Mise à jour.
J'ai fini Super Robot Taisen XO, le portage (amélioré) sur Xbox 360 de SRT GC. Content d'avoir trouvé quelques différences, quelques ajouts par rapport à l'original.
Le casting de cet épisode est très rétro, et propose quelques séries qu'on n'a d'ailleurs toujours pas revues ailleurs (Ginga Reppû Baxinger, Ginga Shippû Sasuraiger et Muteki Robo Daiôja).
Le gros plus de ce SRT, c'est son petit côté Front Mission. En effet les barres de PV et d'EN sont ici accompagnées de jauges pour la tête, les bras et les jambes, ce qui influence en cas de dégâts respectivement la visée, la puissance de feu et la mobilité. Lorsqu'une unité ennemie est suffisamment endommagée (quand il ne reste plus que le corps de valide), on peut carrément la capturer. Pratique pour voler quelques unités supérieures à ce qu'on a au départ, on est néanmoins limité dans le sens où seules des machines basiques ou produites en masse peuvent être récupérées. Donc pas la peine d'espérer pouvoir voler les robots des boss par exemple, mais c'est normal (sinon ça altérerait le scénario).
Toujours dans l'esprit rétro, la bande-son propose beaucoup de thèmes qu'on n'a pas l'habitude d'entendre, c'est très agréable. Ainsi une série comme Heavy Metal L-Gaim n'a que des BGM inédites, ou encore certaines cartes-clés de Gundam se retrouvent avec les chansons des trois films résumés, c'est classe.
Le jeu est mine de rien plus long que la moyenne, avec un total de 79 cartes (59 principales et 20 intermédiaires, optionnelles mais qui abritent souvent des bonus non négligeables).
Question difficulté il est très bien dosé, à part peut-être le boss de fin qui peut s'avérer décourageant avec toutes ses régénérations (j'aurais dû compter combien de PV ça lui ferait en réalité) et le fait qu'on doive réussir à lui porter un coup de grâce sous peine qu'il récupère la moitié de sa vie (150.000 PV).
Là j'entame un second loop, pour débloquer quelques succès.
J'ai fini Super Robot Taisen XO, le portage (amélioré) sur Xbox 360 de SRT GC. Content d'avoir trouvé quelques différences, quelques ajouts par rapport à l'original.
Le casting de cet épisode est très rétro, et propose quelques séries qu'on n'a d'ailleurs toujours pas revues ailleurs (Ginga Reppû Baxinger, Ginga Shippû Sasuraiger et Muteki Robo Daiôja).
Le gros plus de ce SRT, c'est son petit côté Front Mission. En effet les barres de PV et d'EN sont ici accompagnées de jauges pour la tête, les bras et les jambes, ce qui influence en cas de dégâts respectivement la visée, la puissance de feu et la mobilité. Lorsqu'une unité ennemie est suffisamment endommagée (quand il ne reste plus que le corps de valide), on peut carrément la capturer. Pratique pour voler quelques unités supérieures à ce qu'on a au départ, on est néanmoins limité dans le sens où seules des machines basiques ou produites en masse peuvent être récupérées. Donc pas la peine d'espérer pouvoir voler les robots des boss par exemple, mais c'est normal (sinon ça altérerait le scénario).
Toujours dans l'esprit rétro, la bande-son propose beaucoup de thèmes qu'on n'a pas l'habitude d'entendre, c'est très agréable. Ainsi une série comme Heavy Metal L-Gaim n'a que des BGM inédites, ou encore certaines cartes-clés de Gundam se retrouvent avec les chansons des trois films résumés, c'est classe.
Le jeu est mine de rien plus long que la moyenne, avec un total de 79 cartes (59 principales et 20 intermédiaires, optionnelles mais qui abritent souvent des bonus non négligeables).
Question difficulté il est très bien dosé, à part peut-être le boss de fin qui peut s'avérer décourageant avec toutes ses régénérations (j'aurais dû compter combien de PV ça lui ferait en réalité) et le fait qu'on doive réussir à lui porter un coup de grâce sous peine qu'il récupère la moitié de sa vie (150.000 PV).
Là j'entame un second loop, pour débloquer quelques succès.

Commentaire