Il y avait le même problème sur Mortal Kombat: Deception, renommé chez nous en Mortal Kombat : Mystification.
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Posté par Twilight_Guardian Voir le messageMerci !!!
En effet un faux ami que je ne connaissais pas. Bien vu !
Mais sur PS3 ce n'était pas le cas de ce que j'ai pu voir dans la première page.
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Ah ok ! il me semblait avoir vu Deception plusieurs fois et j'avais fini par éditer mon post pour finalement revenir sur illusion car c'était en mode remastered.
Bref je pense redonner sa chance au 1er maintenant, quand j'aurais fini le 4. Je ne l'ai pas apprécié à son juste niveau.
Histoire d'avoir un avis avec plus de recul.
Là je vais partir sur du très très lourd..... je vous tiens au jus après quelques semaines....Last edited by Twilight_Guardian; 07/02/2022, 21h45.
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Mise à jour.
J'ai fini Ys IV: Mask of the Sun sur PS2.
Dans cet épisode, on se retrouve dans l'immense forêt de Celceta (d'où le sous-titre de la version PS Vita), à la recherche du septième livre de Ys.
Assez classique, on va entrer en possession de diverses épées élémentaires qui ont malheureusement pour seul intérêt de détruire, via une magie chargée, les obstacles dans les donjons (murs végétaux, blocs enflammés, etc.). Ces sorts sont bien trop longs à charger en plein combat, et de toute façon, aucun ennemi ne sera visiblement plus faible face à tel ou tel élément ; dommage car on peut équiper plusieurs épées simultanément donc cela aurait pu être sympa de chercher à s'adapter à la situation. Mais non, et de toute manière, le bourrinage est tellement efficace dans ce jeu qu'on ne perdra jamais son temps à faire trop attention, y compris contre les bosses (seul "l'ange" réclamera un peu de prudence). Je pense que c'est l'épisode le plus facile auquel il m'est été donné de jouer.
Les musiques sont comme toujours efficaces, mais aucun thème ne m'a marqué, contrairement à Felghana ou Seven.
Cette version PS2 est un portage du IV sur Super Famicom mais n'y ayant jamais joué (contrairement au V que j'ai fini plusieurs fois), je ne peux pas comparer. En tout cas on passe "bien évidemment" de la 2D à la 3D, à angle fixe, ce qui n'est pas toujours très pratique pour l'exploration, des éléments de décor venant gêner la vision au premier plan.
Un bon A-RPG, mais je lui préfère nettement d'autres opus. J'ai surtout envie de jouer à YS IV: The Dawn of Ys sur NEC Cd-rom pour voir toutes les différences scénaristiques.Last edited by Shû Shirakawa; 09/02/2022, 19h55.
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Oui elle l’enterre à tous les niveaux je dirais.
Un comble quand on sait que c’est Falcom qui s’est chargé du portage sur SFC et qui aurait dû briller logiquement par rapport à la version d’Hudson.
C’est d’ailleurs le même constat que la version SFC de Popful Mail de Falcom nettement moins bonne que la version de Sega sur Mega-CD.
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Heavy Unit (MD) 07.02.22
Exclusif au marché japonais, ce portage de la version arcade sort en Décembre 1990. Ce sont Funari (le développeur) et Toho (l'éditeur) qui sont chargés d'adapter le hit de Taito de 1988. Si le portage PC Engine (sorti en 1989) était assez proche de la version Arcade, cette mouture Mega Drive diffère grandement de l'œuvre originale. En effet, les équipes de Funari ont pris pas mal de libertés quant à l'adaptation, tant au niveau de la taille des sprites (beaucoup plus imposants sur la console de Sega) que des graphismes, des musiques ou bien encore des ennemis.
Le scénario tient sur un ticket de métro, comme souvent avec les shmups... En même temps ce n'est pas là où on les attend ! Les humains ont développé une planète artificielle, "Le Tau", qui est attaquée par des extraterrestres. Et c'est bien sûr vous à bord de votre "Heavy Unit" qui allez avoir la lourde tâche de les arrêter...
Dommage que l'intro soit aussi sommaire. Elle se limite à l'arrière-plan du stage 5 qui défile avec au premier plan le titre du jeu accompagné de la mention "Mega Drive Special"... Le menu options est beaucoup plus fourni puisque vous pourrez choisir le niveau de difficulté, le nombre de vies, d'activer ou non l'auto-fire. Il y a également une option "Control" assez originale. Si vous la laissez en "Normal", RAS. Par contre en "Organize", cela accentuera l'inertie de votre vaisseau. A noter également que vous pourrez activer via le menu options différents passwords (invincibilité, stage select, démarrer avec 99 crédits, etc) dont voici la liste :
Graphiquement, le titre fait bonne impression avec des environnement très colorés, des boss détaillés qui occupent souvent la moitié de l'écran, et quelques effets techniques plutôt bien fichus (déformations dans le stage 2 ou bien encore parallaxes multiples dans le 6ème et ultime stage). Les niveaux font dans le classique, du milieu aquatique en passant par des décors organiques, avec une inspiration évidente d'Alien (cf le boss du 1er stage). Les animations sont un peu en retrait mais dans la moyenne d'un jeu Mega Drive de 1990-1991.
Niveau armement, vous disposez d'un tir classique mais aussi des bombes (illimitées) que vous pouvez déclencher à l'aide du second bouton de la manette. Par contre, seulement un seul type de tir à se mettre sous la dent, certes upgradable jusqu'à 3 fois en récupérant l'item "P" (pour power-up)... Principal argument en faveur de Heavy Unit, si vous récupérez une capsule "T", vous pourrez transformer votre vaisseau en un mécha. Malheureusement, on ne peut pas vraiment dire que l'on y gagne au change car le mécha, certes un peu plus puissant, a une hitbox beaucoup plus importante et son tir à têtes chercheuses peine à faire mouche. En effet, il a une fâcheuse tendance à locker les ennemis les moins puissants voire à graviter autour des power-up (!!!). Il devient même un handicap évident contre certains boss (ceux du stage 3 et 6 notamment), d'autant plus que vous ne pouvez pas alterner entre les 2 formes à foison comme dans un Arrow Flash par exemple. Vous serez obligé de trouver un autre item "T" pour passer du vaisseau au mécha (et vice-versa). Et on ne peut pas dire que ces items soient légion... Vous en croiserez en tout et pour tout au maximum 4 ou 5 dans une run complète. Privilégiez donc le vaisseau, plus petit, plus maniable, à la puissance de feu quasi identique mais offrant un range de tir beaucoup plus large !
S'agissant de la durée de vie, le titre n'est pas bien long avec ses 6 niveaux, de l'ordre de la petite vingtaine de minutes. On échappe pas au traditionnel boss rush dans l'avant dernier niveau, pas très inspiré... Le soft est beaucoup moins ardu que la version PC Engine, mais il vous faudra faire preuve de pas mal de concentration et d'un minimum d'abnégation, perdre une vie étant quasi synonyme de game over. Effectivement, les ennemis défilent très rapidement et n'hésitent pas à vous attaquer tels des kamikaze. Il faut donc cumuler un nombre suffisant d'items "S" (speed-up) pour se mouvoir plus rapidement et ainsi éviter les attaques adverses.
Les musiques ne m'ont absolument pas convaincu. Pas mélodieuses pour un sou, elles s'apparentent à une bouillie de notes... Elles ont en plus le malheur d'être recouvertes par des bruitages très stridents et donc particulièrement agaçants... Heavy Unit ne marque clairement pas des points concernant sa bande-son !
Un shmup assez moyen au final, qui souffre d'un manque flagrant d'originalité, d'un armement trop restreint (et on ne peut pas dire que la transformation en mécha apporte grand chose), et qui a eu le malheur de sortir à peu près en même temps que d'autres shmups MD beaucoup plus mémorables, Gaiares en tête (et Arrow Flash dans une moindre mesure)... Il a une petite cote aujourd'hui (de l'ordre de 70-90€). Passez donc votre chemin, à moins de viser le full set shmup MD jap...
Notes de la presse spécialisée à l'époque :
Génération 4 #30 (Février 1991) : 81%
Qualifié de "très bon jeu" et de "totale réussite"...
Graphisme 79% Animation 80% Son 76% Jouabilité 82%
TILT #90 (Mai 1991) 15/20 : Intérêt 15/20
Testé très brièvement par AHL, il mettait en avant les "monstres [...] vraiment superbes" et les "combats [...] dans de magnifiques décors", tout en admettant que le jeu ne brillait pas particulièrement par son originalité.
Joystick #14 (Mars 1991) HS #3 (Juillet-Août 1991) : 75%
J'm DESTROY insistait sur des "graphismes plus recherchés que sur PC Engine" et concluait son test ainsi : "Heavy Unit se relève être à l'utilisation un bon jeu de tir à scrolling horizontal, certes loins derrière Hellfire mais ce dernier restera toujours à mon sens le meilleur du lot".
Graphisme 16 Animation 16 Maniabilité 17 Son 15
Ma note : 11/20
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Posté par msx33 Voir le messageOui elle l’enterre à tous les niveaux je dirais.
Un comble quand on sait que c’est Falcom qui s’est chargé du portage sur SFC et qui aurait dû briller logiquement par rapport à la version d’Hudson.
C’est d’ailleurs le même constat que la version SFC de Popful Mail de Falcom nettement moins bonne que la version de Sega sur Mega-CD.La personne la plus détestable, la plus ignominieuse des forums français.
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Tout à fait, cela aurait pu être peut-être la master version si le résultat avait été similaire à Popful Mail. Vraiment dommage !
Au passage la version PCE n’est pas dans la chronologie officielle. C’était la versions SFC qui a ensuite été remplacée par la version PSVita (normal car Falcom).Last edited by msx33; 09/02/2022, 19h40.
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Posté par msx33 Voir le messageTout à fait, cela aurait pu être peut-être la master version si le résultat avait été similaire à Popful Mail. Vraiment dommage !
Au passage la version PCE n’est pas dans la chronologie officielle. C’était la versions SFC qui a ensuite été remplacée par la version PSP (normal car Falcom).La personne la plus détestable, la plus ignominieuse des forums français.
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The Punisher (MD) 11.02.22
Portage de l’arcade outsourcé par Capcom auprès de Sculptured Software (déjà responsable de Mortal Kombat II sur SNES), The Punisher sort sur Genesis en novembre 1994 et courant 1995 en Europe. Il n’a jamais vu le jour au Japon, Capcom considérant sans doute à raison que les nippons n’étaient pas friands des productions Marvel. Il est exclusif à la 16-bits de Sega ; le côté sombre, sexy et violent du comics ne respectant probablement pas la charte Nintendo... The Punisher est l’anti-héros par excellence !
Le soft est étonnamment scénarisé pour un beat them all, avec une intro vous expliquant brièvement l’histoire, et de nombreuses cut-scenes bien réalisées avant chaque stage. Vous incarnez Frank Castle, capitaine dans les Marines, vétéran de la guerre du Vietnam. Son destin bascule au cours d’un pique-nique au beau milieu de Central Park en compagnie de sa femme et ses deux enfants. Ils assistent malgré eux à un règlement de compte entre 2 gangs rivaux, qui les prennent pour cible afin qu’il n’y ait aucun témoin. Frank fut le seul survivant de ce triste drame. Animé par une soif de sang et de vengeance, il revient en tant que « The Punisher » et va consacrer le reste de sa chienne de vie à la poursuite et l’éradication des criminels et de la pègre locale. Pour se faire, il s'allie avec Nick Fury, un flic désenchanté, appartenant à une organisation secrète anti-crime, qui veut mettre un terme à toute cette horreur. Ensemble, ils vont combattre les grands criminels de la ville, jusqu'à ce que mort s'ensuive… Notamment leur ennemi juré, Wilson Grant Fisk (aka « The Kingpin ») que l’on retrouve dans bon nombre de comics Marvel et qui est accessoirement le grand méchant du jeu.
Balayons d'un revers de main le (non) match entre la version arcade et ce portage MD, battu à plate couture. La version originale sortie en 1993 peut se targuer d’offrir des plus gros sprites, des environnements plus détaillés, des animations beaucoup plus travaillées, plus d’éléments destructibles, une plus grande variété d’ennemis… La censure a également frappé la version MD : Nick Fury a perdu son cigare, les gerbes de sang sont à peine perceptibles et les demoiselles que vous croiserez dans le jeu (femmes ninja, otages) ont quelques centimètres carrés de tissu supplémentaires afin de ne pas choquer les personnes les plus prudes… Seuls points positifs en faveur de la version MD, vous pouvez paramétrer la difficulté, les boutons mais aussi choisir votre perso en mode solo (le jeu en arcade vous imposait Frank), bien qu’il n’y ait pas de réelles différences entre Frank et Nick.
La panoplie de coups s’avère très satisfaisante : différentes chopes, combos, un coup spécial à base de quart de cercle (un coup de pied circulaire pour Frank façon Mawashi-geri de Ruy ; une sorte de retourné acrobatique pour Nick qui évoque le Somersault de Guy), chope à la relevée, roulades dans les 2 dimensions (façon Bare Knuckle III), etc. A ces réjouissances s’ajoutent 3 attaques spéciales différentes ! En appuyant sur A+B par défaut (je vous conseille d’attribuer les coups spéciaux au bouton C pour plus de confort), vous ferez le ménage autour de vous avec une balayette (consommant un peu de votre jauge de vie). Vous pouvez aussi effectuer une chope spéciale, qui fera également baisser votre barre de vie. Si vous activez le coup spécial lors d’un saut, votre perso lancera des grenades qui feront le ménage à l’écran (il faut quand même cibler les ennemis un minimum). A garder en priorité contre les boss ! Malgré des animations un poil raides, le gameplay est convaincant et nerveux. On prend un réel plaisir à castagner la faune locale.
Les nombreuses armes plaident également en faveur de ce beat them up. La diversité est de mise : hache, katana, couteaux (que l’on peut utiliser comme arme de poing ou de jet), batte de baseball, barre à mine, shuriken, lance-flammes, dynamite, uzi, M-16 et j’en passe ! La diversité des armes secondaires constitue un petit record sur 16 bits, toutes consoles confondues. Petite originalité du titre, lorsque vous croisez des ennemis équipés d’une arme, votre perso sortira automatiquement son Beretta et vous pourrez alors défourailler à tout va. Bourrin à souhait mais totalement jouissif ! Qui plus est, ces petites phases de shoot apportent un peu de variété. Un conseil, lors des phases classiques, évitez les armes à feu (outre le Beretta de base) qui ne feront mouche que si votre perso est exactement sur le même plan que l’ennemi… D'autant plus qu'elles n'occasionnent pas beaucoup plus de dégâts que vos pieds ou vos poings...
Les 6 niveaux du jeu offrent leur lot d’environnements variés :
- Stage en plein Manhattan (dans un bar puis dans la rue pour finir dans un bus roulant à toute berzingue)
- Le second dans lequel vous infiltrez un condo de luxe avec sa piscine, ses palmiers et ses intérieurs clinquants
- Puis un passage dans des docks et des entrepôts, en passant par de la castagne sur des échafaudages. A noter qu’à la fin de ce 3ème stage, vous aurez accès à un bonus stage dans lequel il faut détruire à l’aide de votre gun des tonneaux (ce qui n’est pas là encore sans rappeler Street Fighter II). Si vous réussissez à éclater les 20 barils, vous récupérez une vie… Et ce ne sera pas du luxe !
- Un niveau au beau milieu des champs de pavots, qui se déroule en grande partie à bord d’un train. Peut-être le stage le plus réussi du soft…
- … qui s’enchaine avec le moins abouti, au sein des égouts suivi d’un passage en forêt. La représentation des égouts est trop sommaire, avec des décors très pauvres et des couleurs ternes… Indigne d’une production Capcom de 1994 sur Mega Drive !
- L’ultime stage du jeu, interminable (je l’ai d’ailleurs découpé en 2 séries de photos). Il prend place dans le building du Kingpin. Après le traditionnel passage sur un monte-charge, vous affronterez le boss final lors d'un combat âpre et très réussi, Kingpin se retirant au beau milieu de la mêlée pour vous envoyer ses salves de sbires...
Les bruitages sont convaincants dans l’ensemble. Les musiques sont un peu trop discrètes à mon goût et ont la fâcheuse tendance d’être recyclées. Dans l'ensemble, la bande-son ne m'aura pas laissé un souvenir impérissable...
S’agissant de la durée de vie, le soft est long et ardu. Comptez une petite heure pour en voir la fin. Ne jouez pas en facile sous peine de ne voir que les 3 premiers stages... En Normal, The Punisher offre déjà un challenge conséquent. Avec seulement 3 continues au compteur, il n’est pas facile d’en voir la fin. J’y suis arrivé seulement à mon 3ème essai (avec 1 continue en stock), après m'être familiarisé avec les patterns des boss, les emplacements des items de vie, et en gérant mon stock de vies et de grenades à bon escient. Je le retenterai en Hard mais aucune chance de parvenir à le plier en Expert ! Il offre une réelle replay-value, d’autant plus qu’il dispose d’un mode multi.
The Punisher fait partie des rares jeux PAL/US pas sortis en jap qui m’intéressaient. J’ai donc opté pour un cartmod réalisé par Format_c (présent sur le forum Neo-Geo System) et je suis très satisfait du résultat ! (cf la dernière photo)
Si vous voulez en apprendre plus sur The Punisher, les films et séries TV et les adaptations vidéoludiques, je vous conseille de visionner cette excellente vidéo YT réalisée par Manu de GHM :
[VideoTest #057]The Punisher Arcade+Mega DriveAujourd'hui, retour en compagnie de Manu sur un anti-héros de chez Marvel, parfaitement à son aise dans un bea...
En conclusion, si vous faites abstraction de la version arcade et parvenez à occulter certains environnements trop vides et une réalisation tout juste moyenne, vous prendre assurément du plaisir à le doser. The Punisher constitue un très bon défouloir avec une move list étendue, une pelletée d’armes secondaires et la possibilité de jouer à 2 avec un pote. Ce que j’attends avant tout d’un beat them all. Un solide second couteau que je place à peu près au niveau des Golden Axe, certes loin derrière la mythique série Streets of Rage/Bare Knuckle.
Tests de la presse à l'époque :
Player One #55 (Juillet-Août 1995) : 60%
Testé en à peine 5 phrases par Bubu... "Ce beat them up est aussi bourrin que son personnage"; "Et la réalisation ressemble plus à Streets of Rage qu'à l'arcade. Donc je « punish him »".
Top Consoles #4 (Juillet-Août 1995) : 13/20
Graphisme 13 Animation 13 Son 11 Jouabilité 14 Durée de vie 12 Intérêt 14
Commentaire : "The Punisher vaut le détour, notamment pour son mode deux joueurs. Les options sont classiques mais nombreuses. Bref, c'est sans prétention : pas indispensable mais très sympa."
Pour : Le jeu à deux ; Pas mal d'armes et de coups ; Les continues
Contre : Le beat’em all, on connaît par cœur ; Le jeu n'apporte rien au genre ; Évitez le mode facile au risque de finir le jeu en 12mn
Ma note : 14/20
Last edited by kurush75; 11/02/2022, 22h44.
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