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  • ASO II: Last Guardian (Neo.Geo) 03.04.2016

    Un des meilleurs shmups old school dispos sur la Rolls. La grosse originalité du soft réside dans sa gestion stratégique des armures, que l'on peut obtenir de 2 façons différentes : en récupérant les 3 parties au cours d'un niveau, ou bien (plus original) et les achetant à la fin du niveau grâce aux points Gold récupérés ici et là. Cela nécessite donc une bonne connaissance des niveaux, mais aussi des boss (certaines armures s'avèrent complètement inoffensives). Dommage que l'écran de sélection des armures in-game ne soit pas super intuitif (d'autant plus qu'on est vulnérable à ce moment là) !
    L'ambiance est pesante à souhait, avec des musiques très réussies et variées ( à titre d'exemple, celle du niveau 1 sonne très space opéra, là où celle du niveau 3 est beaucoup plus dark et flippante). Les boss sont très détaillés, et certains sprites sont vraiment énormes (notamment le vaisseau du début du niveau 2 qui occupe facilement 3 écrans successifs !); les décors sont parfois un peu vides mais franchement rien grave, surtout pour un jeu sorti en 1991.
    Niveau durée de vie, il faudra en découdre avec 6 stages. Le jeu est dur mais plutôt juste, il demande pas mal de persévérance et une connaissance approfondie des niveaux et des boss... Et il dispose d'un 2nd loop pour les hardcore gamers (que je ne suis pas prêt de boucler) !


    Fu'un Mokujiroku (Neo.Geo) 09.04.2016

    La première impression laissée par ce jeu de baston est plutôt bonne avec des graphismes détaillés, des couleurs qui explosent dans tous les sens et des sprites très imposants. Le gameplay est assez riche avec la possibilité de changer de plans (comme dans les Fatal Fury), d'utiliser des armes (et de les balancer sur son adversaire), d'interagir avec les décors, sans compter les coups spéciaux (4 à 5 par perso en moyenne) et les furies. Dommage que les combattants soient peu nombreux (10 environ), qu'ils manquent de charisme et qu'ils virent même parfois au grotesque (King Lion & King Leo, le comble du kitsch) !!! La maniabilité est également assez raide, et nuit au plaisir de jeu.. Un titre correct mais sans plus donc... Heureusement, sa suite (Kizuna) corrigera la plupart de ces défauts...


    Fu'un Super Tag Battle (Neo.Geo) 09.04.2016

    On prend les mêmes et on recommence? En fait pas vraiment... Exit les changements de plans, un système de tag fait son apparition et les combats se déroulent en 1 seul round (et se terminent dès la mort d'un des 2 persos). Nicola et Carol disparaissent du roster, et sont remplacés par Kim et Rosa, beaucoup plus intéressants à jouer. Le gameplay s'est considérablement enrichi (possibilité de passer dans le dos de l'adversaire, comme dans Samurai Spirits 3; cassage de garde basse; Tag Attacks, Super Attacks et j'en passe...). Les combos sont également beaucoup plus complexes, mais également beaucoup plus subtiles et intuitives à placer. Bref, les améliorations apportées font de ce Kizuna un très bon jeu de baston, pas forcément très connu du grand public mais assez largement au-dessus de Savage Reign. Je chipoterai juste sur le nombre (très) réduit de stages, j'aurai aimé en avoir au moins 2-3 supplémentaires (d'autant plus que l'atmosphère plus sombre de cet opus y est très bien retranscrite, là où ceux de Savage Reign péchaient par leur manque d'unité).


    Metal Slug X (Neo.Geo) 09.04.2016

    Et pour mon 300ème finish sur NGF, voici Metal Slug X, un des mes épisodes préférés de la série (à égalité avec le 1 et devant le 3). Il corrige les ralentissement du 2 (qui ont quasiment disparu), propose plus d'armes (Super Grenade, Iron Lizard, Drop Shot, Enemy Chaser) et des versions plus puissantes des armes déjà existantes, des graphismes améliorés avec des teintes encore mieux choisies (le pixel art à son apogée !), des nouveaux ennemis et mid-boss, tout en conservant des niveaux longs et variés, des boss qui en jettent un max et un humour féroce, marque de fabrique de la série. Bref, une véritable perle !!!

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    • Mise à jour.

      Félicitations kurush pour ton 300e finish !

      J'ai fini Dead Space Ignition, sorte de bande-dessinée interactive se situant entre les deux premiers épisodes.
      Quatre itinéraires sont possibles, avec autant de fins différentes (la toute dernière séquence ne change jamais en revanche), plus ou moins cruelles.
      On suit une narration entrecoupée de trois types de mini-jeux de piratage :
      1. une sorte de jeu de course où l'on guide un signal poursuivi par d'autres. Le principe est très simple : arriver le premier en évitant les obstacles et plaçant des pièges pour ralentir les signaux concurrents. C'est le seul typé action.
      2. une grille d'alvéoles plus ou moins vaste où l'on peut envoyer quatre types de virus pour se frayer un chemin jusqu'à la cible. C'est le côté "stratégie" du jeu. Je mets des guillemets car même en envoyant n'importe quels virus en masse, on peut dégommer la plupart des défenses... Perso j'envoie un minimum de virus adéquats et dès que possible je bombarde de ceux qui vont directement au but (car les virus se déplacent pour la plupart en longeant les murs). Ayant fait tous les parcours, je n'ai trouvé qu'une seule épreuve où il fallait légèrement réfléchir pour réussir à temps le piratage, c'est dommage.
      3. sans doute le plus intéressant des trois : des lasers de couleurs qu'on doit réfléchir, dupliquer, superposer (rouge + vert = jaune) en plaçant des miroirs et diffuseurs sur des cases précises pour alimenter les moteurs correspondants. C'est le premier loop qui réclamera le plus de réflexion car on n'a pas encore toutes les améliorations (plus de pièces à disposition, possibilité de retirer quelques cases qui bloquent le passage). Dès le deuxième, c'est dix fois plus simple avec l'arsenal complet.

      Au final un jeu assez mauvais, qui peine à reproduire l'ambiance de la série, et au style graphique non seulement assez vilain en ce qui me concerne, et très inégal en plus. Certaines planches comportent des visages ultra sommaires par exemple, comme si elles avaient été bâclées. Donc même si vous êtes fans de Dead Space, et même s'il ne coûte pas bien cher (moins de 5€), passez votre chemin.

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      • Merci bien Shû, je suis encore loin du maître en la matière...

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        • - Gradius III (Super Famicom) 27.04.2016 : j'ai profité d'avoir enfin déballé ma SFC il y a quelques semaines (plus d'un an et demi après l'achat) pour me faire cet épisode de la mythique saga.

          Gradius, j'ai découvert un peu sur le tard mais qu'est-ce que j'adore cette série. Elle est pour moi celle qui a le plus inspiré Aldynes. Donc forcément, c'est bon signe.

          J'avais déjà fini les épisodes 1 et 2 sur PC Engine et le dantesque 5 sur PS2.

          Cette version SFC du 3ème opus était précédée de sa mauvaise réputation en matière de ralentissements et clairement, ce défaut gâche au-delà de ce que je pouvais craindre certains passages du jeu.

          Voilà pour le négatif.

          Pour le reste, cet épisode est dans la droite lignée du second, un peu trop proche même à mon goût mais vu que le 2 est à mes yeux le meilleur après le 5, pourquoi pas après tout.

          On trouve donc les ingrédients classiques de la série et la difficulté par défaut est vraiment bien calibrée. Le no miss est vraiment à portée de pad et quand j'aurai le temps, je tenterai le coup.

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          • - Street Fighter Alpha 2 (PSvita) 25.04.2016

            J'ai pris la version PSone classics en solde sur le store en ce moment, pour le petit coté sympa d'y jouer sur portable, les temps de chargements sont un peu longs mais ça passe pour se faire une partie de temps en temps.

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            • - Super Street Fighter 2 (Super Famicom) 30.04.2016 : c'est marrant, je m'attendais à galérer (mode par défaut mais je suis une quiche en vs) et finalement pas tant que ça. Il me semblait, d'après mes souvenirs des versions arcade, qu'il y avait une plus grande évolution du design entre SF2 et cet épisode. La plus grosse différence tient surtout des portrait des personnages en fait.

              Par contre, il m'est toujours impossible d'utiliser le bouton L de la SFC.

              -Daioh Gale (Super Famicom) 30.04.2016 : il s'agit du shmup de base dans Dezaemon, l'éditeur de shoot 'em up. Forcément, je ne m'attendais pas à un grand jeu car l'intérêt de la cartouche tient dans la possibilité de créer son propre jeu. Mais 5 niveaux ? Sérieusement ?

              Le mecha design est classique mais assez réussi mais les décors sont quand même bien bof.

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              • Uncharted : Drake's Fortune - Uncharted : The Nathan Drake Collection (PS4) 22.04.2016

                J'avais envie de me refaire les 3 premiers Uncharted en version remasterisée avant la sortie du 4 (ça risque d'être un peu short niveau timing cela dit, vu que je n'en suis même pas à la moitié du 2 !). Je commence donc tout naturellement par ce premier opus.

                J'ai passé un très bon moment sur ce titre auquel je n'avais pas rejoué depuis sa sortie. Bizarrement j'avais complètement oublié certaines scènes épiques (la poursuite en jeep, la remontée de la rivière en scooter des mers, etc.), 2-3 blagues bien senties de Sullivan... Mais c'est surtout au niveau graphique que j'ai été bluffé. Le travail de lifting réalisé par Bluepoint est franchement impressionnant au niveau des effets de lumière, des textures de peau. Exit l'effet de tearing qui était assez désagréable sur PS3, et la fluidité est exemplaire, tout comme la maniabilité qui est beaucoup plus smooth (c'est d'ailleurs une bonne idée d'avoir unifié le gameplay sur les 3 épisodes). Je suis un peu moins fan de la dernière partie de l'aventure (avec son côté fantastique un peu trop WTF à mon goût) mais globalement, ce Drake's Fortune s'est avéré bien meilleur que dans mes souvenirs.

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                • Tiens c'est marrant je suis dessus aussi en ce moment.
                  Je ne compte pas me presser pour (ré)enchaîner les trois premiers épisodes vu que je ne vais pas sauter sur le 4 mais je passe un bon moment. Je l'ai fini samedi soir. Là j'en fait un autre tour en mode difficile.

                  La maniabilité unifiée oui c'esr une bonne idée, même si je ne me souviens plus précisément de ce qui "clochait" dans l'originale.

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                  • Mise à jour.

                    J'ai fini Uncharted: Drake's Fortune Remastered, la refonte HD sur PS4 d'un titre bien connu de la PS3, et je ne suis pas déçu. Visuellement le travail accompli est bluffant, on sent que ce ne sont pas de bêtes filtres bricolés vite fait pour à peine sentir qu'on a changé de support.
                    Après le jeu souffre toujours autant de bugs : que ce soit les sauts parfois foireux, les collisions (j'ai eu plusieurs séquences où mes tirs restaient plantés dans le décor, comme si leur point de départ était décalé) ou les morts délirantes (la palme de ma dernière partie, pendant que je refaisais le jeu en mode difficile : dans la salle avec l'énigme des statues à orienter, je résous le puzzle, je veux redescendre, mais j'atterris sur la tête de Sully, je reste bloqué... et je meurs ), la liste est longue.
                    Mais cela reste le début d'une belle trilogie (ah non pardon, tétralogie, encore une de ces séries où les développeurs n'ont pas su tenir leur engagement), qui vaut le détour, que ce soit dans sa version originale ou dans celle-ci.

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                    • J'ai fini Star Ocean: The Second Story, dans sa mouture originale sur PlayStation en version US ; j'aurais peut-être dû tenter la version française pour cette fois histoire de jauger la qualité de la traduction, d'autant plus que ce n'est pas une tâche aisée (quantité de texte, toutes les références scientifiques, etc.).

                      Une petite trentaine d'heures pour arriver au bout (cela dit, je n'ai pas encore fait le donjon bonus), la durée idéale en ce qui me concerne pour ce genre de jeu.

                      Un RPG incroyablement riche en possibilités, au point qu'on pourrait juger qu'il y en a carrément trop. Entre les tonnes de compétences, qui débloquent des spécialités, et le diabolique item creation et les centaines d'objets qui en découlent (entre les minerais, les accessoires, les denrées, les armes, les objets classiques... on arrive à des listes phénoménales, pratiquement indigestes) on peut passer énormément de temps à faire autre chose que de combattre, explorer ou acheter en boutique.
                      Un guide est indispensable pour s'y retrouver, car on ne nous dira jamais quels composants utiliser sur quels objets, à quel niveau minimum de compétence/spécialité pour prétendre arriver à customiser correctement. Comme en plus il y a une histoire de probabilité de réussite (car oui, il y a aussi des objets qui résultent de l'échec durant l'item creation !), impossible d'y aller à l'aveugle. Cela vaut le coup de s'y attarder, sous peine de se retrouver à devoir "grinder" bêtement de l'expérience et de l'argent pour compenser. Les joueurs qui l'ont trouvé trop difficile sont pour la plupart passés totalement à côté de ce que le jeu avait à offrir pour se simplifier la vie.

                      En tout cas j'y beaucoup aimé y rejouer. Peut-être parce que j'avais entre-temps fini le remake PSP, je n'ai pas trouvé qu'il avait trop mal vieilli, en dehors de la courbe toujours délirante de la difficulté dans les jeux tri-Ace.

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                      • - The Walking Dead Season Two (PS4) 09.05.2016

                        Par rapport au premier, c'est un peu différent, il y a beaucoup moins de recherche de type "point and clic" et plus de QTE, c'est un peu dommage mais sinon le scénario est toujours très intéressant, les choix parfois difficiles. Hâte de connaitre la suite.

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                        • - Salamander (PC Engine) 10.05.2016 : déjà fini il y a une dizaine d'années, j'avais finalement assez peu joué à ce titre. J'ai été étonné de la grande facilité, même en mode expert. Bien sûr je ne fait que le premier loop mais comme je sais qu'il n'y pas de fin alternative, ça ne me motive pas trop.

                          Par contre, je trouve toujours que le premier niveau est le plus difficile. Suis-je normal ? J'en profite pour dire qu'entretemps, j'avais one lifé le premier loop de Gradius, avant de finir le second loop. D'ailleurs, je préfère quand même Gradius à Salamander.

                          Me reste plus qu'à me remettre à Gradius 2, sur le boss rush duquel j'ai bien bloqué l'autre jour alors que je l'avais passé tout debout il y a peu.

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                          • - Uncharted 4 (PS4) 11/05/2016

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                            Mais je le prends pour ce qu'il est: un jeu grand public, qui veut un peu plaire à tout le monde, pas trop compliqué, qui ne demande pas trop de skill (pas tenté en extrême cela dit), qui demande de le refaire pour tout faire à 100% (ce que je n'ai malheureusement pas le temps de faire), et dont le scénario se rapproche un maximum des productions cinématographiques hollywoodiennes.

                            Pas grave, j'ai beaucoup aimé quand même

                            Espérons maintenant que le mode multi-player soit plus de la veine de celui du 2 que du 3.
                            La personne la plus detestable, la plus ignominieuse des forums francais.

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                            • Mise à jour pour ces messieurs.

                              J'ai fini Lone Survivor: The Director's Cut (le "The" n'est pas anodin) sur PS3 le week-end dernier.
                              Assez mitigé.
                              Mon premier loop a été très éprouvant, car entre les ennemis qui parfois réclament énormément de munitions pour crever, le héros qui passe son temps à crier famine et/ou se plaindre de son manque de sommeil, le fait qu'en deux/trois coups il trépasse, la carte tout sauf pratique (à cause des changements "d'angle") on a l'impression qu'il va être très compliqué de s'en sortir dans ce survival horror en 2D au design faussement rétro (méga pixels inside). Alors qu'en fait avec le recul c'est rare de tomber en panne de munitions (et on peut en obtenir d'autres manières qu'en explorant), qu'on va trouver de quoi se nourrir (en mal ou en bien) et que dormir n'est pas un si grand problème si l'on choisit de recourir aux miroirs télé-porteurs pour ne pas rester trop longtemps loin de son appartement salvateur.
                              En fait le plus gros problème de ce jeu, c'est qu'on part avec trop d'inconnues. J'encourage tous ceux qui se lanceront dedans de se rencarder un minimum pour éviter d'être perdu, au moins pour ce qui concerne le moral du personnage, car c'est ce qui détermine non seulement la fin, mais aussi voire surtout l'obtention d'objets-clés qui vont excessivement aider à le pousser vers le haut (et donc de viser les meilleures fins).
                              La première partie, comme on n'est au courant de rien, on finira immanquablement dans l'une des deux mauvaises fins, rien que parce qu'on aura buté des monstres.
                              En revanche, une fois qu'on a capté les subtilités (et encore une fois qu'on sait ce qu'on peut récupérer tant qu'on arrive à garder le moral au beau fixe), le jeu devient bien plus intéressant : on va chercher à effectuer certaines actions (manger, dormir) précisément, on va autant que possible recourir aux "alcôves" planquées parfois dans l'arrière du décor pour esquiver les monstres, ou les paralyser quand on n'a pas le choix à l'aide de fusées éclairantes. C'est bien plus motivant d'essayer de réaliser une partie parfaite que de survivre comme on peut, même si je ne perds pas de vue que c'est la première réaction, le premier cheminement attendu par le créateur du jeu.
                              A noter qu'il y a en tout cinq fins : deux plus ou moins mauvaises, deux plus ou moins bonnes, et une un peu spéciale.
                              On sent fortement l'influence de la série Silent Hill, que ce soit dans les décors, les bruitages, ou le côté psychologique de certains passages (sans parler de scènes où l'on est vraiment obligé de penser à tel ou tel épisode, ou bien les petites références du style la réflexion que le personnage fait quand il joue à une certaine borne d'arcade), ce qui forcément n'est pas pour me déplaire.
                              Au final, je conseillerais malgré tout ce titre car il a quelques points forts, mais encore une fois mieux vaut ne pas l'attaquer en touriste, ou alors faites comme moi et visez la pire fin possible (la rouge) lors de votre première partie, car mine de rien elle n'est pas facile à décrocher ! En jouant normalement, on atterrit logiquement dans la fin bleue (moral pourri mais pas au fond du fond du trou) qui est à peine plus intéressante.
                              Dernière modification par Shû Shirakawa, 11 mai 2016, 23h30.

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                              • Hello tout le monde,
                                pas trop l etemps de jouer alors c'st un exploit d'avoir réussi a coller 84 heures à coup de sessions de 20 minutes dans le RERE sur...

                                - The Legend Of Heroes : Trails In The Sky SC (PSP) 15.05.2015

                                Pure merveille pour moi un RPG c'est ça. Il a tout bon, l'ambiance vintage à la Grandia, musiques nickel avec des thèmes épiques pour les boss, histoire assez simple et légère en apparence mais en plein dans le mille avec des bons retournements bien violents, sans être prise de têtes, et surtout persos attachants au possible, système de combat parfaitement équilibré, c'est le top.

                                Un jeu qui ne paye pas de mine a premier abord mais qui en réalité est un des meilleurs RPG japonais qui existe. Je le met dans mon top avec la série Persona, Dragon Quest, Chrono Trigger, et les anciens FF.

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