Mise à jour pour Fartaz.
Tu commences bien l'année.
J'ai fini Asura's Wrath sur PS3.
Enfin fini, fini, pas tout à fait avec ce fameux scandale du DLC pour avoir la vraie fin totale de la mort. Parce que déjà dans le jeu de base, au bout des 18 chapitres, on apprend qu'on peut/doit rejouer le dernier pour connaitre la vérité. Une bien curieuse idée puisque toutes les actions seront identiques, et seule la toute dernière cinématique variera, transformant une fin qu'on pourrait qualifier de bonne, en mauvaise/cliffhanger. Mouais... merci Capcom.
Après j'ai aimé le jeu, même si en réalité on joue très peu. Énormément de cinématiques, quelques QTE pour initier certains mouvements, et parfois des phases de baston ou de shmup en vue arrière. Le vrai reproche que j'ai envie d'énoncer, c'est que les personnages (car on n'incarne pas qu'Asura mais aussi Yasha avec sa musique façon western) ont trop peu de coups disponibles donc on passe son temps à faire les mêmes enchaînements à base de O répétés puis finir avec triangle. Aussi le fait que tout ce qui compte n'est pas de porter des coups mais de remplir la jauge de furie pour pouvoir l'activer. Les bosses ont des PV infinis quoi, et la furie est la transition vers la cinématique suivante. Une fois qu'on a pigé cela, sauf si l'on doit "farmer" des points dans le but d'avoir la meilleure note possible en fin de chapitre, on peut aller vraiment très vite (je crois que je franchis le chapitre 3 en 49 secondes par exemple).
C'est dommage parce que visuellement c'est très bon, le chara design dépote, l'ambiance qui mêle science-fiction et bouddhisme très réussie, le côté série animée qui me plait tant (avec les extraits du prochain épisode, les eye catches de milieu de chapitre comme si on avait eu la coupure pub), et surtout l'action est ultra dynamique : les personnages s'envoient de sacrées mandales et on les ressent à travers l'écran. Ce n'est pas pour rien que les principaux protagonistes sont des demi-dieux ; il faut au moins cela pour pouvoir porter ou encaisser des coups d'une telle violence.
J'ai tout bouclé en mode demi-dieu. Là je l'ai recommencé avec la jauge de souffrance (on peut équiper différentes jauges de vie qui ont différents effets secondaires) et... elle porte bien son nom. En gros cela revient à jouer en Dante Must Die car on peut mourir en deux trois coups, ce qui est plutôt crispant sur beaucoup de passages... Mais j'arrive à avancer malgré tout.
Tu commences bien l'année.

J'ai fini Asura's Wrath sur PS3.
Enfin fini, fini, pas tout à fait avec ce fameux scandale du DLC pour avoir la vraie fin totale de la mort. Parce que déjà dans le jeu de base, au bout des 18 chapitres, on apprend qu'on peut/doit rejouer le dernier pour connaitre la vérité. Une bien curieuse idée puisque toutes les actions seront identiques, et seule la toute dernière cinématique variera, transformant une fin qu'on pourrait qualifier de bonne, en mauvaise/cliffhanger. Mouais... merci Capcom.
Après j'ai aimé le jeu, même si en réalité on joue très peu. Énormément de cinématiques, quelques QTE pour initier certains mouvements, et parfois des phases de baston ou de shmup en vue arrière. Le vrai reproche que j'ai envie d'énoncer, c'est que les personnages (car on n'incarne pas qu'Asura mais aussi Yasha avec sa musique façon western) ont trop peu de coups disponibles donc on passe son temps à faire les mêmes enchaînements à base de O répétés puis finir avec triangle. Aussi le fait que tout ce qui compte n'est pas de porter des coups mais de remplir la jauge de furie pour pouvoir l'activer. Les bosses ont des PV infinis quoi, et la furie est la transition vers la cinématique suivante. Une fois qu'on a pigé cela, sauf si l'on doit "farmer" des points dans le but d'avoir la meilleure note possible en fin de chapitre, on peut aller vraiment très vite (je crois que je franchis le chapitre 3 en 49 secondes par exemple).
C'est dommage parce que visuellement c'est très bon, le chara design dépote, l'ambiance qui mêle science-fiction et bouddhisme très réussie, le côté série animée qui me plait tant (avec les extraits du prochain épisode, les eye catches de milieu de chapitre comme si on avait eu la coupure pub), et surtout l'action est ultra dynamique : les personnages s'envoient de sacrées mandales et on les ressent à travers l'écran. Ce n'est pas pour rien que les principaux protagonistes sont des demi-dieux ; il faut au moins cela pour pouvoir porter ou encaisser des coups d'une telle violence.
J'ai tout bouclé en mode demi-dieu. Là je l'ai recommencé avec la jauge de souffrance (on peut équiper différentes jauges de vie qui ont différents effets secondaires) et... elle porte bien son nom. En gros cela revient à jouer en Dante Must Die car on peut mourir en deux trois coups, ce qui est plutôt crispant sur beaucoup de passages... Mais j'arrive à avancer malgré tout.
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