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  • je sais pas, le look déjà, je trouve qu'Altaïr a une classe que n'a pas Spaggheto, et puis un côté plus mystérieux aussi

    et j'aime les hommes mystérieux aux grandes cagoules
    RIP Player Two... ou pas !

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    • Le 1er j'y ai rejoué avec l'intention de me le refaire en entier, c'est juste pas possible, j'ai tenu 1 heure, répétitif au possible, et puis l'IA est très chiante, on peut à peine courir ou faire du cheval qu'on est pris pour cible, sans compter les mendiantes super chiantes et les gogols qui nous foutent des baffes partout dans les villes.

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      • Message á ceux n'ayant pas fais le jeu (AC 2), ATTENTION Y A DU GROS GROS SPOIL DANS CE MESSAGE !

        Envoyé par Arngrim
        Assez étonnant, je trouve le rythme bien mieux maîtrisé, surtout qu'il évite le joueur de se retrouver dans des routines basiques comme dans le 1 à chaque nouveau quartier.

        Là au moins on a des événements imprévus, variés, faisant avancer le scénario (secondaire).
        Je comprends ton point de vue. J'avoue y a de la diversité, mais elle se répete trop, et je plaide coupable pour l'avis subjectif. J'ai trouvé les missions chiantes, et trop faciles. Dans le 1, j'ai pas souvenir pouvoir prendre á parti la cible en esquivant les gardes, la tuer, et sprinter tranquilou en dehors de la zone pour revenir á zéro. Je crois n'avoir recommencé une mission que 2 fois, et encore, pour un saut foiré.

        Lá je suis sur brotherhood, je m'amuse un peu mieux deja au niveau des quetes (j'en suis au premier recrutement des assassins) mais ca suit la meme facilité. Heureusement que le scénario me tient en haleine pour avoir le fin mot de l'histoire d'Ezio (avec l'effet drama teasé au début du jeu* ) parce que je suis resté un peu vide d'explications surtout concernant la petite voleuse de Venise, je m'attendais á se qu'ils soient ensembles pour coller au flashback de Desmond avec Altair á Accre, et aussi la fin en elle-meme qui me laisse ne pas comprendre quel est le rapport entre le pouvoir de la pomme (je suis sur qu'ils font un clin d'oeil á Steve Jobs avec leur scénario ) et une ancienne civilisation. Y a bien la vidéo du sujet 16, mais bon ...

        * Pour ceux qui l'ont fait, petit raffraichissement de mémoire : quand Desmond atteint la chambre secrete des tombeaux et qu'il apprecoit le spectre d'Ezio étant vieux et revenant visiter le tombeau.


        Envoyé par NeoJin
        Pareil en fait, le 1er avait effectivement un cadre magnifique, mais qu'est ce qu'il était répétitif.

        Le 2 est très varié, très beau encore une fois ( la modélisation des villes italiennes qu'on traverse ), et pas de sensation d'ennui. Brotherhood suis completement cette ligne la.
        C'est clair que c'est magnifique et immersif, mais bizzarement je l'ai été moins que le 1. P'tet l'effet "Italie" qui joue parce qu'á part Rome le reste j'en ai rien á péter

        Envoyé par shupmaster
        La perfection aurait été d'avoir un Assassin's Creed 2/Brotherhood avec Altaïr et pas Ezzio :(
        +1

        Envoyé par Arngrim
        J'ai du mal à comprendre cette désaffection générale d'Ezio.

        Perso, l'un ou l'autre, ça me gène pas plus que ça.



        (bon, il est rital, donc en effet.... mais l'autre est arabe !)
        Bah pour moi, Ezio est trop "normal", avec papa maman, 2 freres, une soeur, et meme un oncle ! Il ressemble á n'importe quel mec lambda. Normalement quand t'es assassin t'es orphelin avec un doigt coupé, et seul au monde pour travailler

        Ceci dit bizarrement, seulement maintenant je commence á m'attacher au perso, meme á Desmond, et á Shaun et ses vannes d'enculé Et tout ca avec le teasing du début du jeu. En gros Ubisoft m'a lobotomisé

        Nan mais je suis bon client en général, donc je pense ne pas rester sur ma faim, enfin j'espere ... Apres-demain je serai fixé, vu que je compte pas m'attarder sur les quetes annexes á fond pour celui-ci.

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        • Un truc qui aurait pu être sympa aussi, c'est le développement de la ville de Monteriggioni.

          Je trouve qu'il y avait le potentiel de faire quelque chose de vraiment interressant en développant cette ville ( autre qu'en rachetant des oeuvres d'arts etc ).

          La fin du 2 est très chelou par contre, on sent une grosse inspiration franc maçonne dans ce bordel, tout le long des deux jeux d'ailleurs, mais bon, faut prendre tout ça pour ce que c'est, une oeuvre de fiction, du moins j'éspere.

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          • Non!

            C'est un documentaire historique! En plusieurs épisodes.

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            • Mise à jour.

              J'ai enfin (re)fini SRT A sur GBA.
              Obligé de comparer avec le remake PSP : techniquement on va s'abstenir, trop d'écart entre les machines, Banpresto n'en était qu'aux balbutiements d'animations donc ça reste très sommaire. Globalement c'était plus facile dans cette version d'origine (malgré l'ancien système d'amélioration des armes), à part peut-être l'avant-dernière carte. Le boss final, c'est le jour et la nuit car à l'époque on n'avait pas encore tous ces boss affublés de PV à six chiffres, il ne possède pas de tir de carte, ne peut pas jouer deux fois par tour... bref il ne lui reste que son blindage élevé pour tenir un peu le choc. Autant dans le remake la limite de 10 tours est sacrément handicapante et en général on va réussir pas loin de la fin, autant là en quatre tours c'est torché. J'aurais voulu faire moins mais je n'ai pas pu appliquer une stratégie des plus fourbes (car il me manquait une magie dont elle dépend).^^
              Casting très agréable (c'est l'un de ceux dont l'équipe de développement est la plus fière il me semble), et pas trop nombreux (mine de rien c'est lourd quand on a trop de pilotes/unités à gérer).
              En résumé un bon épisode mais qui a pris un coup de vieux, rien que par rapport aux autres disponibles sur GBA.
              Dernière modification par Shû Shirakawa, 16 septembre 2011, 10h46.

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              • Envoyé par NeoJin
                La fin du 2 est très chelou par contre, on sent une grosse inspiration franc maçonne dans ce bordel, tout le long des deux jeux d'ailleurs, mais bon, faut prendre tout ça pour ce que c'est, une oeuvre de fiction, du moins j'éspere.
                Ah parce que les développeurs de Wolfenstein sont nazis ?
                RIP Player Two... ou pas !

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                • Bah dans Wolfenstein t'affronte les nazis, la t'as plutôt tendance à être du côté franc mac' .

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                  • en effet si tu comprend pas ce que je voulais dire ! Tu nous fais un complexe "famille de france" ?

                    Si tu as fais Modern Warfare 2, tu étais indigné par la mission dans l'aéroport ? Tu t'es dis que les développeurs étaient des terroristes en puissance ?
                    RIP Player Two... ou pas !

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                    • Je ne joue pas à Modern Warfare , mais je vois ou tu voulais en venir ( enfin je crois ).

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                      • bref tout ça pour dire qu'il faut pas y voir autre chose que ce que c'est : un divertissement
                        RIP Player Two... ou pas !

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                        • Envoyé par NeoJin
                          Un truc qui aurait pu être sympa aussi, c'est le développement de la ville de Monteriggioni.

                          Je trouve qu'il y avait le potentiel de faire quelque chose de vraiment interressant en développant cette ville ( autre qu'en rachetant des oeuvres d'arts etc ).

                          La fin du 2 est très chelou par contre, on sent une grosse inspiration franc maçonne dans ce bordel, tout le long des deux jeux d'ailleurs, mais bon, faut prendre tout ça pour ce que c'est, une oeuvre de fiction, du moins j'éspere.
                          Pour le logo peut-etre, et encore :



                          Pour la franc-maconnerie pure, bof bof. Si tel est le cas, alors ils ont juste repris le concept de prophete, qu'attendent aussi les francs-macons. Avec AC, au moins ils ont mixé les plus fameuses des sociétés secretes en un jeu

                          Dans le 1 par contre je me rappelle pas ce qui pourrait s'y coller.

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                          • Le message du jeu en lui même est également très anti religieux, ce qui concorde avec le reste.

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                            Les fameuses cérémonies.

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                            • Street Fighter II' (PC Engine) 16/09/2011 en 1CC avec la manette classique

                              en fait on s'y fait vite, toujours aussi impressionné par la qualité de cette version

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                              • Mise à jour.

                                psykotine : j'avais rarement autant attendu un jeu par la Poste. J'étais en vacances d'été, à l'autre bout de la France et comme le courrier était suivi je guettais comme un fou chaque matin à la réception de l'hôtel. Puis le jeu est arrivé.
                                Et là j'ai dû attendre patiemment qu'on rentre de vacances pour l'insérer dans ma SuperGrafx. Je n'ai jamais autant feuilleté une notice que celle-ci.

                                J'ai fini Pop'n Twin Bee sur SFC, en un crédit.
                                C'est du Twin Bee donc très coloré, assez enfantin comme univers. Le jeu n'est pas très difficile, du moins jusqu'au septième et dernière stage, où ça arrose sévère sur tous les plans. En effet on doit aussi gérer les ennemis situés au fond de l'écran, et les bombarder grâce à un tir dédié. Pour le reste, on dispose de tirs frontaux et de coups de poing (très puissants, possibles à charger).
                                On retrouve les traditionnelles cloches de couleurs, qui dispensent divers armements, options, boucliers, bombes ou tout simplement des points pour les cloches basiques, dont la valeur augmente rapidement jusqu'à 10.000, tant qu'on n'en laisse pas passer une. Chaîne classique, on pourrait presque dire "à la Raizing", mais en beaucoup moins pénible : moins piégé, et très peu de paliers.
                                De quoi passer un bon moment avec cet épisode, néanmoins chaque partie peut être assez longue, un loop complet du jeu représentant environ 50 minutes !
                                A partir du loop suivant, des boulettes suicides font leur apparition, ce qui corse sacrément les choses.

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