Palmarès JV (2.0)

[kurush75]

Welcome Chapp!

[PowerMarcel]

- The first tree (PC Linux) 04.12.2022

Un court jeu narratif (ou une narration saupoudrée de jeu ?). Un peu chiant, un peu chouette, un peu émouvant

[Shû Shirakawa]

Mise à jour pour PowerMarcel.

[PowerMarcel]

[PowerMarcel]

- Alba : a wildlife adventure (PC) 04.12.2022

Petit jeu d'exploration en -mini- open world centré sur la protection de la nature. C'est naïf, mignon, doux. En ce moment ça me fait du bien, vu le contexte...

[Adol]

PC Kid!

Que de souvenirs lorsque je le découvre en 1990 chez Shoot Again, à côte de jeux Famicom d'import comme Super Mario Bros 3 (presque 2 ans avant l'arrivée en France)

[Shû Shirakawa]

Mise à jour pour PowerMarcel et kurush.

Tu avais déjà terminé PC Genjin (en 2012), donc hop, substitution habituelle.

J'en garde de très bons souvenirs, mais le 2 est tellement mieux.

[Shû Shirakawa]

Mise à jour pour kurush (entre autres).

PC Genjin 2 est l'un de mes jeux préférés sur ce support. Je l'ai retourné un nombre incalculable de fois. Toutes ces couleurs, toutes ces mimiques et autres animations spéciales (j'adorais celle quand on grimpe une cascade). Et grâce au tir automatique de la manette de ma SuperGrafx, on pouvait parcourir de sacrées distances en faisant des "roulades" en l'air.

[TamTam13]

Trek to Yomi (XB S) 04.12.2022

J'inaugure le gamepass avec ce petit jeu qui me faisait de l'oeil sans me convaincre d'y mettre le prix fort.
Dans l'absolu, j'avais raison.

Ce jeu d'action 2.5D "narratif" vaut surtout par son habillage Kurosawa-esque.
Baigné dans l'esprit chambara et entièrement en noir et blanc, on est dans la peau d'un samurai dans sa quête vangeresse.

C'est simple : c'est tellement beau qu"on pourrait se croire devant un film si les plans plus serrés sur les visages ne nous faisaient pas sauter la uncanny valley à la figure.
Les devs s'en sont donnés à coeur joie pour proposer tout ce qui peut dramatiser les actions : feux, orages, décors de nuit, marécages, villages japonais "à étage". Il ne manque que la forêt de bambous.

J'insiste sur la réalisation et l'ambiance car c'est, avec le doublage intégral japonais (entre autres), ce qui m'a poussé à continuer de jouer sans m'arrêter durant les 6h qu'il faut pour boucler l'une des (3 ou 9 ?) fins. [3 moments clés nous laissent à chaque fois 3 choix, donc j'imagine que le nombre maxi de fin est de 9]

Cette réalisation enchanteresse a aussi ses défauts :
Pour donner plus de diversité et faire plus "film" les angles ne sont pas toujours les meilleurs pour voir l'action.
Idem pour les effets de lentille et de flou qui rendent très ciné : tant pis pour vous si les persos sontamenés à être couverts par un élément de premier plan bien flou.
Pour le cadrage, c'est pire : même à 3,5m d'un 55 pouces, les persos peuvent apparaitre minuscules et rendre l'action illisible. Je m'étais plaint de Furi, mais après ce Trek to Yomi, Furi paraitrait exemplaire. Bonne chance à ceux qui veulent y jouer sur Switch en nomade.
Les sous titres (blancs) sont souvent illisibles, voire parfois tout simplement pas affichés.

Dommage donc que cette splendide réalisation entache le gameplay qui lui non plus n'est exempt de reproches.
Une barrre de vie et une autre d'endurance pourront se voir grandir en explorant les quelques lieux "cachés".
Avec un bouton pour courir, 2 pour frapper, un pour se mettre en garde (/contrer en cas de perfect guard [généreuse]) et un autre pour se retourner, le gameplay pourrait paraitre simple. Mais l"association d'une direction et d'un timing à chaque bouton de frappe pourront donner des effets différents.

Ces combos sont donnés au fur et à mesure de l'histoire. J'avoue ne pas avoir totalement fait attention comment ou pourquoi... et j'avoue aussi que je n'ai pas vraiment eu à varier leur utilisation : à un moment j'en ai trouvé 2 ou 3 très efficaces et m'en suis contenté. La générosité des checkpoints (en mode normal) a fait le reste.
J'imagine donc qu'en connaissant parfaitement certains enchainements, ça peut devenir très fluide et jouissif puisque certains permettent au perso de se retourner sans avoir à appuyer sur le bouton dédié. Malheureusement, rien n'est fait pour encourager leur utilisation ni faciliter leur apprentissage.

Pour finir, la difficulté semble assez aléatoire. Facile au début, certains affrontements contre plusieurs ennemis (qui ont tendance à un peu attendre leur tour quand même) tourne à la déculotée vers la fin sans raison apparente... alors que je roule sur les dits opposants de ce même affrontement rejoué directement après. Assez bizarre.

Trek to Yomi est donc un jeu "sympa" pour qui ne veut pas trop s'y investir. Il se peut qu'il soit génial (ou pas) si on se force à en utiliser la profondeur. Mais en tous cas, tout fan des 7 samurais et des films "d'époque" japonais doivent au moins y jeter un oeil.

[Shû Shirakawa]

Mise à jour pour TamTam (entre autres).

[Shû Shirakawa]

Et encore mise à jour pour kurush.

Perso je n'avais pas trop accroché au 3. Le coup de devenir minuscule ou géant, bof. Contrairement aux deux premiers, j'ai dû le finir deux fois maximum.
Mon classement serait le même que le tien.

[kurush75]

Yes on est totalement raccord pour le coup !

[Shû Shirakawa]

Mise à jour.

J'ai fini Dragon Ball Z: Kakarot sur PS4.
Au début du jeu j'ai eu un peu peur, à cause de l'environnement rempli de sphères de couleurs qui incitent le joueur à passer son temps à les ramasser (ce qui est parfaitement inutile tellement on en gagne sans rien faire, à moins de jouer en difficile peut-être). On n'est pas là pour jouer à Nights into Dreams, quand même !
J'en avais déjà parlé mais ce jeu rappelle d'autres titres de la licence comme le Super Saiya Densetsu de la Super Famicom : exploration en volant, sur Terre comme sur Namek, recherche des boules du Dragon, gain d'expérience... un bon point en ce qui me concerne puisque ce RPG m'avait marqué, en tant que fan du genre et de l'anime/manga.
Mais ici point de tour par tour, les combats se déroulent façon jeu de combat libre dans les trois dimensions (penser à ce qu'on trouve dans Zone of the Enders), avec des coups au corps-à-corps bien sûr, des tirs à distance, et les grosses attaques emblématiques de chaque personnage.
Puisque le jeu suit exactement la trame de l'histoire, du débarquement de Raditz jusqu'à la mort de Bû, l'équipe variera selon les événements. Jusqu'à trois personnages peuvent participer simultanément, et avant d'atteindre la fin du jeu, on n'aura pratiquement aucune occasion de sélectionner librement la composition. Pour moi c'est Gohan le plus pété à la fin du jeu, grâce à sa transformation ultime, puisqu'il frappe comme une mule sans que sa jauge de ki fonde trop vite, contrairement aux trois autres stades de Super Saiyajin, beaucoup trop gourmands (après c'est fidèle donc pas choquant). Les personnages non joués peuvent servir à des attaques de soutien, voire pour une grosse combinaison dévastatrice.
Évidemment on ne pourra pas passer à côté de quêtes à la noix ou de parties de pêches faciles mais gonflantes (quand le poisson visé ne daigne pas apparaitre) comme dans la plupart des jeux de pêche de toute façon.
La véritable utilité de ces quêtes annexes est de gagner des badges représentant les personnages, qu'on pourra placer sur des tableaux communautaires. C'est l'un des points intéressants du jeu car chaque personnage est plus ou moins doué pour telle ou telle catégorie : combat, cuisine, fabrication, entraînement, etc. Plus une communauté a un niveau élevée, plus les bonus seront importants. En observant bien leurs statistiques, on trouvera facilement dans quelle catégorie les placer pour une efficacité maximale. Mais je dois dire que j'ai avant tout privilégié ce qui booste en combat et en gain d'expérience pour aller plus vite. On peut totalement négliger certaines catégories tant qu'on n'a pas un surplus de badges, mais j'ai apprécié le système, surtout qu'il permet de faire participer des personnages secondaires de chez secondaires.
Il me reste juste deux objectifs post-game à accomplir (tuer le boss caché et atteindre l'entraînement niveau 10, me faut juste quelques composants) et ce sera totalement plié.
En résumé, c'est un jeu parfait pour qui voudrait revivre la série sans se retaper les épisodes, d'autant plus que tout l'habillage est conforme : les doubleurs, les musiques, les bruitages, tout est issu de l'oeuvre originale donc de quoi être aux anges.
En revanche il est un peu long (si vous comptez explorer et finir un maximum de quêtes secondaires) : plus de quarante heures seront nécessaires.

[Shû Shirakawa]

Mise à jour pour kurush (plus d'autres).
Je l'ai noté Super Genjin à cause des furiganas.
Il y a pas mal de titres où les lectures de kanjis sont "tronquées".

De mon côté j'ai fini Z-Warp sur PS4. Un shmup dont on avait parlé avec Greedo, puis dont j'ai vu une vidéo découverte de l'ami TOMaplan du forum Shmup'Em All.
C'est vraiment Void Gore 2.0, avec les mêmes mécaniques, le même type d'univers démoniaque, même si là les stages renvoient à des... organes du corps humain.
Du gros pixel qui tâche, mais une action nette et sans bavure. On comprend vite les commandes et comment se servir efficacement de la "bombe".
En revanche le jeu est assez difficile en normal. Je vais voir si je peux le finir en un crédit (on peut en débloquer jusqu'à 4), mais certains passages, notamment le premier motif du troisième boss, et le deuxième tiers du boss final, sont très costauds. Je trouve qu'ils tranchent trop avec le reste des patterns rencontrés. Manque d'équilibre donc. On verra si avec un peu d'entraînement j'arrive à le dompter totalement.

[TamTam13]

Cuphead (XB S) 16.12.2022

Terminé en solo ; mode normal. (101%)
Du die & retry de qualité, avec une réalisation enchanteresse et une direction artistique décalée.
3 zones, leurs boss à battre dans un ordre plus ou moins imposé pour pouvoir accéder à la dernière avec son sous boss puis son boss ultime.

Des phases de run & gun ont été insérées après la déception quasi générale d'apprendre que ce bonbon visuel n'était "qu'"un boss rush. Moins nombreuses que les boss fights, elles permettent autant de se se changer des idées que d' améliorer ses skills de jeu... tout en récupérant des pièces qui permettent ensuite d'acheter des armes bien utiles (spread shot powaaaaaaaa)

Un autre type de gameplay pousse le joueur à utiliser la parade pour débloquer certains "pouvoirs". Peu difficiles, ces moments aident à maitriser cet élément de gameplay absolument primordial en actionnant le bouton de saut une 2e fois au contact d'éléments de couleur rose identifiables en toutes circonstances, un peu à la manière de l'édition pink bullet de Last Hope.

Compte tenu de la direction artistique entre le pastel et l'acidulé, ça ne choque pas... et c'était de toute manière nécessaire vu les animations nombreuses, détaillées et foisonnantes qui peuvent parfois perturber la lisibilité du titre. Ce n'est qu'un coup à prendre... avec l'expérience [des morts multiples ]

En terme de jouabilité le titre est irréprochable, on ne peut s'en prendre qu'à nous mêmes au bout d'un certain nombre de morts, même si les boss fights sont des exemples de briseurs de nerfs.
Toujours découpés en 3 ou 4 phases, l'avancée dépendra évidemment de la maitrise des éléments de gameplay et de ses réflexes... mais aussi de la mémoire des patterns ennemis. Du vrai die & retry, stressant mais jamais injuste.
Et pour courronner le tout, une alternance avec des boss fights basés sur du shoot them up nous permettront de varier les raisons de frustration. Ca peut paraitre anodin mais cette alternance est salvatrice.

La réalisation est splendide, les musiques jazzy excellentes et dans le thème.
Tout est cohérent et qualibré dans ce jeu. J'ai pris un grand plaisir à le finir... sur le long terme, en y revenant de temps en temps entre d'autres titres.
C'était certainement plus sage car les 1067 morts qu'il m'a fallu pour en venir à bout m'auraient certainement rendu dingue autrement.

J'attendrai donc avant de me mettre au dlc, non sans recommander le titre aux amateurs de challenge, d'autant qu'il est en prom à 28€ en physique sur ps4 (dlc intégré) sur amazon.