Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Palmarès JV (2.0)

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Merci pour ce retour. J'ai le jeu sous blister sur mon étagère. J'attends sagement d'acheter une PS4 mais...en te lisant, je me demande si j'aurai la patience...
    Docteur Agrégé Neo-Geo

    Commentaire


    • Bah le jeu est "stand-alone", pas de contrainte de multiplay et objectivement il claquera toujours autant dans 6 mois je pense.

      Personnellement, je ne l'avais pas fait sur PS3 et ça ne m'a pas manqué... mais j'aurais sûrement aussi raté quelque chose, et je suis heureux de l'avoir fait dans cette version AAA.

      Après, il y a toujours l'excitation du jeu prêt et dispo, et ça... à toi de voir.

      Commentaire


      • Left behind, c'est pas la folie. Disons que c'est sympa et comme tu viens de faire le jeu, tu peux enchaîner. Ça sera toujours mieux que de la faire dans 6 mois complètement déconnecté du jeu.

        Je pense que ce type de jeu ne se prête pas à de tels DLC 't'façon.

        Commentaire


        • - Megamind (PS3) 02.01.2015

          Vite fait bien fait, faut couper les voix dans les options sinon c'est vite insupportable.

          Commentaire


          • Envoyé par grigri
            Left behind, c'est pas la folie. Disons que c'est sympa et comme tu viens de faire le jeu, tu peux enchaîner. Ça sera toujours mieux que de la faire dans 6 mois complètement déconnecté du jeu.
            Que dire de ce conseil, à part qu'il est complètement pertinent.

            Je viens de faire Left Behind, donc.
            Du début à la fin... 2h15.

            Le fait d'avoir bouclé Last of Us avec les dernières scènes "difficiles" juste hier a sûrement aidé, le tout doit tourner à un petit 3h je pense sans training de ce genre juste avant.

            Alors bon, ça donne un supplément sympa au jeu de base, quelques compléments scénaristiques bienvenus et bons à prendre.
            Donc, fait dès le lendemain de la fin du jeu, j'ai passé un bon moment.

            Mais clair qu'à 15 euros et plusieurs mois après avoir fini le jeu de base, ça aurait été un peu différent !
            Le vrai truc dommage en fait, c'est de ne pas avoir intégré ces scènes au jeu de base (puisqu'il était "offert" avec pour le coup), avec une version du genre Director's cut.

            Bon, bah Last of Us c'est fini pour de bon cette fois.
            Je reconnais que Joel et Ellie vont me manquer (mais que j'appréhende la suite aussi, puisqu'elle a été récemment évoquée).

            Commentaire




            • Clair que pour une fois, je suis vraiment d'accord avec ceux qui ne sont pas trop pour les suites des jeux qui se suffisent à eux-mêmes. On verra mais j'ai pas trop confiance.

              Commentaire


              • - Shubibinman 2 ( PC Engine ) : 04.01.15

                Premier jeu de l'année, et aussi celui qui marque mon retour sur les anciennes consoles après un long break.

                Très sympathique jeu de plateforme action, fortement inspiré par la série
                Megaman. Celui ci apporte tout de même son lot d'originalité avec notamment des passages types shoot them up ( PC Engine oblige ), ce qui apporte une variété d'action très appréciable. La réalisation est de bonne facture, et la maniabilité n'a absolument rien de commun avec l'horrible premier volet ( injouable ), même s'il subsiste quelque défaut, latence dans les sauts entre autre...
                Les musiques sont également de bonnes factures , une très agréable surprise. Le troisième volet dort sur mes étagères, je me le ferais à l'occasion.

                Commentaire


                • Bien joué. Tu vas voir, le 3eme est tres beau, mais a un gros défaut : sa trop grande facilité.

                  Commentaire


                  • Neojin: Bien joué, je ne l'ais jamais terminé, il était loin d'être simple faut dire.

                    Tarma:KOF 94 , que de souvenirs et de moment passé dessus sur l’été 94. La confirmation de l’âge d’or de snk, où on a un autre challenger sérieux à ssf2 après ffs, la généralisation de l’écran qui scrolle au début de chaque stage, inauguré avec le stage de Krauser de ff2, qui avait son petit effet  et qui sera abandonné dans le KOF97 :(.
                    Je suis assez d’accord pour dire comme certains que son absence de team edit qui est sa faiblesse et aussi quelque part une force : Il a un effet incitatif qui poussera le joueur à maitriser des personnages sur lequel il ne se serait sans doute pas attardé avec un mode team edit.
                    Graphiquement ca a vieillis, c’est clair mais il garde son charme pour moi.

                    Sinon même après Wai Wai World et Parodius en 1988, ce n'est pas les cross sortis avant les cross Hudson qui manquait chez Konami (je pense aussi à Hai no Majutsushi en 89 sur msx par exemple).

                    De mon côté, j’ai terminé sur megadrive (rien de très original) :

                    - Castle of Illusion le 03/01/2015

                    Parmi mes 1ers jeux de la machine avec Outrun, Altered Beast… 1er jeu de la triologie , celui-ci à plutôt bien vieillis je trouve avec des graphismes fins et un bon level design. Il est toujours agréable à jouer et pas aussi simple qu’il en a l’air. Peut-être un peu court cela dit. Le jeu qui me fait verser une petite larme de nostalgie par excellence. Un grand classique qu’on ne présente plus.

                    - Quackshot le 03/01/2015

                    Fait à sa sortie, après avoir bavé sur sa preview dans le joypad de l’époque. Je l’avais refait il y a quelques années, ce qui réduit l’effet de nostalgie. Mais je le trouve toujours aussi bon avec son côté exploration propre à ce volet, ses grands sprites et son ambiance excellente qui semble empreinte de Barks. J’aime beaucoup ses musiques aussi. L’animation est un peu raide je trouve, conséquence dû probablement à la taille des sprites. Le jeu a au départ 3 stages découpés en 2 partie (extérieur/intérieur), avant d’avoir 3 nouveaux stages et encore 2 stages pour un total de 8 stages, ce qui est vraiment très correct en terme de durée de vie. Sans doute mon préféré des 3.

                    - World of illusion le 04/01/2015 avec Mickey et Donald

                    Fait à sa sortie et refait hier. Ce volet se rapproche plus de Castle of Illusion.
                    Le jeu comporte 5 stages divisés chacun en 3 sous-stage. L’une des originalités étant que chaque second sous stage d’un stage changera si l’on joue avec Mickey, Donald ou à 2 ce qui rallonge considérablement la durée de vie avec 25 sous stages au total (dont 15 second sous-stages différents).

                    Le jeu à 2 permet un mode coop assez sympathique. Graphiquement, c’est sans doute le plus fouillé, mais je trouve les couleurs pas toujours bien choisis (je pense au stage des confiseries). Sans doute le plus complet des 3 de par son mode 2 jours, le choix de personnage et sa longévité.

                    Ces 3 jeux se complètent à merveille avec chacun leurs propres pattes graphiques. Mon préféré restera sans doute Quackshot suivi de Castle of Illussion et en dernier World of Illusion.

                    Sur x68K

                    - Aquales le 03/01/2015

                    Quel jeu, mais quel jeu !!!!
                    Je n’avais pas poursuivis après le stage 5 il y a 2 ans à mon grand tort, j’ai enfin pu réparer cette erreur.

                    Graphiquement, le jeu est assez joli même si le x68k n’est pas pleinement exploité et qu’une megadrive dans ses beau jours pourrait faire aussi bien. Pour 91 cela reste quand même plus que correct. C’est surtout au niveau de l’animation qu’on voit bien sur quelle machine on est : Du scrolling différentiel sur 8 plans en veux-tu en voilà, des effets de distorsion du plus bel effet…

                    Musicalement, les thèmes sont vraiment bons, collent bien aux stages et contribuent bien à l’ambiance du jeu.

                    La force du jeu est dans son gameplay et son game design.

                    Il y a 3 armes principales : Une sorte de grappin (utile pour frapper dans toutes sortes de directions), une épée plus puissante mais qui nécessite de frapper à bout portant et enfin une arme à feu permettant de tirer au loin. Suivant les situations et les ennemis rencontrés, il faudra fréquemment switcher d’arme. Les armes s’upgradent en nouvelles armes plus puissantes ou en armes complémentaires (on retrouve le classique lance-flamme ou la tête chercheuse par exemple) pour un total de 15 armes ce qui est beaucoup. Ce nombre est à relativiser car si les armes complémentaires servent encore, les armes upgradés rendront obsolètes leurs versions antérieurs trop faible. Le personnage à une barre d’expérience qui monte au grès des combats et des items « exp » récupérés. Dans tous les cas devoir adapter son armement avec un arsenal important est un des points fort de ce jeu.

                    Comme Hitler no fukkatsu, le grappin est un des points clés du jeu qui permet de monter vers une plateforme inaccessible mais surtout de se balancer de plafond en plafond en s’y agrippant.
                    La majorité des phases de plate-forme reposent sur cela et c’est également une grande force du jeu : On prend énormément de plaisir à anticiper ses trajectoires pour avancer de manière précise dans le jeu.

                    Le game design n’est pas en reste avec certains stages qui s’étalent en hauteur sur beaucoup d’écrans. Certains passages permettent de progresser soit avec le grappin, soit de manières plus traditionnelles en avançant et sautant, ce qui laisse la possibilité de jouer de 2 manières différentes. Les stages étant vastes, on est toujours tenter de refaire le jeu pour explorer le petit bout qu’on aurait raté. Bref même en ayant terminé le jeu, on a quand même envie d’y revenir. Il y a 8 stages en tout découpés en 2 parties (extérieur/intérieur à l’exception du stage 8 qui est une évasion) qui lui donnent une bonne durée de vie.

                    Maintenant au niveau des faiblesses, on n’y joue pas pour ses bosses dont les patterns sont bien souvent trop scriptés avec par exemples 2 bosses facilement battables sans se faire toucher en restant dans un coin. Malgré tout certains bosses sont particulièrement originaux et le dernier boss est bien retord. La difficulté des stages n’est pas toujours bien dosée non plus. Le chara design un peu particulier fait un peu doujin, on aime ou pas (moi j’aime bien perso).

                    Ce jeu aurait pu être signé Treasure (sauf qu’en 91 la boîte n’existait pas). Le meilleur jeu d’action x68k pour moi et dont sa réputation est amplement justifiée, loin, loin devant les autres hors arcade(akumajou dracula compris) sur cette machine. Avoir un x68000 sans ce jeu est une hérésie !

                    Commentaire


                    • - Geometry Wars 3 (PS4) 05.01.2015

                      La progression est tendue, il faut faire et refaire les stages pour scorer au maximum et progresser ainsi dans le mode aventure. J'ai beaucoup aimé et je pense continuer à y jouer de temps en temps.

                      Commentaire


                      • Msx, il se complique un peu sur la fin effectivement mais il y a une bonne marge de progression ce qui fait qu'on est jamais vraiment frustré et qu'on y revient avec plaisir.

                        Commentaire


                        • - DaiMakaimura (MD) 25.12.2014

                          Bien content de l'avoir fini celui là. A force d'insister, on y arrive ^^. Je n'ai fais qu'un seul loop .
                          Forum de la communauté Windjammers France : http://windjammers.forumactif.org/ Toi aussi rejoint la commu du plat à tarte !!!

                          Commentaire


                          • Mise à jour.

                            Premier jeu fini en 2015, et pas des moindres : Dragon Quest VII sur PlayStation. C'était un gros morceau du genre, j'ai mis un peu plus de 80 heures à arriver au bout mais c'est parce que j'ai un peu trainé en chemin (monter quelques classes qui ne sont pas trop utiles ou capturer des monstres). Encore un de ces RPG où sans guide on peut bien tourner en rond, même pour des objets indispensables à l'avancée du scénario comme les éclats de tablettes ou ce qui rend de grands services comme les petites médailles (qu'on rapporte au collectionneur contre d'excellents objets). Il ne me reste que les boss optionnels, accessibles uniquement après avoir assisté au générique de fin, à démonter et ce sera définitivement réglé.
                            Globalement j'ai bien aimé même si c'est un peu le syndrome Final Fantasy V, comprendre que c'est moins l'histoire que le développement des aptitudes des personnages qui fait qu'on y retourne. Je dis malgré tout "un peu" parce que les personnages de Dragon Quest VII sont bien plus attachants, bien plus travaillés. On en apprend pas mal sur leurs vies, mais surtout il y a une option dans le menu qui fait qu'ils vont se parler entre eux dès qu'un événement (même mineur) est intervenu. Cela m'a rappelé l'option talk qu'on avait dans Phantasy Star IV mais c'est ici beaucoup plus poussé : les personnages vont donner leur avis sur la situation, chacun à leur manière (Maribel avec son ton cassant et autoritaire, Gabo avec sa candeur...), ou se chambrer, se complimenter, etc. Ce qui fait que la vie du petit groupe est très active, ce qui aide à en apprécier les membres.
                            Les thèmes musicaux sont étrangement peu nombreux mais efficaces. Je les réécouterai volontiers à l'avenir.
                            Les combats sont très simples à gérer, faut juste éviter de se perdre dans les pages de compétences.^^ Les animations des monstres lors de leurs attaques sont sommaires mais plaisantes. Mention spéciale au boss principal du jeu, dont les transformations sont très réussies ! Ici pas de changement de forme soudain, mais de vrais bouleversements corporels. Avec la touche de Toriyama en plus, on repense par exemple aux différentes métamorphoses de Freezer quand on les voit.

                            Maintenant les points négatifs :
                            Les CG qui sont...abominables. On voit qu'Enix n'a jamais été doué en ce domaine.
                            Il se passe je dirais entre un bon quart du jeu avant qu'on arrive au temple qui permet de choisir son job. Dommage que ce soit si "loin".
                            Contrairement à d'autres jeux à jobs variables, on ne peut pas en changer à loisir, il faut retourner au temple à chaque fois pour que le prêtre nous "transforme". Un peu contraignant ; heureusement qu'on apprend très vite le sort permettant de se téléporter entre chaque ville/lieu important visité pour éviter des centaines d'aller-retours.
                            Il y avait une bonne idée mise en place pour éviter les abus : chaque zone du jeu possède une limite de développement liée au niveau d'expérience des personnages. Par exemple, l'île de Truc-Bidule a un cap de niveau 27, cela veut dire qu'à partir du moment où les personnages ont atteint ce niveau, ils ne progressent plus dans leurs jobs. C'est pas mal parce que cela peut éviter d'avoir trop vite des personnages surarmés en compétences, avec les meilleures classes débloquées voire maîtrisées. L'ennui, c'est qu'un peu avant la fin du premier disque, il y a une zone où le cap est à 99, donc autant dire plus de limite. Idem, après un certain événement du second disque, toute la carte du monde passe à 99, ce qui fait qu'on n'est même pas obligé de se taper des combats difficiles dans certains lieux. On peut aller massacrer du fretin, cela aura le même résultat (pour les jobs uniquement bien sûr, pas pour le niveau global du personnage).
                            Donc au final, cette bonne idée de limite tombe "rapidement" à l'eau, et même avec des personnages faibles, puisqu'ils auront un énorme bagage de techniques surpuissantes, on peut plier le jeu sans trop de soucis. Bon le dernier donjon abrite de sacrés monstres malgré tout, et le boss final est bien costaud, donc faut quand même un minimum de niveaux pour être tranquille, mais c'est secondaire à côté des compétences et de l'équipement.

                            Pour conclure, Dragon Quest VII est indéniablement un des gros RPG de la PlayStation, même s'il est loin d'être le plus original (la quête est très classique, malgré les voyages dans le temps et un monde qui s'agrandit à chaque étape, chaque tablette recomposée). Je suis très satisfait d'y avoir enfin joué, mais à l'époque de sa sortie, je ne regrette pas d'avoir opté pour Final Fantasy IX (je rappelle que ces deux poids lourds du RPG étaient sortis à seulement un mois d'intervalle) qui l'emporte sur pratiquement tous les plans.
                            Dernière modification par Shû Shirakawa, 11 janvier 2015, 12h28.

                            Commentaire


                            • Merci pour cette review.

                              Commentaire


                              • j ai profitéd un arret de travail et des vacances pour depoussiérer un peu mes machines

                                - Mortal kombat (PS3) 17.12.2014
                                un bon mortal kombat bien fun avec ces persos bien rigide

                                -Tomb Raider (PS3) 22.12.2014
                                the reboot
                                fini a 98% mais la flemme de chercher les champignons et autres connerie qui manque

                                -child of light (PSVita) 27.12.14
                                un univer sympa mais qui manque de profondeur et des combat peu passionnant (bon j ai tout de meme lancer un second run pour leveler au max)


                                -Garou Densetsu 2 (Super Famicom) 11.01.15
                                pour test ma super famicom recu cette semaine
                                je m attendait a pire , les coups sorte bien ce qui m a motiver a le finir

                                Commentaire

                                Chargement...
                                X