J'ai fini de fond en comble Hogwarts Legacy sur PS4.
L'univers de Harry Potter est incroyablement bien retranscrit : que ce soient les décors, les sortilèges, les allusions/références glissées à droite à gauche, tout fan sera émerveillé sans arrêt de la fidélité par rapport à l'oeuvre originale.
L'ennui c'est que cela ne suffit pas à faire oublier les défauts du jeu tels que :
- des bugs à répétition, malgré tous les patches. J'ai eu des coffres vides (apparemment c'est juste l'affichage qui foire, on peut trouver les contenus dans l'inventaire), des pages impossibles à ramasser parce que des ennemis se sont incrustés, le cycle jour-nuit qui ne fonctionne pas (de toute façon j'ai toujours détesté la présence de ce cycle dans les jeux), un PNJ à qui on doit parler mais l'option de dialogue n'apparait pas, etc. Heureusement que le jeu crée des tonnes de sauvegardes automatiques, permettant de recharger quelques minutes auparavant pour régler ce genre de soucis ;
- le syndrome Ubi Soft avec des centaines d'objectifs secondaires, partout, tout le temps : les captures de monstres, les épreuves de Merlin, les pages à trouver, les objets à collectionner, les courses de balai, les camps à conquérir... Trop de "collectibles" (il y en a plus de 600 !), trop de défis dans différentes rubriques, même si la plupart sont assez faciles.
- pas assez de différences entre les différentes maisons. Chacune n'aura qu'une seule quête exclusive, Dieu merci située vers le début du jeu, idéal pour ceux qui comme moi comptaient toutes les voir ;
- à part dans de très rares occasions, les dialogues n'ont strictement aucune incidence. Quoiqu'il arrive, au bout de deux phrases les interlocuteurs remettent le sujet sur les rails. C'est impossible de se mettre untel à dos en le contredisant, ou de réellement refuser le devoir d'un professeur par exemple, c'est dommage. Quand on repense à du Mass Effect par exemple, c'est trop léger.
La réalisation se défend, les combats sont intéressants si on se penche sur les faiblesses des ennemis, car on réalise que chaque sort a son importance pour écourter les affrontements au lieu de bourriner. Bon après certaines combinaisons sont tellement puissantes qu'on y aura recours à chaque occasion, sans oublier les trois sortilèges impardonnables, qu'on peut apprendre via des quêtes secondaires.
Comptez une soixantaine d'heures pour tout faire avec une maison (Ravenclaw/Serdaigle en ce qui me concerne), si vous vous organisez un minimum, beaucoup plus sinon.
L'univers de Harry Potter est incroyablement bien retranscrit : que ce soient les décors, les sortilèges, les allusions/références glissées à droite à gauche, tout fan sera émerveillé sans arrêt de la fidélité par rapport à l'oeuvre originale.
L'ennui c'est que cela ne suffit pas à faire oublier les défauts du jeu tels que :
- des bugs à répétition, malgré tous les patches. J'ai eu des coffres vides (apparemment c'est juste l'affichage qui foire, on peut trouver les contenus dans l'inventaire), des pages impossibles à ramasser parce que des ennemis se sont incrustés, le cycle jour-nuit qui ne fonctionne pas (de toute façon j'ai toujours détesté la présence de ce cycle dans les jeux), un PNJ à qui on doit parler mais l'option de dialogue n'apparait pas, etc. Heureusement que le jeu crée des tonnes de sauvegardes automatiques, permettant de recharger quelques minutes auparavant pour régler ce genre de soucis ;
- le syndrome Ubi Soft avec des centaines d'objectifs secondaires, partout, tout le temps : les captures de monstres, les épreuves de Merlin, les pages à trouver, les objets à collectionner, les courses de balai, les camps à conquérir... Trop de "collectibles" (il y en a plus de 600 !), trop de défis dans différentes rubriques, même si la plupart sont assez faciles.
- pas assez de différences entre les différentes maisons. Chacune n'aura qu'une seule quête exclusive, Dieu merci située vers le début du jeu, idéal pour ceux qui comme moi comptaient toutes les voir ;
- à part dans de très rares occasions, les dialogues n'ont strictement aucune incidence. Quoiqu'il arrive, au bout de deux phrases les interlocuteurs remettent le sujet sur les rails. C'est impossible de se mettre untel à dos en le contredisant, ou de réellement refuser le devoir d'un professeur par exemple, c'est dommage. Quand on repense à du Mass Effect par exemple, c'est trop léger.
La réalisation se défend, les combats sont intéressants si on se penche sur les faiblesses des ennemis, car on réalise que chaque sort a son importance pour écourter les affrontements au lieu de bourriner. Bon après certaines combinaisons sont tellement puissantes qu'on y aura recours à chaque occasion, sans oublier les trois sortilèges impardonnables, qu'on peut apprendre via des quêtes secondaires.
Comptez une soixantaine d'heures pour tout faire avec une maison (Ravenclaw/Serdaigle en ce qui me concerne), si vous vous organisez un minimum, beaucoup plus sinon.
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