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  • Envoyé par nogo Voir le message
    Mais il me semble que l'on nie tous volontairement ou non la réalité et que nous nous coltinons tous certains problèmes psychologiques

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    • Faire de sa sexualité alternative un mode de vie est une déviance grave.

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      • Si c'est à moi que tu réponds, je parle toujours du fait de charcuter son corps au bistouri pour rentrer dans une case.

        Les gens ont la sexualité qu'ils veulent, je suis pour. Les deux n'ont rien à voir.

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        • Je rebondissais sur les problèmes psychologiques.

          Je parlais des gens qui se définissent par leur sexualité, avec les questions de genre en toile de fond. Et bien que je trouve ces gens fondamentalement divertissants, je juge quand même leur attitude comme toxique.

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          • Envoyé par fatir Voir le message
            Faire de sa sexualité alternative un mode de vie est une déviance grave.
            C'est très bien dit.

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            • Seulement ça n'a parfois que peu à voir avec la sexualité, puisque certaines personnes ont ce besoin bien avant de passer à l'acte. Du moins ce que je faisais remarquer plus haut, c'est que nous subissons tous -à différents degrés- des troubles psychologiques et que nous essayons tous -tant bien que mal- de les gérer ou de nous en accommoder. Et chez certaines personnes, ça passe par des procédures plutôt extrêmes. Mais si pour elles c'est la seule solution... Enfin ce n'est toujours qu'une histoire de curseur. Puisque si pour nous, une coupe de cheveux et des sapes suffisent à nous sentir bien dans notre peau, d'autres ont besoin de pousser bien plus loin le curseur, c'est comme ça... Et je ne pense pas qu'il faille chercher plus loin

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              • A la base ces personnes sont mal dans leur peau ou ont des problèmes psychologiques, apparemment tout le monde est d'accord pour dire ça.

                Et selon certains, la solution à leur bonheur serait de se charcuter le corp, le modifier avec des hormones et devenir des marginaux sociaux... la recette de l'épanouissement, en effet.

                Ne pas chercher plus loin, c'est valable dans une discussion du forum mais si un de tes proches souffre de dysphorie de genre, j'espère que tu y réfléchiras à deux fois avant de l'envoyer vers un choix de vie irréversible.

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                • Ils sont forts chez Naughty Dog. Un secret vient d'être découvert dans le premier TLOU, qui permet d'entrer dans la chambre de Joël au début et de voir la photo d'une fourmi zombifiée sur l'écran de la télé :

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                  • Qu'est-ce que vous entendez par mode de vie ?

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                    • Envoyé par grigri Voir le message
                      Qu'est-ce que vous entendez par mode de vie ?
                      J'ai écris "mode de vie" mais je pensais plutôt à "lifestyle".



                      DANTE, je ne reconnaîtrais la disphorie de genre que quand les gens auront reconnu mon TDAH.

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                      • Une vision du monde à travers le prisme de sa sexualité; ce qui donne ça par exemple: https://www.jeuxvideo.com/news/13284...-jeu-video.htm

                        Commentaire


                        • Tu devrais rajouter un "A" à t'as maladie. Ce serait trop classe en soirée.

                          - Tu souffre de quoi?
                          - TADAAAAH!!! (secouant ses deux mains écartés de chaque côté des épaules)
                          - Non mais sérieux...

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                          • Envoyé par yori Voir le message
                            Une vision du monde à travers le prisme de sa sexualité; ce qui donne ça par exemple: https://www.jeuxvideo.com/news/13284...-jeu-video.htm
                            Le truc génial c'est que ça, ça passe crème, mais tu fais un "cis-game", tu te fais défoncer.

                            Commentaire


                            • Envoyé par DANTE2405 Voir le message
                              Et selon certains, la solution à leur bonheur serait de se charcuter le corp, le modifier avec des hormones et devenir des marginaux sociaux... la recette de l'épanouissement, en effet.
                              Dans ce cas ça montre bien, vu les contraintes que ça représente, que ce n'est pas simplement pour être à la marge et exister aux yeux des autres (quoique le masochisme ça existe aussi^^). Donc la plupart le font pour eux ou elles mêmes et leur bien être personnel. Et d'ailleurs, c'est bien le regard des autres, qui marginalise. Donc tout l'intérêt au final, c'est de sortir de cette stigmatisation et qu'il n'y ait plus aucun problème à ce que chacun soit ce qu'il ou elle souhaite être, non ?


                              Envoyé par DANTE2405 Voir le message
                              Ne pas chercher plus loin, c'est valable dans une discussion du forum mais si un de tes proches souffre de dysphorie de genre, j'espère que tu y réfléchiras à deux fois avant de l'envoyer vers un choix de vie irréversible.
                              Ah mais je n'ai pas dit que pour une personne faisant un tel choix, c'était facile, qu'il ne fallait pas hésiter, qu'il n'y avait pas à se questionner et etc.. Car c'est sûr que plus la démarche est extrême et plus cela demande réflexion. Mais c'est bien souvent du cas par cas. Et quand une personne a fait ce choix là, je ne vois pas ce qu'on pourrait lui reprocher. Par contre j'avoue que je ne pense pas que j'arriverais moi même à conseiller à quelqu'un de faire ce type de choix

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                              • Faut faire quelques distinctions.

                                D'une part, les dysphoriques de genre.
                                - Parmi eux, ceux pour qui leur corps de naissance est une source de souffrance, ne le supportent pas et souhaitent le modifier. Evidemment, pour un traitement comme pour une opération, un suivi par un psychologue est obligatoire. A moins d'aller faire ça à la sauvette en Thaïlande.
                                - Ceux qui assument leur corps et ne désirent pas en changer. C'est plutôt là la tendance nouveauté.

                                D'autre part, le regard des autres.
                                - Le reste de la société. A elle d'accepter et d'intégrer les dysphoriques (ou pas !!). Ca commence par la reconnaissance de leur souffrance, et le changement de regard.
                                - L'administration. Changer de prénom, changer de sexe (même sans opération) dans les papiers et dans les usages demeure extrêmement compliqué.

                                Bref tout ça confirme les QAnon dans leur lutte contre un complot visant à faire de nos enfants des pédés

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