Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Palmarès JV (2.0)

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Envoyé par Adol
    le débat portait majoritairement sur l'évolution des prix
    Rappelons-nous en vieux cons notre jeunesse où nous nous ruinions déjà en jeux vidéo

    donc, suite à toussa : SFII, le jeu qui a bercé mon époque "Collège Boom touche pipi sur du Benny B" XXD A l'époque avec un pote on se levait vers 5H du mat pour aller dans un bar (Le Corte, av de la République Marseille) pour jouer à la borne SFII avant d'aller en cours :D normal Carmine :o perso j'ai redoublé

    Commentaire


    • Mise à jour pour Raphoon et Tarma.

      J'ai fini Resident Evil 5 : Perdu dans les cauchemars, le premier DLC (je ne compte pas le mode affrontement) du jeu, qui permet de vivre l'instant mentionné par Chris dans la trame principale, où Jill a disparu en emportant Wesker avec elle.
      Ce chapitre supplémentaire est surtout l'occasion de nous replacer dans les conditions originales de la série, à savoir dans un manoir avec des énigmes classiques (leviers/emblèmes à trouver, jouer du piano, etc.). Très court mais intéressant, on n'y affrontera peu d'ennemis : un seul nouveau type de monstre, et Wesker.
      Je l'ai fait en mode professionnel, car vu la durée (un quart d'heure quand on le connait) je me suis dit que je ne souffrirai pas trop longtemps.
      Un point un peu dommageable est le côté aléatoire des armes qu'on va trouver en route. On peut très bien tomber sur celles qu'on aime le moins d'une partie à l'autre. Par exemple, face au nouveau type de monstre, le fusil à pompe (qui est limite mon arme favorite dans le jeu de base) ne sert pas à grand chose. Mieux vaut tomber sur des armes de précision pour vite dégommer son point sensible.

      Commentaire


      • Mise à jour.

        J'ai fini l'autre DLC de Resident Evil 5 : Une fuite désespérée.
        Cette fois-ci on vit un autre morceau de l'histoire, quand Jill enfin redevenue elle-même doit s'enfuir (en compagnie de Josh, le formateur de Sheva) entre les deux derniers chapitres du jeu principal.
        Là on prend le contre-pied total de Perdu dans les cauchemars car on va devoir se frayer un chemin à travers des dizaines et des dizaines d'ennemis (j'ai fini le jeu avec 190 victimes ). Le DLC est un poil plus long que le précédent, mais beaucoup beaucoup beaucoup plus tourné action comme vous l'aurez compris. J'ai moins apprécié que l'autre, car l'ambiance est moins bonne, et même reproche concernant le côté aléatoire des armes. Là quand on a le fusil à pompe c'est une très bonne nouvelle.

        Commentaire


        • Ce sont les DLC de l'édition Gold ?

          Commentaire


          • Oui.
            C'est la Gold Edition que j'ai.

            Je vais bientôt la mettre en vente du coup, puisque j'en ai totalement fait le tour.

            Tout est inclus d'office, sans code de téléchargement (pratique sinon cela retirerait de la valeur).
            Faut juste avancer dans le jeu principal pour que les DLC se débloquent dans le menu.

            Commentaire


            • - Jamestown (PC) 17.10.2019
              Découvert sur le tard, je me suis laissé tenter par la version steam et j'ai vraiment pas été déçu. Un excellent shoot vertical entre le style traditionnel et le manic "tranquille". Du coup, on a à la fois le feeling de Dodonpachi, Pop'n Twin Bee et Progear.
              Chaque stage a une réelle identité graphique.
              Les musiques sont grandioses. On peut acheter de nouvelles armes avec la monnaie engrangée à chaque partie et le jeu est jouable à 4 (j'avoue ne pas avoir essayé, mais ça doit être un joyeux bordel au vu du nombre de projectiles).
              La version + est sur le point de débarquer et je pense remettre déjà le couvert.

              - The King of Fighters 97 (Neo.Geo) 19.10.2019

              Histoire de comparer la version d'origine à l'adaptation Saturn, j'ai ressorti la cartouche. Pris dans mon élan, j'ai terminé le jeu. Au delà de l'histoire, c'est l'un des KoF que j'ai le moins apprécié même s'il reste bon en terme de gameplay.
              Les musiques manquent cruellement et les artworks de portraits/vignettes histoire sont bien en dessous de ceux d'un KoF 96 par exemple (les persos ont des têtes minuscules en plus d'être inexpressifs).
              Les nouveaux arrivants sont en revanche bien introduits et Orochi Iori/Leona superbement rendus.
              En ce qui concerne mon comparatif avec la version Saturn, cette dernière s'en sort vraiment très bien niveau graphique/gameplay/animation et se paye même le luxe d'avoir les AST en plein jeu (quand il y a des BGM).
              Les bruitages sont en revanche légèrement en dessous des versions AES/CD, même si il y a du mieux depuis KoF 96 et les Real Bout Saturn, qui avaient des sons étouffés et manquant vraiment de punch.
              En dehors de ça, ça reste une très bonne adaptation ultra fidèle. Ils ont même conservé le power charge infini de Terry, c'est dire.
              Dernière modification par Raphoon, 19 octobre 2019, 21h56.

              Commentaire


              • Envoyé par Shû Shirakawa
                Faut juste avancer dans le jeu principal pour que les DLC se débloquent dans le menu.
                D'accord, elles ne sont pas dispo d'entrée de jeu (comme les modes des anciens RE en fait).

                Commentaire


                • Ce qui serait bien, ce serait de mettre des liens tout en haut du premier post

                  Commentaire


                  • Mise à jour pour Raphoon.
                    J'avais fini Jamestown + sur PS4. J'avais bien aimé mais j'avoue que le dernier défi, en mode super difficile avec les armes aléatoires... trop pénible. J'avais torché tout le reste.

                    Nogo : je trouve que c'est assez logique de ne pas y avoir accès d'entrée de jeu, car cela "spoilerait" le jeu principal, pour ceux qui voudraient commencer par les DLC.

                    De mon côté j'ai fini AngerForce: Reloaded sur PS4.
                    Shmup vertical à forte consonance Psikyô (en beaucoup moins tendu quand même), on se croirait volontiers dans un Gunbird par exemple.
                    "One crédité" en mode campagne, où l'on peut acheter des améliorations ; pas encore en mode arcade où c'est plus sec, sans upgrade ni possibilité de continuer.
                    En campagne, on est assez étrangement obligé de finir la difficulté noob (trois stages, qui ne poseront aucun problème à personne je pense) pour débloquer le mode normal (cinq stages), puis le vétéran (sept stages) et pour finir l'expert. Un petit détail qui a quand même, pour moi, son importance, c'est qu'à chaque nouvelle difficulté, les stages supplémentaires ne sont pas à la suite de ceux du mode inférieur, mais insérés. C'est bien parce que cela évite l'impression d'avoir tout le temps débuté le jeu de la même manière. Je n'ai pas encore tout acheté, et comme toujours certaines améliorations seront parfaitement inutiles, mais d'autres rendent de grands services, comme par exemple le fait de pouvoir attirer tous les objets bonus à soi dès qu'on utilise la vitesse ralentie (quand on joue en arcade, on sent tout de suite à quel point cela manque).
                    Enfin dans ce mode, on a un semblant de scénario pour chacun des quatre personnages, et tout est plus ou moins relié.
                    Un shmup que je conseille, assez bien réalisé (sauf pour les temps de chargements qui sont incroyables pour un jeu aussi léger) et pas trop cher : 17€.

                    Commentaire


                    • Akumajou Special : Boku Dracula-kun (FC) 13.10.19

                      Sorti uniquement au Japon et sur le tard, "Kid Dracula" (pour faire plus simple) est un peu le Parodius de la série Castlevania : un platformer loufoque à l'ambiance déjantée et qui ne se prend pas une seule seconde au sérieux. On contrôle un Dracula enfant mignon tout plein, avec ses yeux plissés et sa coupe à la Son Goku ! Kid Dracula peut tirer des petites boules de feu et sauter. Mais son arsenal s'étoffe au fur et à mesure des boss vaincus : boules de glace, anti-gravité, boules de feu à têtes chercheuses, transformation en chauve-souris, etc. L'attaque spéciale se lance en maintenant la touche de tirs appuyée. Ces différentes aptitudes enrichissent considérablement un gameplay au demeurant assez basique.Les stages ont le mérite d'être très variés (château transylvanien, monde sous-marin, dans les nuages, milieu urbain avec ses skyscrapers et son métro, espace, etc), même si certains font directement référence à d'autres productions (les stages du désert et du bateau volant ne sont pas sans rappeler ceux de SMB3). Entre chaque niveau, 4 stages bonus aléatoires vous permettent de refaire le stock de vies (le plus poilant, sans mauvais jeu de mot : celui où il faut deviner la couleur des culottes des danseuses de french cancan XD). Les ennemis sont assez barrés, en particulier certain boss : le fantôme du 1er stage avec sa tenue du KKK et sa svastika sur le front; la Statue de la Liberté dont l'affrontement consiste en un quizz avec de multiples questions sur cette même statue (j'ai d'ailleurs bien galéré pour le passer, signe qu'il faut que je me remette au japonais !!!). Graphiquement, le jeu est propre mais assez basique. Et techniquement, on peut déplorer quelques ralentissements (notamment lorsque l'on utilise les boules de feu à têtes chercheuses en présence de plusieurs ennemis à l'écran), rien de rédhibitoire fort heureusement... Le titre n'est pas évident à finir, les 2-3 derniers stages étant assez tendus.En conclusion, un bon platformer et un délire typiquement nippon, à faire pour son univers décalé.


                      Kid Dracula (GB) 13.10.19

                      Au premier abord, cette version portable s'apparente plus à un remake de la version FC qu'autre chose... Pourtant, elle se paie le luxe d'être quasiment supérieure à la version sortie sur console de salon. En effet, cet opus est légèrement plus long, les stages et stages bonus sont remaniés, les boss ont à chaque fois 2 formes différentes, et les nouveaux boss (ex : un ersatz de Jason, tout droit sorti de Vendredi 13) et nouveaux environnements sont vraiment excellents. Graphiquement, rien à dire, les décors et les sprites sont très soignés. En bref, un des tous meilleurs platformers sur GB, sans aucun doute !


                      Darkwing Duck (NES) 19.10.19

                      Darkwing Duck, plus connu sous le nom de Myster Mask est un dessin animé Disney lancé dans les années 90. Et l'une des nombreuses collaborations entre Disney et Capcom sur la 8 bits de Nintendo. Dès les premiers instants, la ressemblance avec Mega Man saute aux yeux : le stage select, le moteur graphique, l'architecture des niveaux, etc.Mais ce Darkwing Duck propose quand même quelques spécificités et subtilités de gameplay : notre canard peut utiliser sa cape comme bouclier pour bloquer les tirs ennemis; surtout il peut s'accrocher sur les parois basses de plateformes et à de nombreux éléments du décors. D'une manière générale, les interactions avec le décors sont assez intéressantes, par exemple sauter et s'accrocher à un anneau pour faire apparaître une plateforme et ainsi continuer votre progression, vous voyez le genre... Outre son pistolet de base, notre canard peut utiliser 3 armes spéciales (il ne peut n'en porter qu'une à la fois) : une espèce de faisceau électrique bidirectionnel, une grenade et enfin des flèches. Ces armes sont assez dispensables (voire inutiles), seules les flèches s'avèrent redoutables contre les boss.
                      Les graphismes typés cartoon sont du plus bel effet, avec certains détails très réussis (les cascades notamment). Les musiques ne sont pas inoubliables mais plutôt de bonne qualité, en particulier celles avec un rythme jazzy.Moins réussi et définitivement moins culte que la série des Duck Tales, Darkwing Duck reste malgré tout un bon platformer. Dommage qu'il ne soit pas sorti sur Famicom.


                      TaleSpin (NES) 20.10.19

                      Un autre portage made by Capcom, adaptation de la série animée Super Baloo. Il a au moins le mérite de changer des habituels platformers puisqu'il s'agit d'un shmup cette fois-ci. Si on retrouve quelques éléments propres au genre, ce TaleSpin se révèle assez atypique : la cadence de tirs de l'avion étant très faible, on se retrouve le plus souvent à éviter les ennemis plutôt que d'essayer de les détruire. On peut également inverser le scrolling par simple pression d'un bouton (l'avion fait alors un tonneau, Baloo se retrouvant tête en bas). Ce système d'inversion de scrolling est pratique pour récupérer quelques items et bonus manquants, dans le but de faire le plein d'argent. En effet, entre chaque stage, on peut customiser son avion grâce à l'argent récolté (augmentation de la vitesse du zinc, de sa cadence de tirs, de son armure, etc).Quelques soucis viennent un peu ternir le tableau : la maniabilité est globalement assez rigide, et Baloo a la fâcheuse tendance à rester bloqué contre certains éléments du décor.En définitive, un titre assez sympathique mais loin d'être un indispensable pour moi. TaleSpin manque clairement d'ambition, Capcom s'étant contenté d'exploiter paresseusement la licence...

                      Commentaire


                      • Mise à jour pour kurush.

                        J'ai fini Metal Slug sur PS4.
                        Content d'y avoir rejoué dans d'aussi bonnes conditions (la dernière fois, c'était sur PSP). Je l'ai trouvé vraiment bien équilibré, tellement plus que tous les épisodes suivants, où l'on peut crever à la chaîne... Bon cela reste peu évident à "one créditer" hein, mais c'est moins décourageant.

                        Commentaire


                        • Envoyé par Shû Shirakawa
                          Mise à jour pour kurush.

                          J'ai fini Metal Slug sur PS4.
                          Content d'y avoir rejoué dans d'aussi bonnes conditions (la dernière fois, c'était sur PSP). Je l'ai trouvé vraiment bien équilibré, tellement plus que tous les épisodes suivants, où l'on peut crever à la chaîne... Bon cela reste peu évident à "one créditer" hein, mais c'est moins décourageant.
                          Le 6 était parfois imbuvable à ce niveau là.

                          Commentaire


                          • Mise à jour.

                            J'ai fini Ovivo sur PS4, un jeu sur lequel je suis tombé par hasard en me baladant sur le PS Store. Assez difficile à décrire, on évolue dans des dessins monochromes très complexes, mêlant morceaux d'oeuvres d'art célèbres (Le cri de Munch, La création d'Adam de Michel-Ange, etc.), dessins orientaux, mandalas...
                            En jouant sur la polarité façon Ikaruga, on inverse la gravité, autrement dit quand le "personnage" est noir, il peut circuler dans les zones blanches mais il est attiré vers le bas et vice-versa. C'est la seule chose qu'on puisse faire. Pas de bouton de saut, d'accélération ou quoi que ce soit. Donc pour franchir les obstacles, il va falloir jouer sur la prise d'élan et l'alternance entre les deux valeurs, ce qui est parfois très coton, le jeu étant bourré de pièges naturels (dans le stage disons végétal, les ronces et autres pointes de branches seront à éviter) et de précipices. Quand on meurt, ce qui peut arriver trèèèèèès souvent lors de certains passages, on ne reprend jamais bien loin, du pur die & retry. Dans chaque stage, on doit retrouver de petites billes qui sont en réalité des composantes en morse, et trois symboles qui nous dévoilent des micro-bribes d'histoire (imaginer la narration de Journey en plus flou).
                            Une bonne surprise pour son prix (7€), pas inoubliable mais très intéressant graphiquement parlant. Quand on découvre l'ensemble du décor qui servait de "plateformes" au cours du stage, on peut admirer le travail pictural.

                            Commentaire


                            • - Nettou Real Bout Garou Densetsu Special (Gameboy) 27.10.2019 : jeu d'une facilité déconcertante avec le niveau de difficulté par défaut. Ça m'avait fait le même effet pour le Nettou World Heroes 2 Jet.

                              Une curiosité sur la machine.

                              Commentaire


                              • McDonald's Treasure Land Adventure (MD) 27.10.19

                                Une adaptation de la licence McDonald's en JV, ça peut faire peur... Mais avec Treasure aux commandes, c'est tout de suite plus rassurant !On contrôle donc Ronald McDonald's, le cloon qui faire peur aux enfants. Il peut sauter et lancer une espèce de poussière d'étoile à distance (upgradable en ramassant certains bonus). Mais surtout il dipose d'une sorte de bras télescopique qui lui permet de s'accrocher à des plateformes mobiles, de saisir des grappins, différents mécanismes, etc. Le jeu use et abuse de cette mécanique de gameplay tout au long de l'aventure. On retrouve tous les persos emblématiques de la licence McDo des années 80 - début des années 90 (si si, souvenez vous de vos jouets Happy Meal !!!).Graphiquement parlant, le soft est assez correct, avec des couleurs pastels. On aimera ou pas le style graphique à base de figures géométriques, perso ça ne m'a pas dérangé. Les environnements sont assez variés et les musiques enfantines sont dans le ton. Quelques passages sortent un peu du lot : le stage du train où Ronald saute sur des danseuses étoiles sur la musique du Lac des Cygnes (!!!), des sumos qui déforment la chaussée en frappant le sol du pied, les stages bonus qui s'apparentent à un Columns, les boss qui doivent vous "aspirer" et vous perdre de la vie au préalable avant de pouvoir leur faire mal, etc.Jeu pour les enfants oblige, le soft est très facile (un comble pour un jeu Treasure). Les niveaux regorgent de vies et les stages bonus permettent de se constituer un stock beaucoup trop important de vies et de continues...Au final, un platformer plutôt sympa (compte tenu du matériau de base), à faire une fois mais sur lequel je ne pense pas revenir avant quelques années au moins... Mais aussi un des pires jeux développés par Treasure (qui n'a pratiquement sorti que des tueries intersidérales en même temps !).


                                The Blues Brothers (SFC) 27.10.19

                                Un autre platformer tiré d'une licence, mais il s'agit des Blues Brothers cette fois. Cela dit, on ne retrouve absolument rien du film éponyme... Hormis le fait de pouvoir contrôler au choix Jake et Elwood, et les principaux thèmes musicaux.Les persos ont une fâcheuse tendance à "glisser" (un peu à la manière de Gomez dans la Famille Addams ou de Prehistorik Man sur SNES) mais on finit par s'y faire. Impossible de sauter sur les ennemis pour s'en défaire, il faut leur balancer des vinyles (en quantité limitée) à la gueule. Un autre bonus permet de transformer un des 2 frères en bodybuilder mais l'intérêt est somme toute limité. Si les musiques sont réussies, on ne peut pas en dire autant des bruitages, complètement foireux. Le bestiaire est assez absurde (mouche, escargot, pièges à loups, robots... où sont passés les cops de Chicago???), tout comme les environnements, hyper redondants (2 ou 3 thèmes tout au plus) et aux couleurs souvent criardes...Les niveaux (comptez-en une bonne trentaine) sont tantôt faciles, tantôt horriblement durs, certains se pliant en 30s alors que d'autres vous prendront 10 bonnes minutes (en incluant les tentatives ratées)... La difficulté est vraiment mal équilibrée ! Et ici, pas de systèmes de passwords, mais quelques continues... Heureusement, un stage en milieu de partie à dos d'un dragon volant (WTF ?!?!) permet de récupérer une dizaine de vies à chaque run, idéal donc pour refaire son stock avant les derniers stages particulièrement corsés...Parmi les quelques points positifs, le titre est jouable à 2 simultanément, suffisamment rare pour un plateformer pour être signalé.En conclusion, Titus a réalisé un jeu de plateformes tout juste moyen... Vous pesterez souvent contre la jouabilité et quelques passages à la difficulté abusive. Un titre dispensable donc, mais une belle petite pièce de collection sur Super Famicom (assez compliqué à dénicher, toutes proportions gardées).

                                Commentaire

                                Chargement...
                                X