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  • Mise à jour.

    J'ai fini SD Gundam G Generation Genesis sur PS4.
    Complètement centralisé sur la chronologie principale de la licence, autrement dit celle de l'Universal Century, cet opus propose (presque) toutes les séries/films la composant (bizarrement il manque tout ce qui touche à V Gundam et F91). Ceux qui ne jurent que par Gundam W par exemple peuvent passer leur chemin.
    En plus de ces séries/films, on trouvera des adaptations ou transfuges de romans ou jeux s'inscrivant dans cette timeline. Personnellement il y en a peu que j'ai appréciés car trop sur le thème de la guérilla, que ce soit d'un point de vue du camp allié ou de celui des ennemis.
    En effet, un point intéressant (mais perturbant) du jeu, est d'alterner dans quel camp on va se situer. Je dis perturbant car cela n'a aucun sens que notre équipe de héros aide les alliés lors d'une bataille de tel chapitre, puis les ennemis lors de la suivante. Alors ce n'est pas non plus réellement une bataille sur deux, il y a de tout (chapitre intégralement du côté allié par exemple) mais encore une fois question cohérence on repassera. Enfin c'est quand même intéressant d'affronter les personnages/robots qu'on est habitué à contrôler.
    Chaque chapitre nous fera revivre les passages importants de chaque licence, leur nombre étant lié au nombre d'épisodes de l'oeuvre (un film représentera forcément moins de batailles qu'une série de 50 épisodes). Une fois tout ceci achevé, on débloquera une bataille spéciale contre le boss de fin ; pas de surprise quant à son identité, mais j'ai bien aimé la manière dont il arrive.
    Pour ceux qui tomberont dans le piège, il faudra une centaine d'heures pour remplir les encyclopédies, enfin principalement celle des mobile suits/armors, le reste (fiches de personnages, vaisseaux...) se remplissant tout seul pendant qu'on progresse dans le jeu. Je le dis à chaque fois mais le plaisir des SD Gundam G Generation réside justement dans le fait de collectionner les unités. Alors je ne dis qu'il faut toutes les posséder (il n'y en a pas moins de 458 !) mais les croiser au moins une fois pour les ajouter à son "Pokédex". Pour en obtenir plusieurs possibilités s'offrent au joueur :
    - l'achat, tout simplement, avec celles de base ou celles qu'on débloque dans le magasin via des quêtes ;
    - l'évolution, principal moyen, en faisant passer des niveaux à une unité, on peut la transformer en mieux, ou en moins bien : pour parcourir toutes les branches de l'organigramme, il faut parfois régresser pour partir dans une autre direction ;
    - l'échange ; c'est rare de s'en servir, car seulement disponible après que l'unité ait un peu évolué et que c'est payant. C'est donc uniquement intéressant si l'on a fini une branche et qu'on veut sauter vers une autre ;
    - la conception. Très intéressant comme procédé, car en gros on s'inspire de deux unités pour établir les plans d'une autre pour l'ajouter au magasin. L'énorme avantage est que cela ne coute rien, dans le sens où l'on ne sacrifie pas d'unité (puisque ce n'est ni une évolution, ni un échange). Après cela sert surtout pour débloquer des unités très particulières, liées à des personnages précis, qu'on ne peut pas obtenir par les autres biais ;
    - enfin la capture, valable uniquement quand on détruit une forteresse d'où viennent de sortir des unités, ou en tuant le leader des renforts spéciaux lorsqu'on réussit le défi optionnel propre à chaque bataille.
    Bref il y a de quoi s'occuper.
    Les animations de combat sont rapides et pêchues pour la plupart, donc de temps en temps on peut en lancer une ne serait-ce que pour changer la musique (celles créées pour le jeu sont trop peu nombreuses et pas terribles, alors que celles tirées des anime sont un régal).
    Techniquement sinon le jeu est assez léger pour une PS4. Il aurait tourné sur une PS3 sans soucis je pense, mais vous l'aurez compris l'intérêt n'est pas là. Cela m'a fait plaisir de rejouer à un SD Gundam G Generation. Je compte prendre Cross Rays mais pas dans l'immédiat, ce serait l'overdose vu "l'investissement" demandé.​

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    • Burnout Paradise Remastered (PS5) 29.01.2025

      Une purge, les mêmes épreuves tout le temps. Tout ce qui fait le sel de Burnout jusqu'à l'écœurement. Il y a plus de 100 épreuves différentes et énormément de doublons. En accumulant les épreuves réussies, on franchit des paliers et obtient des permis. Arrivé au permis A, il fallait remporter encore 40 épreuves pour avoir le permit Burnout. Ce que seuls 7% des joueurs ont réussi, vue la lassitude qui s'installe. Et une fois le permis Burnout obtenu, il faut alors remporter 120 épreuves pour avoir le permis Burnout Elite et intégrer le 1% de joueurs qui sont allés au bout. En voyant cela, j'ai évidemment supprimé le jeu du disque et éteint la console.

      Il y a quand même de très bons côtés. Le jeu est fluide, rapide, se charge rapidement et est globalement très fun à jouer pendant 2-3 heures. C'est plus une ressortie qu'un remaster et le jeu conserve sa teinte jaunâtre et son manque de lisibilité. Les bâtiments, les murs, le sol sont de même couleur. Quand on est à fond, c'est très difficile de s'orienter.

      La carte est mal fichue, en se se réorientant pas selon la direction prise. Quant à la flèche énorme qui nous représente, ce n'est pas la boîte qui est le bout du capot du véhicule, mais son point central. Et quand on arrive vite et qu'il y a plusieurs rues sur la droite séparées de quelques dizaines de mètres, il est impossible de s'appuyer sur la carte pour savoir quand tourner.

      Il s'agit vraiment de l'épisode ultime de la série, mais il n'y a pas vraiment d'innovation sorti du monde ouvert et vide dans lequel on déambule. Payé 3€ en promo, ça reste une belle affaire.

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      • Mise à jour pour yori.

        J'ai fini Mortal Kombat 3 sur PlayStation.
        Dans cette conversion très propre de l'arcade (c'était forcément plus facile pour les consoles de cette génération que pour la Mega Drive ou la SFC), on retourne dans l'univers sombre et cruel de cette licence de versus fighting.
        Plusieurs nouveaux personnages, mais d'autres des précédents sont absents, ce qui aboutit à un total de 14, pas mal en 1995.
        En début de partie on peut choisir un parcours (en forme de tour) plus ou moins long, en fonction de son niveau.
        Question nouveautés, on notera une touche de course, principalement utilisée pour se ruer vers son adversaire et entamer un enchaînement. D'ailleurs j'apprécie le fait d'avoir sous le compteur de hit le pourcentage de vie qui part, même si j'avais lu que ce n'était pas complètement fiable (des fous ont mesuré des différences). Un nouveau type de fatalité fait son apparition, l'Animality, qui comme son nom l'indique transforme le personnage en animal pour porter le coup fatal.
        Un épisode qui fait davantage évoluer la licence que le précédent, mais je n'accroche toujours pas plus que cela.​

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        • Mortal Kombat ça reste une licence culte, surtout dûe à son atmosphère assez unique. J'adore l'ambiance générale, et pour avoir un peu rejoué au premier ce week-end on s'amuse quand même vraiment à deux. Mais c'est vrai qu'en terme de gameplay on est assez loin des standards.

          - Capcom vs SNK : Millenium Fight 2000 Pro (Arcade) 01.02.2025

          Pas grand-chose à dire hormis le fait qu'on doit faire son équipe selon un ratio de personnages, on a 4 points à répartir entre persos valant 1,2 ou 3 points.
          Après c'est du Capcom donc du très bon
          le paradoxe féminin

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          • Mise à jour pour Amano.

            J'ai fini Obscure, un survival horror ambiance teen slasher sur PS2.
            Contrairement aux films du genre, ici les personnages ne mourront pas tour à tour de manières plus stupides les unes que les autres, mais uniquement si vous jouez mal. En effet on dispose de cinq personnages (enfin surtout quatre vu que celui avec lequel on commence est capturé très vite et ne sera libéré qu'à la moitié du jeu), qu'on peut sélectionner à loisir dans la cour du lycée où l'action prend place, pour former un duo ; c'est très appréciable vu que d'habitude dans ce style de jeu, on est soit seul, soit accompagné d'un boulet qu'on doit protéger. Non là c'est pas mal parce que le second personnage nous aide (chacun a une "compétence" telle que crocheter rapidement, donner des indices, dire s'il reste un objet qui traine dans la pièce, etc.) et ne gâchera pas les munitions. Si jamais l'un d'entre eux meurt, parce qu'il a pris trop de dégâts tout simplement, c'est définitif et on peut le remplacer. Évidemment si vous perdez les cinq ce sera game over, mais il faut jouer vraiment de manière imprudente pour que cela arrive. La séquence de fin variera donc selon qui est resté en vie jusqu'au bout.
            La réalisation n'est pas géniale pour une PS2, et l'ambiance sonore est bizarrement assez "religieuse", alors qu'il n'est pas question de démons ou de rites occultes par exemple, mais plutôt de biologie (une plante qui prolonge l'espérance de vie et qui bien sûr donne lieu à des mutations).
            Le gameplay est classique, et avec le personnage qui dit s'il reste un objet dans chaque pièce, on peut ramasser toutes les munitions et objets de soin du jeu, donc de quoi grandement se faciliter la tâche. S'il doit y en avoir un que je conseille, et qui ne doit surtout pas mourir, c'est bien lui.
            Fini en un peu plus de quatre heures, ce qui est quand même assez court pour une première partie. J'ai le II qui traine dans un carton, j'y jouerai plus tard. Là l'heure est venue de jouer à un poids lourd du genre, et avant tout un jeu qui me tient terriblement à coeur : Silent Hill 2 Remake sur PS5.

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            • Rome Total war Alexander 15/02/2025 (PC).

              un des derniers "vieux" total war, série de jeux de stratégie/gestion que j'affectionne, que j'avais pas encore fait. Ultime extension du 1er Rome Total war, semble bien chiche en contenu, en comparaison de sont Glorieux aîné "Barbarian Invasion", qui renouvelait tout l’intérêt de Rome, grâce à sont bond dans le temps, un usage plus politique de la religion, et un renouvellement important des unités. Ici, c'est plutôt un scénario qu'on vous propose d'incarné : jouer Alexandre le Grand, et comme lui, vaincre l'empire perse, et conquérir le monde connus.

              Largement basé sur les mécaniques et les unités du jeu de base Rome Total war, c'est surtout le nom des unités qui change, et une contrainte renforcé : Vous avez 100 tour de jeu, pas un de plus, pour réaliser le rêve d'empire d’Alexandre, en démarrant dans une Grèce serte unifier, mais famélique, et menacé de tout part (toute les factions du jeux sont en guerre avec vous dés le départ, charmant !) : Les barbares au nord, un empire perse immense et richissime au Sud et à l'Est. Pour ne rien arranger, la puissante flotte perse patrouille sans cesse la méditerranée, rendant les possibilités de débarquement pour vos troupes très risqué. Si vous ne courrez pas très vite à la guerre, et aux pillage, c'est la ruine assuré qui vous attend, car votre armée coûte cher, et les quelques villes que vous posséder au départ ne suffiront jamais à renflouer des caisses qui se vide comme neige au soleil.

              En dehors de sont scénario, et de l'obligation de ne pas laisser mourir Alexandre, il s'agit d'une campagne militaire classique que l'on vous laisse menez comme vous l’entendrez. Allez vous d'abord "sécurisé" les frontières barbaresque du Nord, au risque de perdre de précieux tour de jeux ? Ou directement foncé sur la Turquie (pardon, le "Pont" comme on l'appelle à l'époque) et ses richesses, mais en prenant le risque d'être pris entre deux feux ? Personnellement j'ai fini le jeux à deux petit tour de jeux du game over en mode difficile.
              L'obligation d'avancer à vive allure vous oblige à jouer beaucoup moins "Safe" que dans une partie traditionnelle, où l'on peut avancer pas à pas, en se développant a fond dans l'économie, de sorte à pouvoir se payez de grande et belles armés pour tailler l’ennemie en pièce.

              Malgré la présence, comme toujours de scénario de bataille "Historique" pour faire duré artificiellement le plaisir, le jeu est assez court, mais permet de quitter la Saga de Rome 1 avec un petit challenge sympa, qui vous fait sortir de vos vielles habitude de jeux.


              Dernière modification par megaman, 15 février 2025, 23h37.

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              • Mise à jour pour megaman.

                J'ai fini Real Bout Garô Densetsu sur Saturn.
                Comme toujours l'adaptation de ce titre arcade est réussie, extrêmement fidèle, mais les temps de chargement entre chaque combattant viennent un peu casser le rythme, façon Neo·Geo CD. C'est le principal, pour ne pas dire le seul point noir de cette version comparé à d'autres portages sur cette console.
                J'ai toujours apprécié cet épisode, car comme de nombreux joueurs je ne m'étais pas vraiment amusé sur Garô Densetsu 3. Le jeu était indéniablement magnifique, le travail effectué depuis Garô Densetsu Special était titanesque, mais avec trois plans à gérer et des commandes complexes, on pouvait s'emmêler facilement les pinceaux.
                Real Bout sort quelques mois plus tard pour corriger le tir, en simplifiant le gameplay, développant davantage les chain combos, ajoutant les out of bounds (éjecter l'adversaire hors de la surface de combat après avoir détruit le bord du décor), bref rend le tout nettement plus sympa à jouer.
                En revanche, sans doute par manque de temps de développement, les décors ne sont pas très nombreux. Je pense que c'est pour cette raison qu'on affronte trois adversaires à la suite dans chaque stage. Au bout du compte on affrontera Geese Howard, qui récupère enfin sa place de boss final dans un décor qui rappellera celui du tout premier épisode, ainsi que la manière dont le combat s'achève. La boucle est bouclée.​

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                • Mise à jour.

                  J'ai fini le remake de Silent Hill 2 sur PS5.
                  L'original est mon survival horror préféré de tous les temps. J'avais été très touché par le malheur de James, et l'aspect psychologique incroyable. De tous les héros de Silent Hill, c'est lui qui sera le plus torturé, revivant moult fois la mort de sa femme, le poussant à accepter la terrible vérité.
                  Silent Hill 2 abordait aussi des thèmes très inhabituels en 2001 : le viol, l'inceste, le harcèlement, le suicide... tout ceci en un seul jeu, à croire que cette équipe de Konami avait totalement craqué tant c'était osé, mais ils ont bien fait.
                  Ici, le boulot abattu est monstrueux, c'est un véritable remake, pas une simple mise à jour technique.
                  Tous ceux qui connaissent bien l'original vont être surpris, et c'est en cela que j'ai envie de dire qu'ils représentent le premier public visé. C'est un plaisir sans nom de découvrir tout ce qui a changé, et de voir que les programmeurs ont prévu ce qu'ils appellent des "échos du passé" : ce sont des endroits/objets qui vont évoquer à James une impression de déjà vu, parce qu'ils auraient dû servir à quelque chose. Par exemple la barrière en bois où l'on devait trouver la première arme, le lieu où l'on aurait dû affronter Pyramid Head la première fois, ou le meuble à pièces qui faisait office d'énigme mais qui est ici fracassé. Une vingtaine de ces échos sont disséminés au travers de l'aventure.
                  En fait tout a été enrichi :
                  - les "donjons" ont été remaniés, modifiés pour être plus complexes, plus longs, et encore une fois pour surprendre ceux qui comme moi connaissent l'original par coeur (fini maintes fois sur PS2, sur Xbox, les versions HD sur PS360...). De nouvelles actions telles que se faufiler, ramper, bouger un charriot pour grimper dessus modifient la navigation ;
                  - conséquence directe : les énigmes ont elles aussi été chamboulées, même si certains objets n'ont pas changé de place. Parfois il faudra trouver de nouveaux indices, parfois résoudre de nouvelles mécaniques d'ouvertures de portes, etc. ;
                  - les combats, moins rigides, essentiellement grâce à l'esquive qui rappelle celle qu'on avait dans Homecoming, mais avec un timing bien plus permissif. La vue permet de viser précisément, donc de rentabiliser chaque munition, dans la tête ou dans les jambes. Le début du jeu est à ce sujet assez difficile, car le temps d'assimiler les gestes, à moins d'être extrêmement prudent, le moindre ennemi arrivera toujours à vous porter un ou deux coups, ce qui vous placera immédiatement dans le rouge question santé (pas au bord de la mort non plus, mais en danger). James encaisse mal, on manque cruellement d'objets de soin, donc c'est relativement tendu. Par la suite le jeu est plus généreux, et bien sûr on est plus à l'aise donc on prend moins de coups, et là c'est plus confortable. J'ai fini avec des dizaines et des dizaines de médicaments. D'ailleurs encore une nouveauté, très importante : on est encouragé à briser les vitres des voitures, des vitrines, des meubles... pour trouver des munitions ou "potions". Il ne faut vraiment pas négliger ce point car on trouve beaucoup plus de ressources de cette manière, surtout dans les rues de la ville ; je pense que quasiment tous les objets qu'on pouvait trouver aux fonds d'impasses, aux coins des parkings et compagnie ne sont plus de la partie. Assez étrangement on tuera plus vite les bosses avec les armes de mêlée qu'avec les armes à feu ;
                  - en plus des six fins du Director's Cut, deux ont été ajoutées. Une relativement "bonne", et une autre qui est à mon sens une extension d'une déjà existante ;
                  - le doublage a été entièrement refait, avec des dialogues plus naturels, plus développés ;
                  - enfin l'un des points les plus importants, la représentation du monde cauchemardesque a été totalement repensée. L'idée originale, de retranscrire une atmosphère de deuil, avec de grands linceuls par exemple, partait d'un bon sentiment, mais ce n'était pas aussi efficace que celle du premier épisode, avec ses décors tout en métal, en sang, ultra agressifs. C'est en quelque sorte l'aspect officiel du monde alternatif (qu'on retrouve dans la plupart des jeux, des films...), et là pour ce remake, ils ont décidé de l'appliquer, ce qui corrige l'un des principaux reproches qu'on avait pu faire lors de la sortie initiale.

                  À quelques micro-détails près (comme interagir avec un objet où il faut être parfois pile à la bonne distance, pile avec la bonne orientation de caméra sinon cela ne fonctionne pas), c'est un sans faute. Bravo Konami. C'est quand vous voulez pour les autres épisodes !​

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                  • Mise à jour.

                    J'ai fini Wonder Boy sur Master System.
                    Titre incontournable de la console, ce jeu de plateformes a non seulement influencé la concurrence (avec les Adventure Island/Bôkenjima) mais aussi servi de point de départ aux Monster World chez Sega, qui s'éloigneront de la plateforme pure (marrant de repérer quelques éléments de décors ou ennemis qu'on retrouvera dans cette série).
                    On y incarne Tom-Tom, un indigène qui part secourir sa dulcinée (recette déjà classique en 1986) au travers de 10 mondes coupés chacun en 4 stages. Inutile de dire que mis bout à bout... une partie dure plus d'une heure. C'est long, surtout que les thèmes musicaux, certes marquants, peuvent finir par lasser.
                    Comme pour de nombreux jeux de ce genre, la précipitation est le pire ennemi. Dans mes souvenirs, la barre de vie s'épuisait plus rapidement, condamnant le joueur à speeder un minimum pour vite récupérer des fruits pour regonfler sa santé tout en franchissant les obstacles. Mais en fait non, dans la plupart des stages on peut prendre son temps.
                    Surtout que l'inertie du personnage peut poser quelques problèmes donc raison de plus pour ne pas foncer tête baissée.
                    Les bosses sont très faciles vu qu'ils n'ont qu'une seule attaque en stock donc on apprend vite à l'esquiver. Seul leur visage changera, et le rythme auquel ils envoient leur boule de feu.
                    Bref le jeu m'a semblé beaucoup moins difficile qu'à l'époque, c'est surtout une question d'endurance en réalité.
                    Globalement c'est une bonne conversion 8-Bit de l'arcade, très colorée et aux sprites de bonne taille.​

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                    • - Xenoblade Chronicles 2 (Switch) 02.03.2025

                      110H dessus, pas vu le temps passer
                      Pas grand-chose à dire y'aurait trop en vrai, mais si vous aimez les JRPG vous devez savoir de quoi il retourne j'imagine
                      le paradoxe féminin

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                      • Mise à jour pour Amano.

                        J'ai fini Under Defeat sur PS4.
                        Dans ce nouveau portage du hit Dreamcast, on retrouve tous les éléments de la version HD sortie à l'époque PS360, autrement dit les modes arcade et New Order, les deux hélicos supplémentaires, les remixes musicaux...ainsi qu'un nouveau mode, le New Order Plus, qui ajoute simplement une jauge de vigilance (drôle de nom) qui une fois pleine, au gré des agissements du joueur, va entrainer un arrêt du scrolling et l'arrivée massive de troupes ennemies. Donc pour le score, et les ressources (on a souvent pas mal de transporteurs qui vont lâcher des options secondaires et des bombes), c'est intéressant. Mais en intérêt ludique franchement ce n'est pas foufou.
                        Content malgré tout de revenir sur ce shmup marquant, avec sa qualité de réalisation, ses troupes allemandes (les Japonais n'ont jamais eu le moindre tabou là-dessus), et avant tout ses hélicoptères dont on doit orienter les tirs, mais pas à 360° (même avec le contrôle en twin stick) comme dans Zero Gunner 2.​
                        Je le re-finirai sur PS5, merci le cross-buy, plus tard.

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                        • Je me souviens avoir testé et ne pas réussir à me faire ce gameplay particulier, après je suis tout sauf un shmupper émérite ^^


                          - Xenoblade Chronicles 2: Torna ~ The Golden Country (Switch) 23.03.2025

                          Comptez une 30aine d'heures pour tout faire, ce qui est exceptionnel je pense pour un DLC (pour preuve il est sorti en physique, mais à cause de ces satanés spéculateurs le prix est débile). Il ne me manquera que les 4 monstres uniques dorés, pour lesquels je devrais farm des heures et plus de temps pour ça...
                          Ça fermera ce chapitre Xeno 2 pour moi, que je conseillerai à tout amateur du genre.
                          le paradoxe féminin

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                          • Mise à jour pour Amano.
                            30 heures de DLC effectivement tu en as pour ton argent.

                            De mon côté j'ai fini Gris sur PS5.
                            Je l'avais déjà fait sur PS4 et j'ai profité de la récente mise à niveau gratuite vers la PS5 pour y rejouer.
                            Mon avis n'a pas changé en cinq ans: c'est un magnifique jeu de plateformes, assez court mais qu'importe tellement on est transporté par la direction artistique (les amateurs de couleurs façon aquarelle seront ravis).
                            Si j'avais un seul reproche à prononcer, c'est que la narration aurait mérité d'être plus présente. En dehors de l'introduction et de la fin, c'est très/trop minimaliste.
                            Pour le reste, c'est un pur plaisir de manier cette jeune anonyme qui part trouver un moyen de restaurer une immense statue maternelle.
                            Certains passages m'ont immanquablement rappelé Journey, surtout les phases de glisses dans le sable du deuxième monde.
                            J'encourage non seulement à y jouer, mais également à trouver tous les fragments mémoriels pour pouvoir accéder à la fin cachée.

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                            • Mise à jour.

                              J'ai fini Space Moth: Lunar Edition en un crédit sur PS4.
                              Acheté pendant les soldes, je n'en attendais pas grand chose (un énième shmup "indépendant" si j'ose dire) mais j'ai finalement bien accroché, au point de chercher à le "scorer" un minimum, ce qui est de plus en plus rare.
                              Cette Lunar Edition est une version plus aboutie de Space Moth DX, titre fortement inspiré par Mushihime-sama, pour l'univers basé sur les insectes, les tirs, les bombes... On y dirige l'un des deux papillons (aux caractéristiques différentes) face à des hordes d'araignées, scarabées, mouches, etc. au travers de cinq stages.
                              En y jouant de manière normale, comprendre en utilisant toutes les ressources proposées par le jeu (les bombes, le mode crâne qui forme une barrière qui efface tous les tirs qui la percutent), je pense qu'on peut le terminer en un crédit sans trop de problème.
                              En revanche si vous cherchez à marquer des points, là le jeu va radicalement changer car pour que les gros ennemis lâchent leurs vraies valeurs, il faut les "énerver" en les arrosant au tir automatique, puis les achever au laser. Qui dit "énerver" dit motifs beaucoup plus fournis, d'où une difficulté plus élevée. L'idéal est de les tuer de cette manière, après avoir augmenté un multiplicateur via les tirs effacés par la barrière, jusqu'à x24.
                              Le jeu propose en parallèle des défis assez corsés mais qui en réalité vont dans le bon sens, comprendre qu'ils ne sont pas juste là pour décourager/faire péter des plombs (vu les taux ridicules d'obtention, la plupart des joueurs ont laissé tomber) mais qu'ils aident à progresser, pour la survie ou le scoring. Par exemple celui où l'on doit battre le boss final sans bomber m'a donné des sueurs froides, mais mine de rien, pas le choix cela force à étudier ses motifs pour s'en sortir un minimum même quand manque de ressources lors de parties foirées ; idem pour celui qui demande d'atteindre un multiplicateur x24 dès le premier stage, qui réclame d'énerver les ennemis de manière optimale.
                              Je ne vous conseillerais pas de l'acheter plein pot, mais en soldes comme moi (j'ai dû le prendre à 2,49 €...), franchement oui ça vaut le coup. Il est sympa à jouer normalement, et le potentiel de scoring n'est pas négligeable.​

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                              • Mise à jour.

                                J'ai fini Super Donkey Kong sur Super Famicom.
                                Le premier point auquel on pense quand on évoque ce titre, c'est sa réalisation, son rendu pré-calculé qui tentait de montrer que les 16-Bits n'avaient pas encore dit leur dernier mot face à la génération qui pointait le bout de son nez.
                                On aime ou pas ce type de rendu, mais perso je trouve que Rare (spécialiste du genre) s'en est très bien sorti. C'est propre et l'animation n'en souffre pas trop.
                                Le déroulement rappellera Super Mario World (ou même le 3), avec des stages disposés sur une mappemonde, reliés par des pointillés. Au programme des stages en forêt, dans des temples, des cavernes, dans l'eau... et bien sûr des bosses. Les passages secrets sont très très très nombreux, entre les barils cachés et les parois destructibles, chaque stage est plus chargé qu'il n'y parait.
                                Deuxième point marquant, Donkey est rapidement rejoint par Diddy Kong pour former un duo interchangeable pour utiliser leurs points forts (essentiellement la puissance pour le premier, et le saut pour le second). En cas d'impact, on perd un personnage, mais il est possible de le récupérer via certains barils. Des montures spéciales, telles qu'un espadon ou un rhinocéros viendront compléter le tableau.
                                Globalement c'est indéniablement un excellent jeu de plateformes, l'un des meilleurs de la console, mais je ne suis pas particulièrement fan de l'univers, et le roll jump (possibilité de sauter alors qu'une roulade nous faisait chuter) m'a toujours interloqué.
                                À noter que si vous retournez le jeu totalement (ce sera mille fois plus simple qu'à l'époque avec tous les guides existants), vous arriverez au total étrange de 101%.​

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