupéré déclenche une vague d'énergie qui détruit tout à l'écran.
    Niveau graphique, c'est vraiment du grand art avec une superposition de parallaxes, dans un scrolling différentiel du plus effet. Les arrière plans sont parfois un peu vides mais les stages sont très variés et colorés : croiseur géant, désert à la Dune (avec de gros vers qui surgissent de leurs trous), grotte sous-marine, intérieur d'une base ennemie, etc.
    Les musiques rock/heavy metal ne sont pas en reste, dommage qu'elles soient masquées par des bruitages trop présents (et beaucoup moins réussis pour le coup).
    Niveau difficulté, Gates of Thunder est à ranger dans la catégorie des shmups accessibles. Les premiers stages (7 au total) ne posent pas de difficultés majeures, les patterns des boss et sous-boss sont assez facilement lisibles, les continues sont nombreux (infinis?) et surtout on respawn précisément à l'endroit où l'on est mort. Pas de frustration donc..
    Au final, Gates of Thunder est un très bon shmup (malgré son manque cruel d'originalité). Je lui préfère quand même d'assez loin Winds of Thunder, beaucoup plus jouissif et qui prend un peu plus de risque (avec son système de bonus/shop, son level design et sa patte graphique très marqués). Une valeur sûre malgré tout !

    Un petit longplay des familles pour conclure :
    http://www.longplays.orgPlayed by: Valis77Another great shooting game! No, this game is not a related to Lords of Thunder. -Disclaimer: Most videos by World...

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    • Amano : oh une bonne dizaine, facile.

      kurush : c'est Gate of Thunder, au singulier.

      Mise à jour.

      J'ai fini le second épisode du Tombeau sous-marin, ultime DLC de BioShock Infinite.
      Cette fois, on incarne carrément Elizabeth et non Booker, pour tenter de sauver la petite soeur de la partie précédente. Ce qui est bon, c'est qu'on est d'emblée dans le Rapture traditionnel (à l'exception du tout début qui a lieu dans un Paris caricatural, mais c'est normal), qu'on va "côtoyer" Ryan et Atlas (dommage, le doubleur n'est pas l'original), et qu'on va avoir le fin mot de l'histoire.
      Ce qui est moins bon, c'est que le jeu tente tellement de tout relier avec le premier BioShock qu'on n'est pas loin de grosses incohérences. Dommage aussi que les traducteurs n'aient pas correctement repris la phrase la plus importante de l'épisode originel.
      J'ai quand même aimé les événements qui sont contés dans cette extension, surtout en mode normal, où l'on a accès à tout. Parce qu'après, je me suis coltiné le mode 1998, où l'on ne peut pas tuer les ennemis, mais juste les assommer/endormir (on ne peut pas ramasser d'arme, hormis des fléchettes tranquillisantes), où tout est misé sur l'infiltration et la discrétion. Mode qui pourrait être sympa si les ennemis ne nous détectaient pas dès qu'on fait un chouïa de bruit (le bruit de se relever peut suffire...) ou s'il n'y avait pas toutes ces phases contre une dizaine d'adversaires qui circulent et qu'on va devoir patiemment éliminer un par un. Par moment j'ai abusé du fait que le jeu sauvegarde automatiquement si on passe par un certain endroit pour contrer le déséquilibre entre les ennemis et l'héroïne tellement c'était crispant.

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      • New Super Mario Bros. U Deluxe (SWITCH) : 23.03.2019

        Fini avec les 5 étoiles.
        N'ayant pas eu de Wii U c'est le premier mario HD que je fais.
        Réalisation aux petits oignons! Certains niveau comme Tuile sur Toile dans la jungle cassis sont juste magnifiques !!!
        Le jeu est parfait j'ai adoré! Un must!

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        • Resident Evil 4 (GC) 24.03.19

          RE4, ou l'épisode culte qui marque le renouveau de la série.

          On y incarne Leon Kennedy, parti en Europe (en Espagne plus précisément) arracher Ashley (la fille du président des USA) des griffes d'une sorte de secte dont le dessein est de conquérir le monde, tout simplement. Ici, pas de zombies mais des humains (entre autres) infectés et contrôlés par des sortes de parasites, les plagas, eux-même contrôlés par Lord Saddler, le grand méchant du jeu. Le scénario très convenu (on est proche d'une série Z) fait plus office de prétexte qu'autre chose...

          Exit les environnements pré-calculés des épisodes précédents avec des angles de caméra fixes, le jeu est en full 3D avec une caméra à l'épaule. Techniquement, c'est du très grand art avec un level-design de toute beauté, des environnements glauques (parfois mélancoliques) à souhait, pas de ralentissements à signaler malgré des hordes d'ennemis à l'écran simultanément, et des effets superbes pour l'époque (les flammes, les explosions, la pluie). Définitivement un des plus beaux jeux de sa génération (à faire sur un tube cathodique avec un cable RGB pour en tirer la quintessence). La bande-son n'est pas en reste et vient subtilement souligner les passages stressants/angoissants du soft.

          Cet opus perd une bonne partie de sa dimension survival-horror et laisse plutôt la place à un jeu d'action. Malgré tout, le sentiment d'insécurité est réel et les développeurs obligent le jouer à être constamment sur le qui-vive (notamment lors de certaines cinématiques qui contiennent des QTE). Les ennemis vous encerclent, n'hésitent à installer des échelles pour vous assiéger, et j'en passe. Le stress du joueur est renforcé par le fait qu'il est impossible de strafer ou bien même de tirer en marchant/courant. D'où l'importance de bien viser et d'évaluer les distances qui nous séparent des ennemis.

          Le jeu est grosso modo divisé en 3 gros tronçons (le village, le château, la base militaire sur l'île) qui ont tous une identité propre, même si ma préférence va pour la première partie de l'aventure. Qui ne se souvient pas de cette arrivée dans le village, avec les villageois qui vous attaquent à coup de fourches ? ^^
          Le bestiaire est d'ailleurs particulièrement réussi. Et s'il va piocher dans un bon paquet de références (Lord of the Rings, Massacre à la tronçonneuse, Alien, etc), les monstres ont tout leur identité propre. Entre le villageois qui vous décapite à la tronçonneuse, les Regenadores (qui ressuscitent si on ne détruit pas les plagas qu'ils abritent), les Garradores (monstres aveugles dotés de grandes griffes et qui se repèrent uniquement au bruit), frissons garantis !!! Et je ne parle même pas des boss qui sont tous plus dantesques les uns que les autres.

          C'est là une des grandes forces de ce RE4. Même si on est bien en présence d'action non-stop, les passages inoubliables sont légion et les situations extrêmement variées, si bien qu'on ne s'en lasse jamais. J'ai oublié de mentionner le marchand (avec son intonation et ses phrases cultes comme "Welcome!!!" "What are u buyin'/sellin'?" "Haha, I'll buy it at a high price!" "Not enough cash, stranger!!!" "Come back anytime!" etc) qui contre espèce sonnante et trébuchante (des pesetas en l’occurrence) vous permet d'acheter de nouvelles armes, d'upgrader les anciennes, de lui revendre vos trésors, etc. Et également à plusieurs reprises dans l'aventure de tester votre précision sur des stands de tirs (idéal pour faire retomber la pression).

          Parmi les rares points négatifs, on pourra mentionner l'aspect linéaire du soft (qui ne me dérange pas perso) et un scénario un peu en retrait, qui ne nous en apprend pas beaucoup sur la mythologie Resident Evil... Ah si, les passages en binôme avec Ashley sont particulièrement crispants !

          Niveau durée de vie, on est clairement dans le très haut du panier pour un survival-horror de l'époque puisqu'il faut compter entre 15 et 20h pour en venir à bout. Et la replay value est réelle puisqu'une fois le jeu terminé, on débloque de nouveaux modes, Ada Assignment (dans lequel Ada doit récupérer 5 échantillons de Las Plagas dispersés sur l’île de la dernière partie du jeu) et The Mercenaries (qui consiste à éliminer des vagues ennemis sur une carte avec un perso en un temps limité, la map et le perso étant sélectionnables).

          Bref vous l'aurez compris, RE4 est un véritable chef-d'oeuvre, truffé de scènes d'anthologie, que tout gamer se doit de faire au moins une fois selon moi, même si l'on est réfractaire à la série Resident Evil. Je ne l'avais pas refait depuis sa sortie et j'ai pris un pied monstre, comme rarement !!!

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          • Mise à jour pour Twilight et kurush.

            La semaine dernière, pendant que j'attendais que Super Robot Taisen T arrive, je me suis dit que j'allais en profiter pour rallumer ma Xbox 360 (elle commençait à prendre sérieusement la poussière) et me faire un petit jeu pas trop long.
            Mon choix s'est porté sur Rocketmen: Axis of Evil, présent sur la compilation Capcom Digital Collection. Je ne savais pas trop où je mettais les pieds...
            C'est une honte ce jeu, vraiment je ne comprendrai jamais comment des éditeurs/développeurs peuvent oser vendre ce genre de production programmée avec les pieds.
            Sorte de Commando scénarisé dans un univers de science-fiction, on dirige un personnage qui doit avancer, souvent en défilement multi-directionnel, et tirer sur tout ce qui bouge. Les premiers niveaux (10 au total, plus un pack de 3 en DLC, fourni d'office dans la compilation dont je parle ici) sont catastrophiques, dans le sens qu'on s'en prend plein la tronche gratuitement (paye tes collisions foireuses et ta puissance de feu digne d'un pistolet à bouchon...) et on sent que la difficulté est réglée pour le moment où l'on rejouera les stages une fois mieux équipé. Car au fur et à mesure que l'on arpente les couloirs, on récupère divers matériaux qui serviront de monnaie à l'intermission pour améliorer les armes secondaires, acheter de nouvelles armures, etc. et dépenser son expérience sur les caractéristiques.
            Dès qu'on a un peu touché à ces différents points, le jeu devient de suite plus abordable. Je recommande chaudement de booster l'agilité puisque cela a le même effet que si l'on réduisait le masque de collision du personnage, et la puissance du tir, qui passera enfin en double puis en triple, pour un résultat nettement meilleur.
            Le pire, c'est que les dialogues ne manquent pas d'humour (entre les vannes sur les Martiens et le fait que le héros est exploité par les autres pour faire tout le sale boulot, on est tenté de rire), et que pour ceux qui aiment le genre Commando/Ikari Warriors ce serait presque intéressant, mais la réalisation est tellement à la rue (une PS2 fait largement mieux), le parti pris de la narration pseudo fixe mal exploité, et les stages tellement longs (une bonne vingtaine de minutes, à part un qui en fait environ cinq), non on souffre plus qu'autre chose.
            A éviter.

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            • Whip Rush (MD) 31.03.19

              Un petit shump horizontal assez méconnu réalisé par Vic Tokai (les créateurs de Battle Mania), sorti uniquement au Japon et aux US il me semble. Il a pour principal originalité d'alterner des passages à scrolling horizontal et d'autres à scrolling vertical.
              Niveau armement, on est en terrain connu avec 3 types de tirs upgradables (laser/missiles/boules de feu) et 2 modules qu'on peut faire pivoter autour du vaisseau, placer devant/derrière, rapprocher ou éloigner... On peut également calibrer la vitesse de vaisseau, caractéristique que l'on retrouve déjà dans pas mal de shmups de l'époque sur PC Engine, mais un peu plus rarement sur Mega Drive. Par contre, ici pas de smart bombs, il faudra se contenter de l'armement de base.
              Graphiquement, c'est correct sans plus, avec des décors assez vides, et qui souffrent de la comparaison avec d'autres productions également sorties en 1990-1991 sur Mega Drive (Thunder Force III, Gaiares, Gynoug, etc). Heureusement, le level design assez inspiré rattrape le tout. Les musiques sont correctes, si l'on aime ces sonorités "métalliques" typiques des premiers jeux MD. Le jeu n'est pas très dur, les 7 stages se plient sans trop de difficulté malgré quelques passages assez tendus à partir du stage 5.
              Bref, vous l'aurez compris, Whip Rush n'est clairement pas un indispensable mais un bon p'tit jeu à avoir dans sa ludothèque MD jap, surtout si on est fan de shoot them up.

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              • Envoyé par Shû Shirakawa
                Amano : oh une bonne dizaine, facile.

                kurush : c'est Gate of Thunder, au singulier.

                Mise à jour.

                J'ai fini le second épisode du Tombeau sous-marin, ultime DLC de BioShock Infinite.
                Cette fois, on incarne carrément Elizabeth et non Booker, pour tenter de sauver la petite soeur de la partie précédente. Ce qui est bon, c'est qu'on est d'emblée dans le Rapture traditionnel (à l'exception du tout début qui a lieu dans un Paris caricatural, mais c'est normal), qu'on va "côtoyer" Ryan et Atlas (dommage, le doubleur n'est pas l'original), et qu'on va avoir le fin mot de l'histoire.
                Ce qui est moins bon, c'est que le jeu tente tellement de tout relier avec le premier BioShock qu'on n'est pas loin de grosses incohérences. Dommage aussi que les traducteurs n'aient pas correctement repris la phrase la plus importante de l'épisode originel.
                J'ai quand même aimé les événements qui sont contés dans cette extension, surtout en mode normal, où l'on a accès à tout. Parce qu'après, je me suis coltiné le mode 1998, où l'on ne peut pas tuer les ennemis, mais juste les assommer/endormir (on ne peut pas ramasser d'arme, hormis des fléchettes tranquillisantes), où tout est misé sur l'infiltration et la discrétion. Mode qui pourrait être sympa si les ennemis ne nous détectaient pas dès qu'on fait un chouïa de bruit (le bruit de se relever peut suffire...) ou s'il n'y avait pas toutes ces phases contre une dizaine d'adversaires qui circulent et qu'on va devoir patiemment éliminer un par un. Par moment j'ai abusé du fait que le jeu sauvegarde automatiquement si on passe par un certain endroit pour contrer le déséquilibre entre les ennemis et l'héroïne tellement c'était crispant.
                Petite question: tu joue sur qu'elle console et avec qu'elle version du jeu? Sait tu si le " bioshock collection" a bien TOUT les DLC de bioshock infinite? Merci!

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                • Je joue sur PS3 (tu peux le voir dans ma liste ).

                  Si tu prends le Collection, apparemment tout est inclus.
                  Le précédent prix de loffre spéciale valable du 01-03-2024 au 04-03-2024 était de €9.99. Revisitez Rapture et Columbia, à la redécouverte de BioShock, la franchise au succès phénoménal. BioShock The Collection reprend les trois aventures épiques de lunivers BioShock, magistralement remasterisées en 1080p. BioShock The Collection regroupe tout le contenu solo de BioShock, BioShock 2 et BioShock Infinite, ainsi que tout le contenu additionnel solo, le pack Le Meilleur de Columbia, et une version commentée par Ken Levine et Shawn Robertson, Imagining BioShock.

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                  • - Super Smash Bros. Ultimate (Switch) 16.04.2019

                    Allez première fois que je passe un peu de temps sur un Smash (45-50h), plein d'enthousiasme et pourtant je me suis un peu fait chier

                    100% du longuet mode aventure, beaucoup de subtilités que j'aurai sûrement zappées… donc c'est juste moi qui reste pas fan à la base, mais faut bien avouer que le jeu est parfait, simple et richissime à la fois, avec un savoir faire et un fan service qui m'ont bien rassasié quand-même

                    Aucune idée de quel sera mon prochain jeu de chevet après ça en tout cas...

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                    • GS Mikami Joreishi wa Nice Body (SFC) 11.04.19

                      Développé par Natsume et exclusif au marché japonais, GS Mikami est une adaptation du manga éponyme. On y incarne Mikami, une "Ghost Sweeper", c'est-à-dire une espèce d'exorciste chargée de nettoyer des environnements infestés de fantômes et autres esprits. Dans la pratique, le titre s'apparente à un action-platformer. Mikami dispose d'une sorte de bâton de prêtresse (upgradable en ramassant des items), elle peut également sauter et s'agripper à des plateformes. Le gameplay est ultra classique et assez basique mais les commandes ont le mérite d'être précises. Mikami peut également utiliser l'équivalent d'une smart bomb, qui consiste en un vortex capable d'aspirer les petits ennemis et de freezer les boss.
                      Les décors/niveaux alternent le chaud et le froid... Si certains sont très réussis et détaillés (notamment celui où on chevauche un chat qui saute de toit en toit au beau milieu d'une ville japonaise), d'autres sont beaucoup plus standards, vides et manquent cruellement d'originalité... C'est d'ailleurs l'un des reproches que l'on peut faire à GS Mikami, à savoir le manque de prise de risque. On sent que Natsume (reponsable de quelques pépites sur le support, les Kiki Kaikai, Wild Guns, Ninja Warriors, etc) s'est contenté du minimum syndical et a eu tendance à verser dans le fan service. Néanmoins, les sprites sont de taille conséquente, les animations sont fluides et les musiques énergiques/entêtantes font le job. Le jeu se plie rapidement (45 mins environ) et ne vous posera aucune difficulté ou presque, avec ses continues infinis et son système de passwords.
                      Une petite cartouche sympa à posséder en tout cas, surtout si on affectionne les délires typiquement nippons.


                      Indiana Jones' Greatest Adventures (SFC) 14.04.19

                      Un autre action-platformer, développé par Lucas Arts cette fois. Ils étaient déjà à l'origine des 3 Super Star Wars sur Super Nintendo/Super Famicom et au bout de quelques secondes à diriger Indy, la filiation saute aux yeux : la patte graphique, les sprites et le gameplay sont très similaires à ceux de la série Super Star Wars. Malgré tout, on note plusieurs différences, dont une notable : là où Super Star Wars proposait un jeu différent pour chaque épisode, cet Indiana Jones propose de retracer les 3 premiers films en une seule fois, rien que ça !!!
                      Indy dispose d'une panoplie de mouvements assez étoffée : il peut courir, sauter, s'accrocher à des rebords, déplacer des objets, effectuer des roulades (notamment pour franchir des passages étroits). Côté armes, en plus de ses poings, il a accès à un pistolet mais surtout à son fouet, pratique pour défourailler les ennemis et franchir des précipices. Le maniement du fouet est assez sympa, non sans égaler celui de Simon Belmont dans Super Castlevania IV... Des grenades (en nombre limité) font office de smart bombs...
                      L'univers d'Indiana Jones est bien retranscrit : on retrouve la plupart des scènes cultes, des cut-scenes sous forme d'images digitalisées viennent ponctuer l'aventure, les musiques si emblématiques de John Williams sont immédiatement reconnaissables. Indy est bien animé, les graphismes fourmillent de détails; les environnement et les situations sont assez variés dans l'ensemble. Malgré tout, le titre manque quand même singulièrement de fun et la lassitude finit par s'installer. Le trop est parfois l'ennemi du bien et avec près de 25 niveaux et pas loin de 2h pour en venir à bout, il faut quand même être sacrément motivé ! D'autant plus que la difficulté est assez relevée, malgré un système de passwords bien pratique et des vies à récupérer en collectant 100 cristaux au travers des niveaux.. Quelques passages en mode 7 viennent briser la monotonie ambiante, 2 issus du 2ème film (la descente en matelas pneumatique d'un flanc de montagne enneigé; la course dans la mine à bord d'un wagonnet) et 1 de La Dernière Croisade (le combat aérien à bord du biplan). D'ailleurs, d'une manière générale, ce dernier épisode de la trilogie est un peu laissé de côté je trouve, avec pas mal de scènes cultes manquantes (le jeune Indy qui s'enfuie sur les toits du train au début du film? la course poursuite en bâteau à Venise? la course poursuite à moto lorsque Indy et son père s'échappe du château Nazi?)... La dernière partie du film à Alexandretta (tournée à Petra) aurait pu être un peu mieux exploitée dans le jeu, on a seulement droit à un temple dénué d'intérêt. Pour coller encore un peu plus à l'univers Indiana Jones, Lucas Arts aurait pu glisser quelques énigmes ici et là.
                      Malgré tout, ce Indiana Jones' Greatest Adventures reste une adaptation réussie dans l'ensemble, à faire si vous êtes fans de la trilogie, comme moi (j'évite sciemment de parler de tétralogie, le 4 étant assez largement en-dessous des autres).

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                      • Mise à jour pour Fartaz et kurush.

                        Dimanche, j'ai fini Super Robot Taisen T sur PS4, un épisode que j'attendais de pied ferme vu qu'il accueille enfin (des décennies que je le voulais) SSX Mugen Kidô alias Albator 84 chez nous et que c'est franchement réussi. L'Arcadia/Atlantis est superbe, les ennemis craignent le corsaire de l'espace, et les alliés le respectent à fond.
                        Autre arrivée fracassante, celle de Cowboy Bebop, anime qui me tient à coeur, et là aussi l'intégration est réussie même si Spike n'évite pas aussi bien les attaques que ce que j'aurais voulu (il faut dire que vers la fin du jeu, en hard les ennemis avaient des taux de visée complètement abusés, même envers les dieux comme Amuro).
                        Un épisode que j'ai beaucoup aimé pour ses arrivées mais aussi ses retours de gros cogneurs : G Gundam, GaoGaiGar, Gun X Sword.
                        Côté gameplay on retrouve à peu près la même formule que dans les opus V et X (mais les bonus sont plus importants à l'intermission, ce qui facilite encore plus le jeu), à laquelle ils ont ajouté une commande d'encouragement aux effets divers et variés. Cette commande est surtout une bonne idée pour recycler/faire participer les personnages (trop) secondaires (pour valoir le coup de les déployer sur le champ de bataille). Mais en réalité, je m'en suis rarement servi. Il n'y a que dans des moments précis où j'avais besoin d'un petit coup de pouce (genre donner à un personnage la possibilité de faire n'importe quelle attaque après avoir bougé) que j'y ai eu recours ; le reste du temps cette option m'est complètement sorti de la tête.
                        J'ai assez aimé toutes les illustrations qui mettent en scène les moments marquants de l'histoire, et comme dans le précédent, les extraits directs en haute qualité des dessins-animés pour certaines phases d'apparition (j'en aurais aimé davantage d'ailleurs, on n'en a que six au total).
                        Premier loop fini avec tous les points d'expertise et tout ce qui était possible.
                        Reste juste à refaire une partie avec la fille et ce sera plié.

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                        • - Red Dead Redemption II (XBox One X) 14/04/2019
                          Après une pause de 3 mois, je l'ai repris pour aller jusqu'au bout, mais comme Tarma, je me suis un peu forcé pour la fin..ca ne m'a pas déplu, loin de là, mais c'est terriblement long et l'intérêt n'est pas assez fort pour donner envie de faire des dizaines d'heures encore et encore.

                          Un bon jeu, intéressant, mais pour moi qui ne méritent pas les critiques dithyrambiques que je vois ici ou là.
                          La personne la plus detestable, la plus ignominieuse des forums francais.

                          Commentaire


                          • - Megaman X2 (SNES) 21.04.2019

                            Ça faisait longtemps que je voulais me pencher sur cette suite à un jeu culte pour moi. Rien à dire c'est de l'excellent Megaman, mais il arrive après le X qui aura été une révolution à l'époque, donc la surprise est forcément moindre.
                            A faire quand même pour tout amateur de Megaman
                            le paradoxe féminin

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                            • - Monster Boy et le Royaume Maudit (PS4) 20.04.2019

                              Je ne connais pas à fond la série Wonder Boy, je l'ai découverte seulement avec les deux épisodes III sur borne et Master System, (ils n'ont d'ailleurs rien à voir). Eh bien, malgré ma culture wonderboyesque tardive, j'ai repéré une foultitude de clins d’œil et de références plus ou moins appuyées.

                              Du reste le jeu est très bon avec ses transformations façon The Dragon's Trap, ses musiques reprenant des thèmes connus et en apportant de nouveaux, ses décors en 2D (en tout cas, il ont l'air de l'être) très réussis, etc.

                              Voilà un des rares jeux dont j'ai eu le trophée platine, et je ne peux que le recommander à tout amateur de Wonder Boy.

                              Le remake du premier est-il trouvable en boîte ?

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                              • Mise à jour pour vous trois.

                                Envoyé par Tarma
                                Le remake du premier est-il trouvable en boîte ?
                                Si tu parles de Dragon's Trap, oui il est trouvable en boite. Je l'ai d'ailleurs. Par contre comme je l'avais dit dans ce sujet, la version PAL a retiré l'option des codes qu'on avait sur l'original.

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