Mise à jour.
J'ai fini Shikhondo: Soul Eater en un crédit, sur PS4.
J'ai bien fait de laisser le jeu de côté pendant quelques jours parce que le boss final me sortait par les yeux, syndrome ESPGaluda (arriver sans trop de peine au bout et tomber sur un mur "infranchissable" à la dernière minute), avec l'un des motifs les plus immondes que j'ai croisés dans un shmup. Pas que ce soit surchargé à l'écran, mais ces espèces de fouets de flammes qui vous traquent et finissent immanquablement par vous enfermer (je n'ai trouvé aucune vidéo montrant comment l'esquiver proprement, à chaque fois les joueurs finissent par bomber ou se faire toucher ; si quelqu'un a un lien je suis preneur), c'est im-bu-vable. Mais là j'ai réussi, lors d'une partie en touriste mais qui s'est finalement bien achevée, sur la dernière vie certes mais peu m'importe, je voulais lui faire la peau au moins une fois.
Grosso modo, ce danmaku s'inspire surtout des Tôhô, avec des stages relativement vides, l'accent mis sur l'affrontement contre les boss (qui sont bien trop résistants à mon sens, leur barre de vie semble interminable...), frôler les boulettes, etc. Chaque boss a une première phase assez "gentille", puis une seconde où elle (ce sont des démons féminins) se transforme et là cela ne rigole plus du tout.
A force de frôler les tirs, on remplit une jauge qui nous servira à activer un "hyper", qui effacera tous les tirs et boostera la puissance de feu. C'est primordial pour survivre, d'autant plus qu'en fin d'utilisation, un autre cancel a lieu. C'est aussi cette jauge d'esprits qui permet de "scorer" efficacement puisqu'elle augmentera énormément le multiplicateur.
Un bon petit jeu, que j'avais pris en solde sur le PSN japonais (il était à 5 €), mais qui fait quand même amateur à côté d'autres titres. Pas étonnant qu'il ne pèse presque rien (moins de 200 Mo).
Et à côté, j'ai fini Fatal Fury 2 sur PS4.
Classique de la Neo·Geo. C'est bon d'y retourner même si le fait de ne pas pouvoir enchaîner les coups est perturbant.
J'ai fini Shikhondo: Soul Eater en un crédit, sur PS4.
J'ai bien fait de laisser le jeu de côté pendant quelques jours parce que le boss final me sortait par les yeux, syndrome ESPGaluda (arriver sans trop de peine au bout et tomber sur un mur "infranchissable" à la dernière minute), avec l'un des motifs les plus immondes que j'ai croisés dans un shmup. Pas que ce soit surchargé à l'écran, mais ces espèces de fouets de flammes qui vous traquent et finissent immanquablement par vous enfermer (je n'ai trouvé aucune vidéo montrant comment l'esquiver proprement, à chaque fois les joueurs finissent par bomber ou se faire toucher ; si quelqu'un a un lien je suis preneur), c'est im-bu-vable. Mais là j'ai réussi, lors d'une partie en touriste mais qui s'est finalement bien achevée, sur la dernière vie certes mais peu m'importe, je voulais lui faire la peau au moins une fois.
Grosso modo, ce danmaku s'inspire surtout des Tôhô, avec des stages relativement vides, l'accent mis sur l'affrontement contre les boss (qui sont bien trop résistants à mon sens, leur barre de vie semble interminable...), frôler les boulettes, etc. Chaque boss a une première phase assez "gentille", puis une seconde où elle (ce sont des démons féminins) se transforme et là cela ne rigole plus du tout.
A force de frôler les tirs, on remplit une jauge qui nous servira à activer un "hyper", qui effacera tous les tirs et boostera la puissance de feu. C'est primordial pour survivre, d'autant plus qu'en fin d'utilisation, un autre cancel a lieu. C'est aussi cette jauge d'esprits qui permet de "scorer" efficacement puisqu'elle augmentera énormément le multiplicateur.
Un bon petit jeu, que j'avais pris en solde sur le PSN japonais (il était à 5 €), mais qui fait quand même amateur à côté d'autres titres. Pas étonnant qu'il ne pèse presque rien (moins de 200 Mo).
Et à côté, j'ai fini Fatal Fury 2 sur PS4.
Classique de la Neo·Geo. C'est bon d'y retourner même si le fait de ne pas pouvoir enchaîner les coups est perturbant.
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