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  • Phantasy Star II (Megadrive) 18.05.2025

    Par où commencer avec un tel monument : mieux vaut tard que jamais. Disons le tout de suite, j’ai été complètement transporté par ce rpg. Il fallait bien s’accrocher pour arriver au bout des donjons labyrinthiques mais quelle satisfaction ! (avec le taf et des tvx maison, je laissais passer parfois 10 à 15 jours entre deux parties).
    Je ne sais pas dire à quoi c’est lié précisément mais il y a un truc hyper addictif : gameplay, musique, scénario (des twists comparables à celui d’un grand film de S.F. avec Charlton Heston !!)
    J’ai pas de termes précis pour exprimer en détails mon ressenti mais je me souviendrai longtemps de cette expérience de jeu. La magie a opéré 35 ans après sa sortie

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    • Un grand jeu et pas simplement RPG qui a marqué son temps et qui et un des premiers RPG à populariser avec Emerald Dragon sur micros des séquences dramatiques. Le twist de fin est aussi particulièrement audacieux pour l’époque.

      J’espère pour toi que tu l’as fait avec des plans pour les donjons…

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      • Envoyé par msx33 Voir le message
        J’espère pour toi que tu l’as fait avec des plans pour les donjons…
        Oui sans quoi ça aurait été 90 heures de jeux ^^
        Je suis finalement resté avec Rudo, Anna et Kain (niveau 35-36) et je n’ai jamais réussi à récupérer le fameux visiphone.

        C’est marrant que tu parles de jeux micro jap car j’aimerais bien me dégotter un pc-8801 pour me lancer dans sa ludothèque de folie : Sorcerian m’obsède parmi tant d’autres : https://m.youtube.com/@ProjectEGG/videos








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        • Tu t’adresses à la bonne personne.

          J’ai 2 PC-88 et quasiment tous les Falcom (tous les Dragon Slayers hormis le premier, Sorcerian c’est le V).

          Plein de très bons jeux d’aventures aussi en plus des RPG (d’Enix notamment).

          si tu comptes en prendre, attend toi à payer pas mal pour les fdp, car ça pèse ces bestiaux. Il te faudra aussi un moniteur analogue qui gère le 24 khz…
          Dernière modification par msx33, 19 mai 2025, 22h55.

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          • Que vaut le remake de Phantasy Star II sur PS2 ?

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            • Envoyé par msx33 Voir le message
              Il te faudra aussi un moniteur analogue qui gère le 24 khz…
              Mon frère avait fait venir en 2014 deux x68000. Le xpc-4 de micomsoft acheté dans la foulée devrait me permettre d’utiliser des moniteurs random de chez nous ?

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              • Pas joué à la version PS2 mais les échos étaient plutôt bons de mémoire.

                Pour le xpc-4, si tu en as un, c’est effectivement une solution :
                http://hiro-game.sakura.ne.jp/?p=46819

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                • Cool ! Merci pour les infos ainsi que le lien !

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                  • darby_crack : je vais créer ton sujet de palmarès.
                    Félicitation pour Phantasy Star II, c'est vraiment un monument. C'est cool si tu as pu l'apprécier après toutes ces décennies.

                    Le remake sur PS2 est très bon, tout comme l'était celui du premier épisode. On aura toujours les boules que celui du IV ne soit jamais sorti dans cette gamme (le III en revanche n'était pas prévu). Le point le plus important dans cette version est qu'on pouvait, via un processus très pénible, ressusciter Nei. Oui oui !
                    Je crois qu'Adol s'était embêté à le faire.

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                    • Voilà mise à jour et création du sujet dédié à darby_crack.

                      Au passage j'ai fini Under Defeat sur PS5. Pas senti la moindre différence avec la PS4, mais quand même merci au crossbuy.

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                      • The legend of Zelda : The Spirit Tracks. Nintendo DS 26/05/2025.
                        Après avoir fini Minish-Cap, j'avais très envie de me plonger dans d'autres Zelda "next-gen" que je n'avais jamais fait. On m'avait prévenu ici même que la qualité baissait après cet opus, et je dois reconnaitre que vous aviez raison.

                        Du côté positif :
                        -La carte est grande.
                        -Certains nouveaux thèmes musicaux (dont le main thème) ne font pas tache parmi les grands morceaux de la saga. Le nouvel instrument (ici une flûte de pan) est bien mis en valeurs, et je pense que je les réécouterai à l'occasion.
                        -Les équipes de nintendo m'ont bluffé sur l'utilisation du stylet (souvent trop gadget à mon goût) Si l'utilisation (des armes notamment) est un peu difficile pour le dyspraxique que je suis, avec de l'entrainement, on finit par maitriser la chose, et les donjons deviennent de véritable casse-tête. C'est dernier sont parfois vraiment originaux - même pour la saga -, dans ce nouveau tandem que l'on forme avec la princesse Zelda spectral, qui peut par moment s'incarner dans vos ennemis pour vous porter, détruire des obstacles, actionner des leviers à distance, etc.
                        - j'ai beaucoup aimé cette relation de complicité tendre avec la princesse Zelda, très juste dans son ton, avec, par moment, des touches d'humour franchement bienvenu.
                        - Certaine quête, même si (très) généralement basé sur le même principe (quête fedex, de garde du corps le long du rail), sont occasionnellement bien amener, avec de vrai challenge parfois.
                        -Si le cel-shading n'est clairement pas aussi beau que Wind Waker ( la DS fait de son mieux), j'ai apprécié le design général, des tampons qu'il faut collectionner, aux illustrations de fin.

                        Du coté négatif :
                        - la map est grande, mais c'est quand même assez vide. De long (long...) couloir de raille, qui ne nous laisse en réalité pas vraiment de liberté d'action. On apprécie les environnements différents, mais concrètement pas si varier que ça, et ne changeant pas réellement le gameplay.
                        - un scénario (même si ce n'est pas central dans un Zelda) tout de même pas terrible, très réchauffé, avec des méchants qui manquent de charisme.
                        - des mini quête qui, certes, vous récompense vraiment (on obtient des cœurs entiers à la place de quart de cœur), mais ça ne comble pas leur répétitivité, et leur faible nombre. Les villages sont vides, je trouve. Ça manque de vie, d'à côté...
                        - d'un côté, on a enfin un Zelda qui nous propose de faire quelques chose de notre argent (il y a toujours des objets très chers à acheter pour échanger des trucs), mais l'essentiel va dans la customisation de notre train, qui est… purement cosmétique ou presque. Idem pour les tenues de link.
                        - Et du coup, bha, pas mal de quête (dont la lonnnnnngue quête des lapins a capturé au filet le long des rails) sont là uniquement pour nous obliger à faire de long allez-retour, et augmenter artificiellement la durée de vie du jeu, dont on ferait assez vite le tour autrement.
                        - l'idée de jouer la flutte de pan au Stylo et au micro, comme si on soufflait vraiment dedans, c'est stylé, mais quel enfer sur certaine partition un peu complexe, presque aussi nul que les cris de loups de Twilight Princess. Rendez-nous l'ocarina, on a jamais fait mieux !

                        Un jeu loin d'être mauvais, et qui met à l'honneur toutes les particularités (stylet, micro...) de la DS. Je sais bien qu'il est très difficile de garder le niveau de qualité d'une saga aussi longue et prolifique que Zelda, mais du coup, je sais que je ne reviendrai jamais sur ce jeu.

                        Ceci étant dit, je vais quand même laisser sa chance à Phantom Hourglass.
                        Dernière modification par megaman, 26 mai 2025, 18h14.

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                        • Mise à jour pour megaman.

                          J'ai fini Dino Crisis sur Dreamcast.
                          Même constat qu'à l'époque, je n'accroche pas du tout à l'univers. Des dinosaures ne peuvent pas procurer autant d'effet que des zombies/monstres/créatures informes... pour installer une bonne ambiance de survival horror. La seule peur qu'on peut ressentir est celle de voir son personnage mourir (comme dans n'importe quel jeu donc) vu que les ennemis sont coriaces et brutaux. Le jeu met pas mal l'accent sur le fait de perdre du sang suite aux blessures, d'où la présence "abondante" d'objets hémostatiques.
                          Point intéressant, le mélange d'objets, pour créer des soins plus puissants essentiellement, ou des fléchettes soporifiques voire empoisonnées (qui tuent en un coup !).
                          Fausse bonne idée : les trois types de boites pour stocker. Sans doute pour se démarquer du grand-frère Resident Evil qui faisait transiter tous les objets stockés via un seul réseau de coffres, on se retrouve ici avec trois couleurs distinctes de boitiers d'urgence, aux contenus variables (vert = principalement des objets curatifs ; rouge = principalement des munitions ; jaune, plus rare = un mix des deux), qu'on doit au préalable déverrouiller avec un certain nombre de prises à insérer ; évidemment plus on nous demande de prises, plus le contenu sera intéressant. Fausse bonne idée car cela complique inutilement le concept, et en début de partie la meilleure chose à faire sera à la limite de choisir une couleur, de ranger dedans tout ce qu'on a trouvé jusqu'ici, et de s'y tenir au maximum, car on n'aura vraisemblablement pas assez de prises pour tout ouvrir.
                          Non perso le seul point que j'apprécie dans ce jeu, ce sont les énigmes, plus amusantes car plus axées sur la logique, plus sous forme de mini-jeux, que dans les autres survival horror. Ah si il y a aussi le fait qu'à plusieurs reprises on doive choisir entre les propositions des deux personnages qui accompagnent l'héroïne, soit pour passer en force (ce qui est souvent une mauvaise idée vu la résistance des ennemis) ou en finesse.
                          Mais cela ne peut pas suffire à le sauver à mes yeux. Il se fait tellement enterrer par d'autres jeux du genre que cela ne m'a toujours pas envie de jouer aux suites.​

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                          • Mise à jour.

                            J'ai fini Gun-Dec (Vice: Project Doom en occident) sur Famicom.
                            Excellent jeu d'action, qui propose une bonne dizaine de stages aux phases variées. Alors principalement, ce sera du plateformes/action en vue latérale, à la Castlevania, TMNT, etc. mais on aura aussi des séquences en voiture (vue du dessus cette fois) façon shmup, ainsi que du tir à la première personne comme on trouvait dans Operation Wolf. Donc on ne s'ennuie pas une seconde !
                            Techniquement la réalisation est au rendez-vous, quelle que soit la séquence, et les illustrations narratives entre chaque stage sont réussies.
                            Le héros (qui a été visiblement calqué sur Bruce Willis) dispose de trois armes qu'on peut changer à tout moment : une sorte de fouet laser, un flingue et des grenades. Ces deux dernières sont à munitions limitées, mais les ennemis lâchent fréquemment des munitions donc on peut se faire plaisir.
                            J'ai passé un très bon moment sur cette cartouche. Je recommande vivement.

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                            • Il est dans ma wish-list celui-ci
                              le paradoxe féminin

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                              • Mise à jour.

                                J'ai fini Ikari no Yôsai sur GameBoy, un jeu qui rappelle Metal Gear par son univers militaire et son exploration pièce par pièce en vue de dessus.
                                Assez curieusement, on a deux personnages à disposition : un homme et une femme, qui se distinguent par leur capacité secondaire. Et c'est là où je trouve que c'est curieux, car la femme, pour son saut, ne va être réellement utile que sur une quantité infime du terrain tant les pièges au sol sont peu nombreux. L'homme, avec ses armes optionnelles (triple tir, lance-flamme, etc.) sera largement plus rentable tout au long de l'aventure.
                                L'ensemble de la base ennemie est découpée en quatre stages, avec des bosses énormes au bout.
                                Le jeu n'est pas spécialement difficile, hormis les quelques soucis de collisions.
                                Pas mal mais sans plus.

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