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  • - Ys Origin (PS4) 20.05.20

    J'ai fini le jeu avec chacun des 3 personnages en Normal, ce qui m'a donné un trophée Or "Trois façons d'être un héros". Le 3ème personnage se débloque une fois le jeu terminé avec les 2 autres. Il donne lieu au scénario canon avec le true last boss et le good ending où tout le monde a le droit au bonheur, sauf le héros, bravo Falcom. C'est le même jeu mais de 3 points de vue différents (guerrière, sorcier, "berserker") avec certains événements communs aux 3 personnages.

    J'ai commencé un run en Nightmare. C'est plus du tout le même gameplay, plus question de bourrer, il faut faire attention. Heureusement que le mode arène permet de débloquer les versions Ex des personnages (ainsi qu'Adol) qui sont légèrement plus performants au niveau des pouvoirs.

    Je valide le système de progression et le gameplay. Le rythme du jeu est assez soutenu vu qu'il privilégie l'action frénétique avec son système de power ups temporaires et le boost d'XP si on enchaîne les ennemis. Ça donne vraiment envie de tuer tout les mobs.

    J'ai commandé Ys VIII sur PS4 et précommandé Celceta (sortie le 19 juin).

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    • - Uncharted 3: L'illusion de Drake (PS4) 21.05.2020 : finalement je suis allé au bout. Comme pour les deux premiers il n'est pas trop long donc ça m'a permis de me motiver.

      Il est magnifique. je n'ai pas fait la version PS3 mais j'imagine qu'il a dû tuer le game sur la plateforme.

      L'histoire est un peu pus fouillée que celle des deux premiers opus mais la trame reste malgré tout très calquée sur celle du 2. Parfois je ne savais plus trop si j'étais dans le 2 ou le 3.

      Côté gameplay, les scènes de combat sont plus élaborées que dans le 2, et donc des années lumières au-dessus du 1, mais j'ai rencontré les mêmes problèmes de caméras et parfois d'imprécision des sauts.

      Certaines scènes sont parmi les plus impressionnantes des 3 épisodes, mais je trouve que dans l’ensemble le jeu est assez inégale, avec certaines passages un peu soporifiques (qui ont failli me faire arrêter) alors que, comme je l'ai dit plus haut, certains sont juste sublimes et prenants (scène dans le cimetière de bateaux par exemple).

      Je vais voir si je prends au moins le temps de récupérer les trésors des 3 épisodes mais rien n'est moins sûr.

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      • Mise à jour pour fatir et shubi.

        Entre deux avancées de Bloodstained (je viens de dépasser les 80% de la carte), j'ai fini Altered Beast sur Mega Drive, l'un des énormes classiques de la console du fait qu'il était vendu en pack chez nous.
        Indémodable, pour ses digits vocales, ses musiques, et ses transformations (bon en vrai, seul la métamorphose en loup était réussie).

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        • Tu m'as motivé pour Bloodstained, c'est le prochain jeu que je commence. J'ai pas touché un IGA depuis Harmony of Despair (et ses grosses phases de loot de Valmanway avec chaud_aniki et Arngrim).

          Sinon, j'ai battu Midir dans le deuxième DLC de Dark Souls III. Il faut que je vous raconte. Au début j'ai try hard et il voulait pas mourir l'enculé, du coup ça m'a saoulé, et pour la première fois depuis que je joue au jeu, j'ai commencé à invoquer des mecs au hasard. Bordel, impossible de le battre, surtout avec des bras cassés qui meurent encore plus que moi, des fois on se demande pourquoi ils déposent leur candidature . Par contre, j'ai pu observer le boss d'un point de vue extérieur, comprendre ses patterns et... J'ai fini par y retourner seul, en mode ember, et je l'ai défoncé. Par contre, les tentatives en coop m'avaient ambiancé, du coup, j'ai posé ma marque sur le sol et genre 5 minutes après, j'étais invoqué pour le même boss, c'est beau. La première fois le mec est mort, mais il m'a invoqué à nouveau et il a assez gardé ses distances pour que je fasse le travail. J'ai tué le boss pour lui en mode e-sport, en mettant des buffs foudre sur mon espadon de Lothric et des coups en critical, dont le finish. En fait je viens de comprendre comment on joue au jeu, il faut vraiment faire ses inputs sans paniquer. A un moment j'ai buff mon arme en étant au bord de l'attaque de zone du boss, et je m'étais mis là en marchant, en toute confiance, c'était beau, j'ai vraiment passé un cap, le jeu est ultra satisfaisant (au bout de 150 heures quand même). Bientôt la fin grigri.

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          • Ça fait toujours envie

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            • PaRappa the Rapper (Playstation Classic) 16.05.20

              "Kick! Punch! It’s all in the mind If you wanna test me, I’m sure you’ll find..."Qu'est-ce que j'ai pu faire et refaire cette musique sur le CD de démo PlayStation Magazine à l'époque !!!PaRappa the Rapper était un Rhythm Game particulièrement rafraîchissantà sa sortie, avec son univers cartoon, son fun indéniable, et ses musiques vraiment excellentes (on passe du funk, au rap, au reggae, etc, il y en a vraiment pour tous les goûts)... Il reste très agréable aujourd'hui, malgré sa durée de vie très faible (seulement 6 chansons, c'est peu !) et son calibrage à la ramasse... Plus 20 ans après, je n'ai toujours pas vraiment saisi le timing à adopter pour finir les chansons sans encombre !!!


              Final Fantasy VII (Playstation Classic) 16.05.20

              Fini en 33 heures environ en montant les persos au niveau 82 (vivent les pots magiques qui filent un max d'xp après leur avoir donné un elixir et vive la materiaW-Item !!!). Il me reste quand même un paquet de trucs à faire : encore un peu de farming dans le cratère, morpher les différentes sources pour améliorer les stats de mes 3 persos (j'ai fait quasi toute l'aventure avec Cloud, Barret & Red XIII, sauf quand le scénar m'imposait d'autres persos), récupérer Omnislash, Les Chevaliers de la Table Ronde (et donc par la même occasion élever un chocobo d'or), et battre les 2 Armes ultimes (Rubis & Emerald) évidemment... Je me mets en stand-by pour le moment, j'y reviendrai plus tard.Première fois que je le fais en anglais et effectivement, la traduction semble de meilleure qualité que la version FR (pas bien difficile en même temps !). FFVII a certes pas mal vieilli avec ses combats intempestifs (un peu lourd par moment) et ses décors pré-calculés (on a parfois du mal à savoir où son perso peut aller) mais malgré tout, il reste un monument du JV et du RPG.Son scénario, son univers, son propos et ses messages assez matures (thèmes de l'écologie, du grand capitalisme, les différentes classes sociales, etc) résonnent encore aujourd'hui. Les musiques de Uematsu sont indémodables. Le système de matérias (avec moultes combinaisons possibles) constitue l'un des plus intéressants jamais créés pour un FF voire même pour un RPG tout court. Midgar, la parade militairede Junon, le Gold Saucer, Nibelheim, le Mont Corel, le Cosmo Canyon, la Cité des Anciens (avec la mort d'Aerith évidemment), les combats contre les premières Armes, la descente dans le Cratère Nord, que de souvenirs (et j'oublie tellement de passages/moments cultes) !!!Bref, j'ai vraiment pris beaucoup de plaisir à le refaire. Avant de battre ces satanées Armes, je vais me refaire le VIII (qui ne m'avait pas laissé un souvenir impérissable à sa sortie) mais je compte bien finir le VII avec tous les objectifs que je me suis fixés d'ici quelques semaines/mois.


              Street Fighter Alpha (Playstation Classic) 24.05.20

              Pas grand chose à dire, toujours aussi plaisant à jouer avec son gameplay renouvelé. Dommage que les décors soient un peu vides et que les persos soient aussi peu nombreux mais ces défauts seront corrigés dans les épisodes suivants. Pour avoir une version plus fidèle à l'arcade, mieux vaut s'orienter vers la Saturn par contre.

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              • Je crois que ce n'est pas la peine de préciser PlayStation Classic, un simple PS suffit.

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                • Exact ! Disons que je joue sur PlayStation Classic par commodité, avec des clés USB contenant des packs de roms, assez pratiques.

                  Si ça intéresse qqn d'ailleurs :

                  TrueBlue Mini

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                  • Tout à fait mon cher Tarma. Je mets systématiquement le support d'origine.

                    Sympa comme clé.
                    Tu peux modifier le contenu à loisir ? Non parce que les NFL/NHL et compagnie... si tu peux les dégager pour mettre des jeux plus intéressants.

                    Je mets à jour tout à l'heure.

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                    • Nope malheureusement les clés sont "lockées"... Mais bon c'est pratique au quotidien et ça permet de découvrir quelques titres que j'avais totalement loupés... Et accessoirement, tjrs sympa de refaire certains RPGs en anglais !

                      Je les avais achetées sur cdiscount il y a qq semaines, arrivées sans encombre. J'ai pris Crackhead Pack (la meilleure, de très loin), Fighting Pack et Meth Pack.

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                      • - Last day of June (PC) 25/05/2020

                        Un jeu d'aventure mélancolique, très réussi au niveau graphique, avec son style aquarelle et disposant d'une ambiance sonore bien sentie.

                        Le jeu a malheureusement des aspects lourds et une structure un peu étrange. Au final je suis mitigé, il est alternativement plaisant et saoulant. Comme il fût offert sur le store Epic je ne lui en tiendrai pas rigueur cependant.

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                        • Envoyé par kurush75
                          Exact ! Disons que je joue sur PlayStation Classic par commodité, avec des clés USB contenant des packs de roms, assez pratiques.

                          Si ça intéresse qqn d'ailleurs :

                          TrueBlue Mini
                          https://www.truebluemini.com/playstation/
                          J'ai ma propre clef USB que je complète à loisir pour pallier à la ludothèque plus que moyenne de la PlayStation Classic.

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                          • - Tekken 6 (PS3) 22.05.2020

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                            Le premier contact est assez mitigé. Le jeu dispose d'une belle intro, les graphismes sont plus fins et les modélisations de meilleure qualité. Mais de peu. L'intro est sympa, mais honnêtement, je préfère celle du 5 et en qualité pure, la vidéo fait à peine mieux. Pareil pour la finesse. Si en 480i Tekken 5 étonnait (et même plus si on a la chance de pouvoir booster le signal de sa PS2 en 720, voire 1080), ce Tekken 6 affiché en 720p fait le minimum syndical avec son crénelage très marqué. Quant aux modélisations, là encore c'est à peine mieux que le 5. Bref, je quitte une PS2 qui se surpassait pour une PS3 qui ne se foule absolument pas.

                            Côté contenu le mode Arcade prose d'emblée une grille impressionnante de personnages. Cette suite de 9 combats finit avec une confrontation contre un Jin très classe en président de la Mishima Zaibatsu, puis Azazel, une sorte de dragon gigantesque (et complétement pété).

                            Ceux qui aiment les cinématiques de fin en images de synthèse vont se tourner logiquement vers le mode Histoire, ce dernier étant dans Tekken 4 et 5 une version alternative du mode Arcade, mais avec de la trame narrative. Eh bien ici, pas du tout. On est très proche du mode Tekken Force présent dans le 4. C'est donc un beat them up pas hyper maniable et avec une caméra très capricieuse. À l'intérieur de ce mode on débloque le mode Arena, qui est enfin l'équivalent du mode Histoire des épisodes 4 et 5. Ce dernier ne propose que les personnages du début de l'histoire, plus ceux qu'on affronte au cours de ce beat them up poussif. En plus, ce sous-mode Arena ne fait que 4 pauvres combats.

                            En combat classique, les coups sortent moins bien que dans les Tekken précédents (et moins bien que dans le 7), dommage. L'exécution des commandes est moins permissive, il faut vraiment s'appliquer. Les puristes stricts apprécieront sans doute, moi pas.

                            Sans doute très bien pour jouer en ligne, très bien pour faire du versus en local, très bien pour qui ne jurait que par la génération PS3 / Xbox 360 en oubliant la précédente, ce Tekken 6 m'a globalement déçu. Et pourtant, paradoxalement j'ai bien aimé y jouer : ce n'est pas vilain du tout, les musiques et l'ambiance à la Tekken sont là, le choix de personnages est plus que généreux, etc.

                            Sympa visuellement mais sans plus pour le support, très léger en solo, pas hyper maniable, cet épisode n'est pas aussi mémorable que les 3 et 5, nettement supérieurs au regard de leurs dates de sortie.

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                            • - Dark Souls III: The Ringed City (PS4) 27.05.20

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                              Twilight_Guardian, dépêche-toi de le faire que tu puisses me rejoindre en PvP, les mecs sont toujours à 2 ou 3 contre moi, j'ai besoin d'un acolyte.

                              J'hésite entre attaquer Bloodborne (pour rester dans le bain) ou Nier: Automata (pour changer un peu).

                              En ce qui concerne Ys, je me suis vraiment bien amusé sur Origin mais je vais pour l'instant laisser de coté Napishtim, Felghana et Seven. J'y reviendrai pendant les vacances mais pour l’instant je vais me concentrer sur la sortie prochaine de Celceta PS4 avant de me lancer dans le VIII (ce revirement lol, mais bon, là je suis quasiment sûr de ce que je veux faire ).

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                              • - The King of Fighters '95 (Neo·Geo) 23.05.2020

                                Cela faisait des mois que je n'avais pas rallumé ma Neo·Geo, hérétique que je suis.

                                Globalement, on prend les mêmes que pour KOF '94 et on recommence. Rugal a survécu et organise un nouveau tournoi dans l'espoir de transformer les vainqueurs en cyborgs. Lui-même a augmenté sa puissance grâce à un être suprême dont il sera question dans cet narratif, mais on n'en saura plus que dans le '96.

                                La plus grande nouveauté de ce millésime 1995 est la possibilité de composer sa propre équipe. Il paraît que cette idée à été rajoutée à la toute fin du développement du jeu, bien leur en a pris.

                                Cet épisode ne joue pas la carte de la surenchère, mais celle de l'amélioration. Par exemple on reste à 24 personnages, mais on vire la USA Sports Team du '94 au profit d'un improbable trio formé de Billy Kane, Eiji Kisaragi et d'un petit nouveau, Iori Yagami. Ce dernier est le vrai rival de Kyô (alors que certains disaient que c'était le plus anecdotique Kensu, en 1994) et déborde de charisme. Il est clair que ce genre de personnage ne se rencontre pas chez Capcom.
                                Les personnages voient leur palette de coups étoffée et la jouabilité gagne en souplesse. Par contre attention aux enchaînements, toujours aussi ravageurs.

                                Visuellement, le jeu reprend le style du '94, mais on pourra apprécier des détails comme dans le restaurant de King, où un client joue de l'harmonica en synchronisation parfaite avec la musique.

                                Voilà un épisode très solide à sa sortie, mais qui a pas mal vieilli tout de même.

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