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  • - Lufia & the Fortress of Doom (SNES) 05.03.2019

    Le premier de l'année pour moi !

    Je me suis motivé à faire ce RPG suite au compte-rendu de Chou sur le jeu, disant que c'était un RPG plutôt court à faire.
    Le titre m'ayant toujours interpellé, et le fait qu'il soit relativement court m'a décidé à me lancer....

    Alors je le dis tout de suite, je ne regrette absolument pas de l'avoir fini, mais juste de l'avoir commencé

    C'est clairement une génération de RPG trop ancienne pour moi : graphismes basiques, histoire convenue (mais qui se laisse suivre sans souci tout de même), persos pas charismatiques (chacun sa couleur de cheveux pour ne pas les confondre ).

    Bref c'est vieux.

    Mais ce qui l'est encore plus ce sont :
    - la fréquence des combats (1437 combats en 25H de jeu => 1 combat/minute )
    - le fait que les persos n'aient pas d'auto-correct si leur cible est morte entre-temps => ils frappent dans le vide
    - obligé d'avoir un guide pour avancer dans certaines étapes
    - et autres....

    Bref c'est vieux².


    Mais j'avoue en retirer quand même une certaine fierté d'en être venu à bout, et j'arrive presque à le trouver attachant dans son "archaïsme" finalement....


    Je me demande ce que vaut le 2 d'ailleurs ?
    Dernière modification par Amano J, 05 mars 2019, 23h19.
    le paradoxe féminin

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    • Mise à jour.

      Amano : content que tu aies pu aller au bout, malgré son archaïsme.
      Perso je n'aime pas trop le II et ses trop nombreux puzzles dans les donjons.

      Quelques trajets en train ces derniers jours, donc j'ai ressorti la PSP.
      - Fatal Fury et Samurai Shodown, deux jeux de baston disponibles dans la compilation SNK Arcade Classics Vol.1, que j'ai presque totalement rincée.

      - Kirby's Dream Land sur GB (enfin via l'émulation de la PSP). Une des rares cartouches que je possède encore ! J'adorais y jouer à l'époque. Très simple à prendre en main, cette première aventure de Kirby pose les bases : aspiration des ennemis pour les projeter, de l'air pour voler...
      Les musiques me sont vite revenues en tête, comme quoi les mélodies étaient déjà efficaces.

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      • Thanks pour la MàJ

        Oui je vois d'ailleurs qu'il ne figure pas à ton palamrès ^^
        Quand tu parles de puzzles, c'est du genre : aller d'un point A chercher un objet au point B, revenir au A, partir au C, revenir au B, un truc dans le genre ? Ou plus simple ?

        En tout cas graphiquement, ça a l'air bien plus beau.
        le paradoxe féminin

        Commentaire


        • De rien.

          Oui techniquement il y a une nette amélioration entre les deux.
          Non ce sont plus des puzzles à base de dalles, interrupteurs et autres blocs.

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          • Aaaaah je vais peut être le mettre dans ma to-do list alors
            le paradoxe féminin

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            • J'espère qu'il te plaira plus qu'à moi.

              Mise à jour.

              J'ai fini BioShock Infinite sur PS3. Globalement j'ai apprécié mais moins que les deux premiers. Il faut dire que l'univers de Rapture m'avait littéralement conquis.
              Dans l'absolu, je suis quand même satisfait de voir qu'ils ont voulu se détacher des deux premiers, avec un univers à contre-pied total (une cité dans le ciel, alors qu'avant tout se passait sous l'océan), plutôt que de trop tirer sur la corde, même si on retrouve les mêmes ficelles.
              Chronologiquement, il se passerait plusieurs décennies avant le premier épisode, mais réussit à placer quelques allusions.
              Dans les points positifs :
              - Elisabeth est très utile car elle nous fournit souvent des munitions, objets de soin, etc. De plus on n'a pas du tout à la protéger, donc elle décroche le titre de meilleur PNJ de l'Histoire. Elle sert sinon principalement à crocheter des serrures et coffres-forts (certains upgrades sont cachés derrière, donc à ne pas négliger) et ouvrir des failles spatio-temporelles, pour importer des éléments de décor qui permettront de progresser ou "juste" nous aider dans les combats (tourelles, abris, leurres...).
              - L'ambiance, certes différente et moins malsaine que celle des précédents, mais on sent quand même le petit grain de folie chez certains personnages. Les plus réussis étant, en ce qui me concerne, les deux experts de physique quantique.
              - Les toniques (les magies) qui sont suffisamment différents des plasmides. Mention spéciale à la possession pour retourner les ennemis (ce n'est pas comme la rage) et surtout aux corbeaux (encore plus craqués que la nuée d'insectes).
              - Les films d'époque, sans son bien sûr, avec les sous-titrage intercalés. Très réussis et parfaitement raccord.
              - La qualité du doublage français, comme toujours dans cette série.

              Dans les points négatifs :
              - Le coup des rails. OK on joue la carte des airs à fond dans cet opus, mais toutes les séquences en rail sont confuses. On perd le nord et quand on doit faire demi-tour c'est la nausée assurée. Heureusement que ces séquences sont rares.
              - Les témoignages enregistrés sont moins inspirés. Idem pour les petites réclames quand on débloque les pouvoirs. J'adorais celles des plasmides. Là pour les toniques, bof.
              - Le fait de ne pouvoir porter que deux armes. Plus logique on pourrait dire, mais fatalement plus contraignant. Surtout qu'elles sont très nombreuses (car on peut prendre les armes des deux camps qui s'affrontent) et que les améliorations ne se reportent pas. Donc en cas de pénurie de munitions on réfléchit à deux fois avant de ramasser une arme non boostée à la place. Perso je préférais fouiller un max pour trouver des munitions ou prier pour trouver un distributeur plus loin.
              - La fin est un peu alambiquée et se perd dans les histoires de sauts dans le temps.

              Même si c'est je pense, le moins bon des trois BioShock, c'est un très bon FPS, à faire avant tout pour son ambiance et son univers. Dernière remarque à ce sujet, les remixes façon 1900 de quelques tubes comme Everybody wants to rule the world, Tainted Love, Girls just want to have fun, etc. sont excellents. En effet un certain personnage musicien profite des failles pour plagier ces titres, j'ai beaucoup aimé l'idée.

              Et entre deux parties du premier DLC, j'ai fini Captain Commando sur Super Famicom.
              Bien sûr on est loin de l'arcade, mais j'ai trouvé la conversion assez propre. Un point que j'aime dans ce beat'em all, c'est qu'on est moins harcelé que dans d'autres références du genre. On a moins d'ennemis simultanément, et ils ne passent pas leur temps à reculer dès qu'on avance vers eux.

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              • - Bullet Soul Infinite Burst (PC) 09.03.2019
                Gros coup de cœur pour ce shmup vertical, de par son côté pêchu et l'aura qu'il dégage. Assez accessible et bourrin, il n'en reste pas moins jouissif et chaque vaisseau se joue d'une manière différente. Mon favori reste Rupu(loop) et son vaisseau boxeur.
                L'essence du gameplay du mode Burst s'articule autour de cette récupération de pièces. Plus on récupère de pièces, plus on score. Une jauge de burst se gonfle en détruisant les ennemis. Une fois déclenchée elle décroît. Pendant ce laps de temps, les pièces laissées par les ennemis changent de couleur : à ce moment précis, chaque pièce récupérée vaut plus de points et chacune d'entre elles remonte légèrement la jauge de burst, ce qui permet de rester dans ce mode un peu plus longtemps. Le joueur entre alors en transe à la recherche de la moindre pièce lâchée par les vaisseaux ennemis.
                On ne dispose que d'une vie, sectionnée en 3 parties. Cette jauge de santé peut être régénérée en attrapant des items "R".
                D'autres modes sont disponibles, plus classiques mais efficaces, comme le Caravan mode, Musou ou Bancho.
                Ah oui, les musiques Ichiwatariesques défoncent et apportent un réel plus. C'est dit.

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                • Hana Taaka Daka!? (PC Engine) 10.03.19

                  Hana Taaka Daka!? est un cute them up développé par Taito. Plus connu sous le nom de Super Long Nose Goblin dans nos contrées, on y incarne un tengu dans un univers médiéval japonais typique complètement barré, peuplé de yokai et autres créatures loufoques.
                  Notre tengu dispose d'un véritable arsenal : un tir classique, un tir chargé qui revêt différentes formes en fonction des items récupérées (il fait bien mal et est particulièrement utile contre les boss, pensez à ne pas jouer avec le mode turbo enclenché afin d'en bénéficier), différentes attaques secondaires loufoques (piques, balles rebondissantes, etc) et l'équivalent des options de Gradius (des mini-tengu qui gravitent autour de nous). La santé est représentée par la taille du perso : plus il est gros, plus il a de vie mais revers de la médaille, plus sa hit box est importante. Plus on se fait toucher, plus on perd en puissance (le tir chargé dans un premier temps puis les armes secondaires)...
                  Comme je le disais le bestiaire est assez barré, en voici un florilège : des ornithorynques lanceurs de marteaux pilotant des dirigeables, des fourmis qui utilisent des fraises comme projectiles, des sorcières juchées sur des aspirateurs, des baleines voraces (attention, ces 2 derniers one-shotent !), et j'en passe. Les boss sont de la même veine : un pseudo-catcheur à l'air particulièrement stupide et avec une tête gigantesque, un tanuki imbibé d'alcool et qui lévite, une statue de bouddha, un acteur de No qui dispose de différentes formes (dont Jason de Vendredi 13 et Freddy avec ses griffes acérées), et j'en oublie...
                  Les stages très colorés font la part belle aux paysages traditionnels du Japon (mais pas seulement) : campagne typique, temple et torii (avec les stands de takoyaki ^^), cavernes, vue imprenable sur le Mont Fuji, château fédoal, bambouseraie, etc. Les musiques enjouées collent parfaitement avec l'esprit du titre, qui ne se prend pas une seule seconde au sérieux.
                  Le jeu comprend 6 stages assez faciles à parcourir (avec un système de passwords), puisqu'on peut détruire la plupart des tirs ennemis et toucher les bords avec son tengu. Pour apporter un peu de challenge, chaque niveau est agrémenté d'un niveau "bonus" (qui n'a de bonus que le nom car on peut y perdre un nombre conséquent de vies) dans lequel il faut réussir à dénicher un raton laveur pour en venir à bout (le cas échéant, le niveau bonus défile à l'infini) et récupérer un morceau de parchemin, l'obtention de tous les parchemins étant nécessaire si on veut avoir la vraie fin du jeu. En fait, si l'on récupère tous les parchemins, on a seulement droit aux images complètement dévoilées lorsque les crédits défilent à la fin du jeu... Maigre récompense donc ! Ce soft propose un gameplay vertical, et il faudra choisir parmi plusieurs embranchements à certains endroits. A noter également la présence de pièges qui renferment des bonus/items mais qui vous font recommencer au début du niveau et perdre une vie si jamais vous tombez dedans...
                  Hana Taaka Daka est une franche réussite et clairement un shmup dans le haut du panier sur PC Engine... C'est dire sa qualité, vu la concurrence féroce sur ce support !

                  Un longplay en prime :
                  http://www.longplays.orgPlayed by NPINice cartoonish shooter, with humor I don't quite understand. During the game you need to collect those puzzle pieces so...

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                  • Mise à jour pour Raphoon et kurush.

                    J'ai fini entièrement Carnage céleste, le premier DLC de BioShock Infinite. Sans grand intérêt comme je le craignais car il ne s'agit que de quatre environnements comptant chacun une quinzaine de missions. On peut les franchir "simplement" (au début ce sera très dur car le personnage part sans amélioration corporelle, sans équipement, sans armes boostées), ou en tentant de réaliser les défis propres à chaque stage, et là il vaut clairement mieux attendre d'avoir progressé tellement certains sont difficiles.

                    Et à côté, Capcom vs. SNK 2 sur Dreamcast. Plus de dix ans que je n'avais pas retouché à ce jeu de baston. J'adorais ce cross-over, avec son énorme casting et surtout ses six styles reprenant les différentes grandes lignes des gameplays des jeux d'origine des personnages. Après j'ai personnellement toujours regretté que le mode P, reprenant le parry/blocking de Street Fighter III soit si mal ajusté question timing. Malheureusement impossible d'en tirer autant parti...

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                    • Regarde le top 4 de l'Evo 2018, un américain joue en P et maîtrise plutôt bien le parry
                      le paradoxe féminin

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                      • Oui on doit pouvoir s'y faire, mais ce que je trouve dommage, c'est que même un (gros) habitué du système comme moi n'arrivait pas à grand chose quand le jeu est sorti. Tous les timings étaient faussés...
                        Du coup je jouais plus en C (pas prise de tête), en A parfois (parce que j'aime les oricom) ou en N (jauge à la KoF'97).

                        Mais merci pour l'info. Je ne pensais pas qu'il était encore présent à L'EVO.

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                        • 13/03/2019 ps2 Soul calibur 3.

                          Grand Fans du 1 et ayant beaucoup apprécier le 2 (version gamecube), j'étais curieux de ce SC3 qui n'avait pas dans mon souvenir autant marqué que ses glorieux prédécesseurs.

                          Au final j'en ressort mis-figue-mi-raisin:

                          - le système de création de personnage est sympa, et on s'amuse à se faire le perso de nos fantasmes de nos rêves et à trouver un style de combattant qui nous correspond bien.
                          - débloquer tous les persos, galerie d'images, toutes les armes avec les bonus afférents, etc, promet de longue heure de jeux.
                          - un effort visible pour renouveler un peut le challenge et le jeu tout court, avec l'apparition notamment d'un mode "tactique", qui sans être révolutionnaire, m'a occupé un paquet d'heures de jeu).
                          - le retour de Hwang que j'adorais dans le 1 et qui m'avait manqué dans le 2.
                          - les fins alternatif lié au QTE dans les cinématiques.

                          Mais:

                          - un mode histoire qui me semble aux fraises: même si l'intrigue de soul calibur n'a jamais été autre chose qu'un gros prétexte au massacre, ont a vraiment l'impression que les traducteurs VF en ont rien à foutre, il y a des passage de texte carrément incompréhensible, bref, c'est l'ennuie.
                          - un jeu moins beau que le deux.
                          - des nouveaux persos, clairement anecdotiques.

                          Bref, un jeu sympa, mais passer les 20 h 00 pas de force pour débloquer tout les perso caché, ou venir à bout du mode tactique, dont le scénario ( nuuuuul au possible, et encore une fois, très mal traduit, ont bite rien par moment) ne m'a juste pas motivé, alors qu'il y avait grave moyen de faire un truc sympa.

                          Pas presser de tester le 4 du coup...

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                          • Mise à jour pour megaman.

                            J'ai fini le premier épisode du Tombeau sous-marin, DLC de BioShock Infinite et il répond à toutes mes attentes.
                            Dans un point de départ différent ("des constantes et des variables", ceux qui ont joué ne serait-ce qu'au jeu principal comprendront), pour installer notre duo non pas à Colombia, mais à Rapture, et ceci, avant que la ville ne parte en sucette. On voit donc pour la première fois l'effervescence de la cité sous-marine, avec de la foule, des boutiques et des allées en parfait état, et pas de chrosomes menaçants qui nous attendent. Evidemment les choses se corsent quand on est envoyé dans une certaine partie de la ville, où là on se retrouve en terrain plus familier on va dire.
                            Un plaisir d'y retourner, de revoir tous ces éléments et détails qui renvoient aux deux premiers jeux, que ce soient des événements majeurs ou, je ne sais pas, rien que les fameux distributeurs emblématiques.
                            Sans spoiler, la fin est assez tragique. A voir ce qui arrive dans la suite.

                            Et à côté, Rage of the Dragons sur Neo·Geo.
                            Vraiment pas mal à jouer. J'ai passé énormément d'heures sur le Double Dragon précédent (le bar à côté du lycée l'avait) mais très peu sur cette séquelle. Joli patte graphique, bonne animation, quelques combos sympa (suite à un coup particulier, des touches apparaissent et on doit les reproduire), et un système de tag. Bon le boss final obéit à la règle traditionnelle du gros bâtard tricheur mais il a quand même mordu la poussière.
                            Fini avec Jones, spéciale dédicace aux vieux de la vieille.

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                            • Rage of the dragons

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                              • Je ne peux que plussoyer, i love this game !

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                                le paradoxe féminin

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