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  • Mise à jour pour tout le monde.

    J'ai fini Final Fantasy VII Remake.
    Bilan assez mitigé à cause de quelques défauts dommageables, que j'espère absents dans les épisodes à suivre.
    Les qualités du titre :
    - Graphiquement bien sûr. On en prend plein la vue, que ce soient les personnages ou les environnements. Midgar est vraiment réussie, on se retrouve enfin avec une vraie vision imposante de cette cité à deux étages. Dans l'original il y avait un sacré problème d'échelle, mais là il n'y a qu'à explorer les quartiers ou regarder au loin pour s'en rendre compte. Et tous ces habitants qu'on croise ne peuvent qu'augmenter l'immersion. Tout a été creusé, y compris le background de certains PNJ.
    - Les musiques sont excellentes. Elles ne sont pas "bêtement" réorchestrées, il y eu un vrai travail pour qu'on les reconnaisse de manière subtile. Aussi dans les jukebox, on a d'autres versions, plus jazzy, qui viennent compléter la bande-son. Je pense craquer et me payer le coffret cd tellement j'ai été transporté.
    - La réécriture du scénario. Cette aventure à Midgar ne tarde pas à s'écarter de l'histoire originale et plus on avance, plus elle nous affirme cette volonté. Sans spoiler, on nous fait explicitement comprendre qu'on doit empêcher les événements initiaux d'arriver. Ce qui donne une fin surprenante, mais aussi "inquiétante" dans le sens où j'espère qu'ils savent où ils vont, que c'est déjà bien couché sur le papier parce qu'il y a moyen que cela parte n'importe comment avec la porte qu'ils ont ouverte. En tout cas c'est encourageant pour la suite, car on a envie de voir jusqu'où les différences vont aller. Le Remake est parfaitement assumé.

    Les défauts du titre :
    - L'allongement artificiel de la trame. Bon c'était une évidence avant même d'y jouer : étirer une histoire de 5~6 heures en 40, il y aurait forcément des longueurs. C'était sans doute impossible à réaliser sans ce que cela se sente, à proposer du fun sorti de nulle part mais c'est un peu loupé. Comme le jeu verrouille naturellement les quartiers, on évite pas mal de quêtes FedEx, mais celles proposées ne sont pas passionnantes pour autant. Et surtout certains passages liés à l'histoire sont tellement longs d'un coup...
    - Le système de combat. Alors pour le coup je suis conscient que je suis un peu sévère de le placer dans les défauts, parce que tout n'est pas bon à jeter. C'est dynamique, cela implique beaucoup plus le joueur car tout compte : distances, décors/obstacles, placements, garde, esquive, etc. C'est plaisant d'avoir tout cela à gérer, ils ont proposé une très belle alternative, plus dans l'ère du temps, qui réclamera plus de skill que dans l'original, c'est certain. C'est en tout cas nettement plus réussi que dans FF XV, qui avait posé les premiers jalons.
    Mais malheureusement une fois qu'on a capté comment fonctionnent les alliés (bons qu'à se protéger ; ils ne prendront jamais d'initiative...) et le CPU (vise 99% du temps le personnage contrôlé par le joueur), il y a de quoi être un peu déçu. Pour résumer, pour un résultat rentable sur les deux plans, il faut changer de personnage très fréquemment et personnellement je ne trouve pas cela très grisant. Je présume qu'ils ont voulu mettre une pression constante sur le joueur, et le forcer à bien manipuler chaque personnage au lieu de garder un maximum le même et via le menu donner des ordres aux autres, mais c'est pénible. Le CPU est un spécialiste de l'interruption, donc pour ceux qui aiment surtout manier les mages par exemple, ben c'est beaucoup trop risqué, les sorts ont trop de chances de ne pas partir (ah oui et vous perdez votre jauge d'ATB et vos MP quand même, hein, histoire de se faire arnaquer jusqu'au bout). On se fait à ces contraintes, je ne dis pas que je déteste les combats vu tout ce qu'ils tentent d'apporter, mais cela gâche un peu la fête. On verra s'ils rectifient un peu les scripts d'automatisation par la suite.
    Là je suis en train de le refaire en mode difficile, autre nouveauté de ce remake. Il faut bien se préparer, surtout question matérias, car les ennemis sont sans pitié dans ce mode, et les bosses bien plus agressifs. De plus, on ne peut pas utiliser d'objets, c'est là le plus gros handicap selon moi (surtout qu'à l'issue du mode normal, on a un sacré stock de queues de phénix, méga potions et compagnie). On doit bien gérer ses MP pour ne pas être à sec dans les moments critiques. Mais il y a des moyens de s'en sortir quand même.

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    • Je suis pas d'accord pour dire que passer de 5 heures à 40, il doit forcément y avoir des longueurs. Ils auraient très bien pu mettre de nouveaux trucs intéressants pour remplacer. Aussi bien au niveau de l'histoire que des actions à faire. Parce que se taper mille couloirs ou étages tout verts/bleus ou faire joujou avec des grues, c'est forcément pas une bonne idée.

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      • Là tu leur demandes trop de créativité je pense, pour un simple part 1.

        Si j'avais une baguette magique, c'est sûr que j'aurais aimé par exemple découvrir les autres secteurs de la ville jamais abordé dans l'original, au lieu d'activer des leviers à droite et descendre des échelles à gauche.
        Et cela tu vas beauuuuuuuuuuuuuuuuuuuuucoup en manger au chapitre 17...

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        • - Seirei Senshi Spriggan (CD-Rom²) 03.05.2020 : ça faisait looongtemps que je ne l'avais pas fini. Spriggan est encore plus beau que dans mes souvenirs. Ce troisième niveau est juste fantastique et tout est hyper chiadé. Certains passages sont ultra speeds, à tel point que je me demande si une autre console de la même génération aurait été capable de faire pareil.

          Une chose étonnante pour un Compile : il n'est pas très long.

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          • Sûrement :(

            J'ai peur :(

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            • Envoyé par edgarfigaro
              Salut,
              Enorme fan de YS moi-même, je me sens obligé de te répondre !!!
              Ys est avant tout un hack and slash sous stéroides.
              Rapide et nerveux, et très axé gameplay.
              De façon générale les YS sont réputés pour leur difficulté et leurs modes Hard, Nightmare et companie (ca devrait te plaire) ainsi que leur ambiance prenante.

              Il y a trois familles de jeux Ys (grossièrement) :
              - Les classiques 2D retro
              - Les jeux axés gameplay pur (VI, Felghana, Origin)
              - Et les jeux les plus récents ont évolué un peu vers un coté plus Metroidvania (carte a compléter, inventaire plus poussé, NPC, camp, etc). Ca a commencé avec le VII (Qui vient de sortir sur PC), puis Celceta, et enfin le VIII.
              Pas encore touché au IX qui vient de sortir au Japon.

              Vu ton profil assez axé gameplay je me tournerais vers Ys VI pour débuter d'autant qu'il semble t'avoir tappé dans l'oeil. Il tourne très joliment sur PC les textures ont été remises à jour.
              C'est le jeu qui a relancé la série.
              Puis j'irais dans l'ordre de sortie car on voit le gameplay s'étoffer peu à peu: Felghana qui est souvent consideré comme le meilleur de la serie et le plus "PUR". Il a un bon niveau de challenge et un système de combo/streak assez poussé tu devrais accrocher. Puis enfin Ys Origin qui est dans la lignée mais introduit le concept d'avoir plusieur personnages avec des gameplay differents.

              Après ca si tu te sens de te lancer dans du rétro c'est le bon moment de faire Ys I+II Chronicles (ca va vite).
              Ca te permettra de mieux comprendre la série et ils font suite à Origin.

              Sinon la suite logique est de continuer avec la "trilogie" du VII, de Celceta, et du VIII.
              Ils sont axés sur un système a la pierre papier ciseaux, ou tu change de perso sur le fly selon le type d'adversaire (Tank, combo ou a distance). Il y a aussi un coté farming pour faire des objets mais sans que ce soit envahissnt ou que ca ralentisse le flow. Ca reste dans tous les cas nerveux et rapide.
              C'est a partir de là que coté Narratif a été considérablement développé.
              Alors oui c'est culcul par moments mais globalement c'est vraiment dans l'ésprit RPG traditionnel un peu retro. J'ai trouve les dernières histoires très prenantes. Quand t'arrives à la fin le culcul tu l'as oublié parce que finalement l'histoire est attachante et ce qui parraissait anodin peut avoir une résolution un peu sombre qui va venir contraster.

              L'autre point fort de la série bien connu c'est sa musique. Le studio JDK est une vraie légende, donc met un casque ou des enceintes si possible. Le III et le VII notamment cartonnent sévère.

              Le seul canard boiteux de la série est YS IV version super Nintendo.
              Quand a YsIII c'était un jeu en side scrolling sorti sur consoles 16 bits.
              Je suis persuadé qu'il a beaucoup inspiré Castlevania Symphony of the Night certaines similitudes sont frappantes.
              Enfin Celceta et Felghana sont des remakes de YS III et YS IV.
              Merci de ta réponse. T'as bien compris ce qui m'avait tapé dans l'oeil, bien joué. Je suis sur Ys Origin, pour le confort de jouer sur PS4, je viens de passer la zone du feu avec Yunica. Quelle ambiance, le gameplay et le système de progression sont très simples, mais je m'amuse beaucoup, les commandes répondent parfaitement, et la physique du jeu est très travaillée. J'adore le côté shonen, y a du gros drama à l'échelle de ces petits sprites pre-rendered trop mignons, qui ressemblent à des porte-clés lol, donc je vais surement me régaler dans les autres. Je vais essayer de faire les 3 runs (je le sais parce que je me suis renseigné sur les mécaniques des jeux, sans me spoiler le contenu), et enchaîner sur Felghana et Napishtim, puis Seven pour finir avec Celceta. Le VIII semble super intéressant, mais il y a quelque chose qui me gène au niveau de la réalisation, je sais pas trop si j'aurais le temps pour ce genre d'aventure.

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              • Envoyé par edgarfigaro
                - Dragon Quest XI S: Edition Ultime (Switch) 03.05.2020
                [...]
                Ma fille a suivi l'histoire donc ca aussi c'est cool c'est un jeu tout public mais pas neuneu pour autant. En plus j'ai pu en profiter pour lui apprendre du vocabulaire comme "pont-levis" ou encore "sortilège".
                [...]
                Mention spéciale a Sylvando qui réalise l'éxploit de nous faire un perso hyper GAY tout en restant tout public et sans provoquer de débats ou de malaise. Ca change des américains et de leur diversité version rouleau compresseur.
                "Dis papa, c'est quoi un PD ?"

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                • Envoyé par Shû Shirakawa
                  Mise à jour pour tout le monde.
                  Merci !

                  - Tekken (PS2) 02.05.2020

                  Il s'agit ici de la version arcade qui est en bonus dans Tekken 5.
                  Premier d'une série à succès, ce Tekken se démarquait du concurrent Virtua Fighter avec sa 3D texturée. Que dire, sinon que cette 3D a atrocement vieilli. Ça pique les yeux. Je me souviens à l'époque de ce que certains potes me disaient : "Non ne mets pas ton Fatal Fury 3 ou ton Vampire, mets plutôt Tekken, c'est trooooop bô la 3D". Bof. Les aires de jeu consistent en un sol en 3D avec un fond en 2D très pauvre. Il y a tout de même quelques tentatives d'animations comme de la neige qui tombe ou un coucher de soleil, mais rien d'extraordinaire.
                  Il reste que les bases sont déjà posées, avec la différenciation des coups droits et gauches et des personnages comme le charismatique Heihachi.


                  - Tekken (PS) 03.05.2020

                  Je l'ai fait fonctionner sur PS3, mais il s'agit bien de l'adaptation du premier Tekken sur la première PlayStation.
                  Le jeu étant Pal, il tourne de toute évidence en 50Hz et se montre donc plus lent que la version PS2 qu'on peut mettre en 60Hz.
                  On retrouve à 95% le même jeu, la différence la plus notable est la présence d'une deuxième intro en images de synthèse bien plus élaborée que celle de la version originale. Bon, elle a beaucoup, beaucoup vieilli. Il y a également des musiques remixées que je préfère nettement aux musiques arcade. Chaque personnage dispose de sa propre fin, en images de synthèse (parfois mêlées avec des prises de vue réelles, comme pour celle de King). Enfin les boss deviennent jouables une fois qu'ils sont battus.
                  Du côté des pertes on note le portrait du personnage qui n'est plus animé à l'écran de sélection et il n'est plus annoncé en voix-off. De plus les chevauchements de polygones semblent plus importants.

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                  • Je fais partie de ceux qui se sont rapidement éloignés de la 2D et donc de la NEOGEO à l'approche de la PSX/Saturn.

                    Pour moi il y avait deux raisons :
                    - l'arcade à la maison. J'ai découvert Ridge Racer en arcade,on te dit qu'il sort sur PSX, il n'en fallait pas plus. J'imagine que c'était pareil pour les amateurs de Virtua Fighter et Daytona USA.
                    - l'attrait pour les nouvelles technologies. Aucune console de l'époque 16Bits n'était capable de sortir ce que je voyais dans les magazines.

                    Donc avec ces deux raisons j'ai détourné le regard, oublié les SNES, MD, NGCD.

                    Aucun regret car finalement j'ai beaucoup beaucoup aimé Ridge Racer, Tekken 1 et Tekken 2. J'ai pas de problème à y rejouer mais si oui, ça a très mal vieilli.

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                    • - Streets of Rage 4 (PS4) 04.05.20

                      J'inscris ce finish avec le trophée Or "100 Yen" : finir le mode Arcade en difficile.

                      On a réussi cet exploit en coop avec Brx, au bout de 5 ou 6 runs d'une rare intensité. L'idée de devoir le faire seul me donne le vertige, parce qu'on revient vraiment de loin. On est arrivés au boss final avec notre dernière vie, en finissant avec zéro de vital, sur une dernière phase de jeu digne de Dark Souls, avec esquive de toutes les attaques, l'utilisation d'un (très relatif) safe spot et en mettant des petits coups de temps en temps. D'ailleurs, il y a plusieurs passages où les développeurs ont réussi à darksouliser l'action (avec même une référence directe à Dark Souls dans une cutscene). C'était long et dur, 1h44 de jeu pour la run gagnante sur environ 8h d'acharnement au total pour obtenir ce trophée (ça nous a débloqué tous les persos du jeu au passage, à force de grinder). J'aurai pas supporté une autre partie. C'était épique.

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                      • Envoyé par VolKoF
                        "Dis papa, c'est quoi un PD ?"
                        Justement a aucun moment c'est dit ou montré qu'il est "PD".
                        Ils te parlent pas de sexualité ni d'amour entre hommes.

                        Il est présenté comme un clown complètement folle.
                        Si tu sais ce que c'est tu vas faire le lien de suite, mais si tu ne sais pas c'est juste un clown complètement déjanté.
                        C'est implicite ils ne t'obligent pas à d'adherer.

                        D'ou ma remarque sur le fait que ce personnage est bien écrit.

                        C'est pas comme l'épisode de la bande a picsou ou la fille a ses deux papas qui arrivent avec un tshirt "i'm with dad": dans cette situation ils t'obligent a rentrer dans des explications avec tes gosses et ca c'est ce que j'appelle la "diversité" forcée a la tractopelle.
                        Dernière modification par edgarfigaro, 04 mai 2020, 12h14.

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                        • Et donc, c'est pour ça qu'il y a pas de malaise...

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                          • Et donc ca prête moins à polémique.
                            Apres chacun régira selon son niveau de tolerance a ce délire.

                            D'un coté t'auras ceux qui feront un scandale parce que c'était pas assez inclusif et explicite, et de l'autre t'en as qui trouveront que c'est déplacé et sue ca n'a rien a faire la.

                            Moi je trouve que c'était sympa sans être intrusif.
                            Ca restait leger.
                            Dernière modification par edgarfigaro, 04 mai 2020, 13h14.

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                            • Envoyé par fatir
                              - Streets of Rage 4 (PS4) 04.05.20

                              J'inscris ce finish avec le trophée Or "100 Yen" : finir le mode Arcade en difficile.

                              On a réussi cet exploit en coop avec Brx, au bout de 5 ou 6 runs d'une rare intensité. L'idée de devoir le faire seul me donne le vertige, parce qu'on revient vraiment de loin. On est arrivés au boss final avec notre dernière vie, en finissant avec zéro de vital, sur une dernière phase de jeu digne de Dark Souls, avec esquive de toutes les attaques, l'utilisation d'un (très relatif) safe spot et en mettant des petits coups de temps en temps. D'ailleurs, il y a plusieurs passages où les développeurs ont réussi à darksouliser l'action (avec même une référence directe à Dark Souls dans une cutscene). C'était long et dur, 1h44 de jeu pour la run gagnante sur environ 8h d'acharnement au total pour obtenir ce trophée (ça nous a débloqué tous les persos du jeu au passage, à force de grinder). J'aurai pas supporté une autre partie. C'était épique.
                              On revient de très loin oui, vraiment, c'était épique.
                              J'ai pu revisionner le run à tête reposée mais je ne m'en suis toujours pas remis, il faudra du temps...(Je jure qu'on n'en rajoute pas )

                              Tout a été enregistré grâce à la fonction record de la PS4, réglée au préalable sur 60 minutes, le maximum légal autorisé.
                              Ca nous a permis d'immortaliser la "fin" du 1CC, depuis les derniers moments de l'affrontement avec le boss du Stage 6 (épique déjà, 0 vital) jusqu'à l'affrontement final au Stage 12, soit 59 minutes de gameplay exactement.

                              Je reviens sur les 1h40 de durée totale car c'est probablement ce qui fut le plus éprouvant, on sortait d'un run du même temps juste avant où on aura échoué aux portes de la victoire, sous la pression et la violence du CPU qui nous y aura laissé croire jusqu'à la dernière seconde.
                              Et c'est probablement sa plus grande erreur, car malgré le traumatisme, l'humiliation et la fatigue ressentis à ce moment, c'est aussi à cet instant précis qu'on a saisi l'opportunité d'y retourner avec toute l'intuition et le jeu qu'on cherchait à poser depuis le départ.

                              SOR 4 ou la marque des grands, dors et déjà oui, assurément (j'assume).

                              La dernière fois qu'on a joué ensemble fatir et moi, ça remontait à l'ère 360, dans la fleur de l'âge, on jouait déjà à SOR 2, TMNT, Castle Crashers à leurs sorties respectives sur XBLA.

                              13 ans plus tard, on s'était dit ici même qu'on célébrerait la sortie de ce nouveau beat, comme pour rendre hommage à tout un pan du jeu vidéo, sans pour autant savoir à quel point il nous pousserait, encore, dans de tels retranchements.

                              Si ce n'était pas sur NGF, je ne saurais pas où l'inscrire, définitivement, alors merci fatir pour ces moments !


                              Nous faisons notre devoir
                              Car nous le pouvons.
                              Pour le bien de nous tous
                              Sauf ceux qui ont trépassé.

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                              • Pense à toutes ces choses qu'on a appris
                                Pour les gens qui sont encore en vie

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