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Topic pop-corn et salle obscure

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  • Envoyé par neokony Voir le message
    C'est vrai que Subway, Le Grand Bleu, Nikita et Léon sont des bouses infâmes
    Non, mais largement surcotés.

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    • On dirait moi qui parle de Nintendo

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      • Envoyé par neokony Voir le message
        Ça manque d'explosion pour ton home-cinema
        Je ne pense pas... dans le genre, j'ai largement préféré des films comme Lost Highway, Mulholland Drive ou Elephant Man... des films sans explosion au passage

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          • Valérian a l'air bien mal parti.

            Mais c'est bien ce que je pensais, Luc a assuré les ventes et a remboursé à 90% du budget (assez énorme pour un flim «français»).
            Cela dit, ça fait toujours mal d'avoir un échec de cette ampleur...

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            • D'autant que malgré des critiques qui defoncent le film (enfin Besson), j'ai lu une critique favorable très convainquante et disant que le film est bien et se regarde avec plaisir.

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              • Envoyé par gojirien Voir le message
                ..., j'ai lu une critique favorable très convainquante et disant que le film est bien et se regarde avec plaisir.
                Laisses-moi deviner...Besson magazine?
                Phascolarctos cinereus connardus...

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                • Besson froc

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                  • Jerry.

                    Critique favorable très convaincante, je serais curieux de lire ça.

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                    • Hop.

                      "Bestof2017: Luc Besson's adaptation of Pierre Christin and Jean-Claude Mézières's 'Valérian, agent spatio-temporel/Valérian and Laureline' seminal album 'L'Ambassadeur des Ombres/Ambassador of the Shadows' (1975) into VALERIAN AND THE CITY OF A THOUSAND PLANETS (2017) is one of the most pleasurable sensory experiences of the season, and a real treat. Fans of the Valérian and Laureline series may (will) balk—what was essentially Laureline's first solo sf adventure in Christin and Mézières's bande dessinée is considerably revised to expand and favor Valérian's role—but as a longtime reader of the series (since L. Mitchell's translation of 'Ambassador' was serialised in Heavy Metal back in 1981, and I snapped up its 1982 Dargaud USA complete edition in English), I was swept up in VALERIAN and had a marvelous time with it.

                      The opening minutes of VALERIAN are, in their own way, as perfect as those of Karel Zeman's BARON PRASIL/THE FABULOUS BARON MUNCHAUSEN (1961)—neatly set to David Bowie's "Space Oddity." I was initially resistant to seeing/hearing Dane DeHaan as Valérian and Cara Delevingne as Laureline, but they both won me over in short order. Since VALERIAN is really about them, the rest of the cast—which includes Clive Owen, Rihanna, Ethan Hawke, Herbie Hancock (!), Kris Wu and Rutger Hauer (short but sweet seeing Hauer herein)—is essentially part of the tapestry. Apropos to the abundant visual wellsprings from decades of inventive Mézières worlds, that tapestry is inviting, delirious, and quite intoxicating in and of itself. Besson customizes key components of the graphic album and the entire series to his own needs—the Shingouz trio are here, as is "the Grumpy Converter" of Bluxte, here reoriented to being the "last of its kind" essential to the adrift Groubos—in a film he dedicates in the final frame to his father.

                      Eager to see it again on the big screen (in 3D second time around, I hope; I saw it flat today); just a marvelous piece of work all around, which left two couples sitting on opposite ends of the theater I saw it in cuddling and kissing at the end after they'd gasped and laughed aloud with the film more than once. The audience I saw it with was with the film all the way, a real treat to experience big-screen contemporary sf adventure that doesn't leave folks hammered into submission or sobbing (as some were at the end of ROGUE ONE: A STAR WARS STORY, 2016, when I caught that one). As with Miyazaki's films, VALERIAN revolves around cutting to the core of what makes militaristic empires tick, and their destructive addictions, and why love, not violence, keeps worlds alive. No surprise, then, that this (the most expensive 'indy' film ever made to date) emerged from Besson tapping Mézières for design work on LE CINQUIEME ELEMENT/THE FIFTH ELEMENT (1997), which VALERIAN trumps handily, to my mind (but they are companions, no way around that).

                      Now that I've seen VALERIAN, checked out some of the reviews. I guess most of the critics didn't see the movie I saw; fuck 'em. Open your ears, eyes, and heart, and go see VALERIAN."

                      Et pardon, il s'agit du retour d'un spectateur. Mais ça me donne envie à moi

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                      • Merci.
                        Je crois que y a un réal' célèbre qui a adoré aussi.

                        Je crois que ce qui me fait le plus peur, mis à part le fait que c'est du Besson ^^, c'est la tête du héros.

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                        • Tout à l'heure en faisant mon essence j'ai vu la BA de Valérian sur l'écran de paiement de la pompe. Bien ça m'a donné envie de prendre du 98

                          Non je suis sûr que ça le fait ! C'est de la SF avec des vaisseaux dans l'espace donc ça sera toujours mieux que Lucy

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                          • En faisant ton essence ?
                            Avec du jus d'orange ?

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                            • Pas compris pour le jus d'orange


                              Non mais c'était drôle de voir ça sur ce petit écran et de se dire : ha, quand même... Merde ça déborde !

                              Enfin le 5ème élément était bien, un très bon divertissement, avec pleins de bonnes idées, de bons acteurs etc... Et si Besson a quelque peu repris les mêmes recettes pour celui là, ça pourrait être tout aussi divertissant. Le tout, du moins en ce qui me concerne, c'est qu'il me fasse un minimum rêver et voyager. Et ça parait bien parti pour être le cas !

                              Maintenant, attendre aujourd'hui un véritable chef d'oeuvre de la part de Besson, je crois que c'est de l'ordre du fantasme... Et justement, "Lucy" aurait pu l'être... Mais avec une licence comme Valérian, c'est différent. Il faut s'attendre je pense, à un film qui fait le job

                              Surtout, on sait qu'il manque maintenant rarement de finances pour ses projets... Et ce type de films en a bien besoin, pour arriver à se démarquer.
                              Dernière modification par nogo, 27 juillet 2017, 23h58.

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                              • (Tu as dit que tu "faisais" ton essence, comme si tu la fabriquer. Au lieu de dire que tu était "en train de faire le plein d'essence" ou un truc du genre)

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