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Vu ce matin et je plussoie pour Burning Fight, aussi insipide soit-il, il était très réussi techniquement à sa sortie. D’ailleurs Joe parle pas trop de l’aspect technique sur ce jeu alors qu’il le fait sur les 2 premiers de la liste...
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Visite d'une salle d'arcade Sega World en 1992. C'est un film de famille et la visite ne constitue qu'une partie de la vidéo. Ce type de document d'époque est toujours très sympa à regarder de nos jours.
Le timer de la vidéo commence à l'arrivée devant la salle.
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Found footage de qualité, je valide.Commentaire
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Pardon mais la vidéo est mal encodée.Commentaire
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Dans le même genre, il y a cette vidéo du CES de 1990:
SNK était là, mais n'apparaît qu'en arrière plan sur cette image:
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La Nec aussi
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Mozinor en grande forme!
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Elle était bonne, c'est vrai.Commentaire
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"Roule tes boules sur mes nichons et tape ta pine sur mon con."Commentaire
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Nouvel épisode du MVG sur les ports impossibles avec Street Fighter ALpha 3 sur GBA:
En clair, ce studio était dirigé par un programmeur extrêmement talentueux. Le cahier des charges de Capcom ne pouvait être respecté dans les délais imposés. Capcom n'a donc pas payé les royalties pour ce jeu livré en retard. Le studio n'a pas tenu financièrement et a fermé la même année. Toujours pas à l'aise à l'idée d'en parler, le programmeur a refusé de répondre aux questions du MVG et a juste indiqué qu'il s'agissait du meilleur et du pire projet auquel il ait participé.Commentaire
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Toujours été impressionné par cette version. Capcom fils de pute.Commentaire
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Merci de cette vidéo sympathique.
Puisqu’on parle de Street Fighter, voici le bootleg le plus impressionnant que j’ai vu sur Nes du II.
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Impressionnant pour une NES.
Les bruitages/voix sont très propres également pour ce support.Commentaire
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La vidéo est déprimante. J'aimerais entendre des histoires de gens talentueux qui recueillent un certain succès et gravissent les échelons à la force de leurs bras. Là, on nous explique qu'on perd un savoir faire unique à cause d'un éditeur qui broie un petit studio après l'avoir asphyxié financièrement.
J'imagine bien les mecs bosser comme des ânes pendant des mois pour des clopinettes et finir dans l'oubli avec leur boîte coulée. Il y a maintenant les salariés intégrés dans de grandes boîtes avec plein d'avantages et des bonus de folie qui pleurent à cause du crunch qu'on leur impose à côté des bonus dantesques qu'on leur verse en compensation.Commentaire
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