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  • Le boulet !

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    • Il est peut-être sorti en boîte par après.

      Mais effectivement il a l'air cool ce jeu, je ne connaissais pas.

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      • 30/04/2019 : résident evil 2 (ps4)
        J’ai passé un excellent moment. J’ai fait le scénario de Claire. Le bon équilibre entre respect de l’œuvre originale et modernité. C’etait Top
        <==// JUSTE J'ACHETE ET JE REVENDS ET JE RACHETE PARCE QUE C BIEN QUAND MEME ...CREW \\==>[/color]

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        • Il est sorti aussi sur Switch, PSVita, la seule version pas sortie pour problème de DRM ou autres, c'est la version EURO PS4, mais qui arrive imminement sous peu.
          Dernière modification par Adol, 01 mai 2019, 19h04.
          La personne la plus detestable, la plus ignominieuse des forums francais.

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          • - Musya (Super Famicom) 01.05.2019
            - Holy Umbrella (Super Famicom) 01.05.2019
            - Aoi Blink (PC Engine) 01.05.2019
            - Ankoku Densetsu (PC Engine) 01.05.2019
            La personne la plus detestable, la plus ignominieuse des forums francais.

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            • Mise à jour pour fboy et Adol.

              fboy : sorte de coïncidence mais tu avais fini Resident Evil 2 (l'original sur PS) il y a pratiquement 10 ans pile !

              Adol : tu avais déjà terminé Ankoku Densetsu (en 2009 aussi).

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              • Mise à jour.

                J'ai fini The Legend of Dragoon sur PlayStation, l'un des gros RPG de la machine qui m'avaient échappés à l'époque.
                Content d'avoir enfin pu m'y frotter car il est réussi sur tous les plans, n'en déplaise à ceux qui le traitent de "sous-FF".
                Déjà techniquement c'est l'un des plus beaux jeux de la console, normal pourrait-on dire vu son année de sortie.
                Ensuite le système de combat force le joueur à faire des enchaînements en rythmes précis lors des attaques, donc le sollicite bien plus que juste bourriner sur la touche de validation. D'autant plus que de nombreux ennemis tentent parfois des contres en plein milieu ("co-co-co-co-combo breaker!"), et là il faudra non seulement appuyer au bon moment, mais sur une touche différente ! En cas de réussite, on peut continuer l'enchaînement, mais en cas d'échec, on est violemment repoussé, avec de gros dégâts punitifs. Bref les phases d'attaques réclament la plus grande attention.
                A partir d'un certain point de l'histoire, on gagne la possibilité de se transformer momentanément (selon le nombre de jauges remplies) en dragoon, chevalier dragon en armure ailée qui décuple tout et permet de lancer de gros sortilèges.
                Je recommande de bien fouiller les donjons car certains objets, utilisables à l'infini (mais juste une fois par combat) rendent d'énormes services contre les bosses vu que c'est tout ce qui concerne les bonus/malus.
                Et tant que je parle des objets, de nombreux objets magiques réclament de marteler le bouton façon jeu d'athlétisme pour accroitre le pourcentage d'efficacité. On aime ou pas, mais cela change carrément la donne contre telle ou telle fragilité élémentaire.
                Le scénario n'est pas en reste. Difficile d'en parler sans dévoiler un peu d'intrigue mais c'est intéressant ces histoires d'espèces qui se succèdent.
                Aussi, là encore sans dévoiler, j'ai aimé le fait que l'équipe connaisse des bouleversements. On n'aura pas les mêmes personnages d'un bout à l'autre.
                Au final, je trouve que la réputation du jeu est tout à fait méritée.
                Compter une cinquantaine d'heures pour aller au bout, super boss optionnel inclus.
                Dernière modification par Shû Shirakawa, 04 mai 2019, 18h03.

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                • Mais pas un mot sur les A/R relous ?
                  le paradoxe féminin

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                  • Euh non cela ne m'a pas spécialement marqué.
                    La carte du monde est un peu bizarre et empêche d'aller où l'on veut (c'est comme un ensemble de rails) mais je n'ai pas trouvé qu'il y avait trop besoin d'aller et venir entre les villes.
                    Par contre ta remarque me rappelle un autre point positif du jeu, l'indicateur d'imminence de combat aléatoire : ultra pratique, que l'on soit dans un donjon ou sur la mappemonde justement. Rien qu'en surveillant la couleur du curseur au-dessus du personnage, on sait si on est tranquille ou si cela ne va pas tarder (et donc se préparer/soigner). D'ailleurs je trouve que la fréquence des combats est très bien réglée. On peut parcourir de bonnes distances sans être ennuyé.

                    J'en profite pour signaler que j'avais fini Sengoku sur PSP dans le train le 30 avril. Bientôt fait entièrement le tour de la compilation SNK Arcade Classics vol. 1.

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                    • Mise à jour.

                      Mes finishes du 8 mai, pour une fois que je ne bossais pas :
                      - Street Fighter Zero 2' sur Saturn. Comme toujours sur cette console, une conversion aux petits oignons. J'aime un peu moins cette version que l'originale à cause du coût du Zero Counter (qui avait encore un intérêt question dégâts) mais sinon c'est toujours l'un de mes épisodes préférés.

                      - TMNT sur PS2. Je n'y croyais pas trop quand je l'ai pris mais c'est plutôt pas mal. Cet opus des Teenage Mutant Ninja Turtles est un mélange de plateformes/beat'em all 3D. Au début chaque tortue se joue séparément, en fonction du scénario (j'apprécie toutes les phases où l'on incarne Raphael en Nightwatcher), puis tout se rejoint et on peut alterner entre les personnages (leurs coups varient bien sûr, mais aussi leurs aptitudes ; Michelangelo par exemple peut planer grâce à ses nunchakus), leur faire exécuter des attaques combinées, des relais en l'air pour les sauts trop lointains, etc.
                      Pour ce qui est des combats, seuls ceux des bosses sont intéressants (le menu fretin n'oppose quasiment aucune résistance). D'ailleurs on ne fait que les blesser au cours du jeu ; il faudra attendre la fin pour les affronter totalement. Bizarrement, le boss final est bien moins dangereux que tous ceux qui le précèdent.

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                      • -Sekiro (ps4) - Je vais pas revenir sur tout ce que j'ai dit dans le sujet dédié

                        -Resident Evil 1 HD remake (ps4)


                        Finalement j'ai enfin fait le remake de Resident Evil 1.
                        Acheté depuis sas sortie sur GC, j'ai attendu de le reprendre sur PS4 pour y toucher... Je voulais terminer celui-là avant de me mettre sur le remake du 2 car le sens inverse aurait peut être fait mal. Et puis après Sekiro, je voulais un truc à la coolos.

                        Techniquement donc c'est pas la folie mais je me souviens de la version GC sur cathodique qui était sublime ; je crois que même en la remettant maintenant elle émerveillerait pas mal de rétines. Là c'est au moins au format 16/9 mais les décors n'ont pas été refaits et ont un sale coté granuleux... Les déplacements avec le stick analogique sont à la foi une bénédiction et une chienlit : à chaque changement d'angle de vue, on garde la direction si on continue à appuyer mais si on relâche y'a un genre de décrochage qui fait parfois tourner en rond avec les points de vue précédents. Irritant.

                        Niveau gameplay, le temps met en lumière les défaillances de la formule : Les aller-retours sont vraiment fatiguants à cause du peu d'emplacement pour les objets ; ça fait vraiment artificiel pour augmenter la "difficulté" et allonger le jeu. (bon après, je me suis donné la mission de ne jeter aucun objet, même quand ils étaient déclarés "inutiles" et de récupérer toutes les herbes... )
                        Le changement d'architecture du manoir à certains endroits tout en conservant une grande partie équivalente handicape presque les joueurs de la 1e heure du jeu. Je me suis perdu quelques fois au départ.

                        Question scénar, ça reste la série B (Z en fait... et j'avoue que ce côté me manque dans RE, presque autant que les intros en fmv avec acteurs) d'époque, avec des ajouts de persos et arrangements au jeu d'origine qui s'intègrent très bien et raccrochent les wagons avec les suites (le Dr Wong notamment, même sur une simple lettre) et ça fait plaisir. En me rememorrant ça, je me demande maintenant comment l'épisode original pouvait ne pas le proposer tellement ça s'intègre bien et densifie l'histoire (qui est, en fait, bien maigre).

                        Terminé en mode Normal avec Chris, j'ai tellement peu utilisé d'herbes et de munitions (il n'y a guère que les Hunters qui font encore frissonner et un peu les zombies "red heads" qui se relèvent bien énervés et rushent) que j'aurais peut être du prendre le mode hard. Mon coffre est plein à craquer

                        en route vers RE2 remake !
                        Dernière modification par TamTam13, 15 mai 2019, 23h34.
                        "un bon mot et tu as la vie sauve"

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                        • Mise à jour pour TamTam.

                          J'ai fini Assassin's Creed: Brotherhood sur PS3, suite directe d'Assassin's Creed II. Le jeu reprend exactement là où le II s'achevait, au point qu'il aurait vraiment pu être compté comme le troisième.
                          On prolonge donc l'histoire d'Ezio (et de Desmond dans le monde réel du coup, même si une fois encore, perso cela ne me passionne pas des masses), l'assassin italien, qui part ici à Rome, ville encore en (re)construction donc avec des quartiers très variés : on passe de la campagne aux beaux bâtiments du Vatican.
                          La grosse nouveauté est, comme le titre le laissait présager, qu'on va fonder une nouvelle confrérie dans cette cité, afin d'aider Ezio à se venger des Borgia. Il faut attendre un certain point de l'histoire avant de pouvoir recruter des citoyens et de les faire progresser en vue d'en faire des assassins (via des missions qu'ils peuvent remplir à plusieurs ; c'est d'ailleurs fortement conseillé pour qu'ils réussissent et/ou leur éviter de mourir).
                          On peut les appeler en renfort, ce qui rend d'énormes services quand c'est possible (dans les "donjons" on ne peut pas par exemple), vu qu'ils vont aller au charbon à notre place (idéal pour les moments où l'on ne doit pas se faire repérer) ou carrément faire tomber un déluge de flèches fatales (parfait pour les phases contre de gros paquets d'adversaires ou les fuyards).
                          Dans l'ensemble, comme je suis fan du II, cela m'a plu de poursuivre l'aventure de ce personnage, mais je trouve dommage qu'on doive toujours autant se battre contre les commandes : combien de fois on a fait un saut en arrière (mouvement totalement inutile qui mettra plus d'un joueur dans la m*rd*) alors qu'on voulait juste sauter pour agripper plus haut ? Combien de fois on veut juste lancer une bombe fumigène mais non, il donne un coup de poing alors que la grenade est dans sa main ?... C'est rageant, du moins quand on a des objectifs précis pour une synchronisation à 100% et qu'on peut échouer à cause de cela.
                          Là je boucle les missions annexes, y compris dans le DLC sur De Vinci, et je ferai l'épisode Revelations plus tard (ce serait vraiment l'overdose si j'enchaînais de suite).

                          Entre deux missions d'assassinat/courtisanes/voleurs, j'ai fini Aero Fighters 3 sur PS4. Ce que j'apprécie dans ce shmup de la Neo·Geo, c'est que pour une fois, les bosses varient au second loop. Ce n'est pas juste une histoires de boulettes plus nombreuses.

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                          • - The Messenger (Switch): 26/05/2019
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                            On passe à Gunlord X.
                            La personne la plus detestable, la plus ignominieuse des forums francais.

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                            • Ça fait longtemps que j'ai pas fait de mise à jour, donc je m'en remets à M. Shû !
                              Certaines dates sont totalement piffées !
                              - Spider-Man (PS4) : 19.01.2019
                              Platiné, c'est dire à quel point j'ai aimé ce jeu. On est sur une déclinaison des Batman Arkham, mais l'ambiance Spidey permet au jeu de dépasser le stade de la simple copie. Graphiquement fou, animation de Spidey hallucinante, progression à la carte en mode monde ouvert juste ce qu'il faut pour ne pas me rebuter, tout était fait pour remporter mon adhésion.
                              On pourra dire que c'est répétitif et que le scénario principal est convenu, mais le reste est tellement travaillé que je ne saurais que le conseiller.
                              Coup de cœur !

                              - Mortal Kombat 11 (PS4) : 07.05.2019
                              Mode story bouclé pour la rigolade. Servant de mise en bouche avant l'approfondissement du gameplay, le mode histoire de ce nouveau MK propose un scénario totalement pété à base de paradoxes temporels créés par la nouvelle méchante. C'est surtout l'occasion de faire s'affronter des Liu Kang et Kung Lao normaux et morts-vivants, de faire se rencontrer Johnny Cage jeune et vieux, etc.
                              Mis à part ça, le jeu en lui-même est toujours aussi rigide mais a fait pas mal de progrès (heureusement !) de ce côté-là. Le système de jeu est très fouillé, en témoigne le mode entraînement ultra détaillé.
                              Mais si j'ai pris MK 11, c'est surtout pour le gore à tous les étages qu'il propose. Et j'en ai pour mon argent. Les réunions de brainstorming sur ce point précis du jeu doivent être impressionnantes.
                              Jamais je ne creuserai techniquement le jeu, mais en mode défouloir, il est parfait !

                              - Streets of Red (Switch) : 19.11.2018
                              Un petit beat'em all 2D vague rétro qui était en promo et que je ne regrette pas d'avoir pris. Des nerds subissent une apocalypse zombie et doivent remettre les choses en ordre en faisant la bagarre.
                              La palette de coups n'est pas très élevée pour chaque personnage et sert avant tout un système de "scoring" assez simple où il faut achever un maximum d'ennemis en même temps après les avoir mis à terre. C'est rigolo mais un peu redondant.
                              Ce qui fait la force du titre, c'est qu'on choisi l'ordre des niveaux, et plus on choisit un niveau tard dans le jeu, plus il sera long et proposera des décors différents. Très sympa pour la rejouabilité, donc.
                              On sent que le jeu veut titiller la culture geek old school de chacun avec un max de références plus ou moins poussées, que ce soit au niveau des héros, des ennemis ou des textes.
                              On le trouve pas si cher, et il fait le taf, donc pourquoi pas ?

                              - Astro Bot Rescue Mission (PS4) : 08.02.2019
                              Énorme coup de cœur VR. J'étais curieux de comprendre les éloges qu'on faisait de lui, et je l'ai compris dès les premières secondes de jeu. J'ai été conquis de suite. Le jeu m'a donné la même claque que Super Mario 64 en son temps. Et pour moi, c'est pas peu dire.
                              Adorable, inventif, plaisant à jouer, ce jeu est une bouffée d'air frais qui fait du bien.
                              Tous ceux à qui je l'ai fait essayer ont plongé direct.
                              Il me manque quelques robots à sauver çà et là, j'y retournerai bien évidemment !

                              - Tetris Effect (PS4) : 13.01.2019
                              Autre claque VR. Et pareil, je voulais comprendre l'enthousiasme autour du titre, c'est fait.
                              Déjà, je suis un fan absolu de Tetris, je ne suis pas bon, mais il fait partie du TOP 3 ever pour moi.
                              Cette mouture VR, surtout en mode Périple, le mode "histoire" que j'ai fini, sublime le jeu en nous plongeant dans un monde à part. C'est simple, je jouais à Tetris, mais j'avais l'impression d'être dans un autre monde grâce à la mise en scène, les décors et la musique proposés autour du tableau de jeu. Tetsuya Mizuguchi a définitivement magnifié ce classique en en faisant une expérience visuelle et auditive unique.
                              A côté de ça, les modes proposés permettent de varier les plaisirs, mais il manque un mode 2 joueurs !

                              - Phantasy Star (Switch) : 08.03.2019
                              Je voulais à tout prix me faire ce classique de la Master System. C'est chose faite.
                              Remis dans son contexte, ce devait être impressionnant pour la console et l'époque (en particulier les donjons en 3D), mais le fait est que j'avais déjà une NEC en ce temps-là, et qu'elle faisait bien mieux !
                              Concrètement, j'ai passé un bon moment, mais je me suis dis un paquet de fois qu'à l'époque, ce jeu devait être un enfer, entre le grinding qui n'en finit pas et les énigmes cryptiques au possible. Heureusement qu'aujourd'hui, on a le Net !

                              - What remains of Edith Finch (PC) : 10.03.2019
                              Je n'avais jamais touché un "walking simulator" de ma vie, et on disait du bien de celui-ci. Il est passé gratos sur l'Epic Games Store, c'était parfait pour m'y mettre !
                              Ce jeu est un conte magnifique, une expérience assez courte à vivre en une ou deux fois max pour ne pas décrocher de son univers.
                              On y dirige en FPS un personnage (no spoil) qui revient dans la maison familiale, sorte d'enchevêtrement de pièces comme autant de générations qui s'y sont succédé. Au fil de la visite et en touchant des objets chers aux différents membres de la famille, on se retrouve plongé dans leur histoire, avec un gameplay différent, simple mais efficace.
                              Sachant que la plupart des membres de la famille a eu un destin funeste, je vous laisse imaginer l'ambiance qui plane sur ce jeu.
                              La force de ce titre, c'est qu'il nous fait éprouver différents sentiments, je crois que jamais aucun jeu ne l'avait fait chez moi.
                              Attention, il n'y a aucun challenge dans Edith Finch, mais le récit qu'il propose marque durablement pour peu qu'on y s'investisse un tant soit peu.
                              Encore une grosse expérience !

                              - Clockwork Knight (Saturn) : 15.05.2019
                              Petit retour dans le passé pour moi avec la ré-acquisition d'une Saturn.
                              Je me suis dit que j'allais me refaire un des premiers titres que j'avais eus sur ma Saturn jap à l'époque.
                              CK est un jeu de plates-formes classique où on se retrouve dans un monde de jouet, où notre héros, chevalier mécanique avec une clé dans le dos, doit retrouver sa dulcinée. Il va donc partir à l'aventure dans toute la maison et traverse la chambre, la cuisine, la salle de bains, etc.
                              Mais sous son classicisme, j'ai vraiment le sentiment que Sega avait de grandes ambitions pour ce titre : beaucoup de cinématiques, des effets de profondeurs impressionnants pour l'époque, une mise en scène léchée avec des chansons que ne renierait pas Super Mario Odyssey (à 00.50) : https://youtu.be/YRqkloiKMy0, bref, des moyens pour un jeu bien classique au demeurant.
                              N'empêche que je suis content d'avoir retrouvé Pepperouchau et que je me ferai la suite dans un avenir proche.

                              - Gun Force (Arcade) : 27.05.2019
                              Run&Gun archi classique de chez Irem, j'ai envie de dire que c'est le brouillon du 2 sur lequel je vais plus m'attarder.

                              - Gun Force 2 (Arcade) : 27.05.2019
                              Ce jeu est une tuerie ! Je ne l'avais jamais approfondi, quelle grosse erreur !
                              Bien évidemment, je savais que Gun Force 2 était l'œuvre des futurs membres de Nazca, qui développeront la série des Slug, mais j'ai kiffé d'y jouer tout en pensant à ce que les programmeurs proposeraient dans le futur sur NeoGeo.
                              Tout est déjà là : le design général, les animations détaillées, la folie, les digits sonores et la qualité de la musique, les véhicules, la variété des ennemis, le jeu décomposé en 5 stages, les otages à sauver (des meufs, ici), tout !
                              Si Metal Slug propose un jeu plus abouti globalement, j'ai limite trouvé que Gun Force 2 était plus fou dans sa proposition. Un très grand moment d'arcade.
                              Dernière modification par Onihyde, 27 mai 2019, 13h16.

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                              • Ça fait plaisir tout ça, Oni.

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