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  • Envoyé par Shû Shirakawa Voir le message
    Mise à jour.

    J'ai fini Ikari no Yôsai sur GameBoy, un jeu qui rappelle Metal Gear par son univers militaire et son exploration pièce par pièce en vue de dessus.
    .
    En lisant ta description, je me suis dit je connais ce jeu . Effectivement c'est Fortifiad Zone en Europe.
    J'aime bien le style aussi, je suis arrivé au niveau 2, faut que je me motive à y rejouer.

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    • Tout à fait, c'est Fortified Zone en occident. Tu verras il n'est pas très long.

      Mise à jour.

      J'ai fini Kuru Kuru Kururin, un jeu atypique qui faisait partie du line-up de la GameBoy Advance.
      Pourquoi atypique ? parce que son principe est de guider une sorte de bâton qui tourne sur lui-même à travers divers labyrinthes plus ou moins complexes. Idéalement il faut aller vite, et ne toucher aucun mur puisque chaque impact occasionne trois secondes de pénalité et la perte d'un coeur (sur trois), même si la "santé" n'est pas un vrai problème puisqu'au moins une station de recharge est disponible dans chaque stage.
      Quand j'y ai joué, j'ai repensé à Cameltry sur Super Famicom, où on retrouvait un peu ce principe, mais à l'envers : on faisait pivoter non pas la boule mais tout le décor, on perdait du temps au lieu d'en ajouter, etc.
      La grosse difficulté réside dans la largeur du "bâton", et l'adaptation de la rotation (qu'on peut inverser en touchant des ressorts) pour franchir certains passages serrés ou tordus. C'est donc avant tout un jeu de précision, qui ne mettait pas vraiment les capacités de la console en avant, mais qui sortait des sentiers battus.​

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      • Mise à jour.

        J'ai fini Golden Axe II sur Mega Drive.
        Alors autant j'ai fini un nombre incalculable de fois le premier épisode qui il faut dire, était sorti sur de nombreux supports, autant sa suite, très peu.
        Du coup j'ai quasiment redécouvert, avec plaisir, tout le jeu.
        La réalisation est dans la lignée du premier, on trouve immédiatement ses marques puisque les trois personnages sont les mêmes (les sprites ont quand même été redessinés, ce n'est pas de l'import de fainéant), ainsi que le gameplay : palette de coups, magies, possibilité d'utiliser une monture (toutes nouvelles), stages bonus...
        Dans l'ensemble je l'ai trouvé assez facile, même si les ennemis passent leur temps à "dasher" dès qu'ils sont éloignés. Comme dans le précédent, réussir à conserver une monture aide grandement à progresser. Dès qu'il y a un fossé il faut l'exploiter pour tuer les ennemis instantanément, et c'est là qu'on voit que l'IA est à la rue, car non seulement elle n'évite pas se trouver en face, mais en se dirigeant vers le joueur elle peut carrément tomber toute seule dedans.
        Le boss de fin peut en revanche poser problème, car il invoque sans arrêt des squelettes et se permet de lancer des gros sorts ! Il faut donc constamment maintenir la pression pour l'en empêcher.
        Content d'être revenu dessus.

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        • C'est un portage de The Revenge of Death Adder arcade ou un jeu exclusif à la MD ? J'ai check vite fait Google et je ne trouve pas la réponse.
          le paradoxe féminin

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          • Je réponds vu que j’ai la réponse : c’est une version exclusive à la MD sortie au passage 1 an avant Revenge of Death Adder (91 pour la MD, et 92 en arcade sur system 32).

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            • Merci pour la précision
              le paradoxe féminin

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              • Revenge of Death Adder me faisait toujours baver quand je le croisais en salle.

                Mise à jour.

                J'ai fini Puzzle Bobble sur Neo·Geo.
                Quand le jeu est sorti en arcade, j'y jouais sans arrêt (merci au bar à côté du lycée). J'ai immédiatement été séduit par le principe de ce puzzle game qui se place dans l'univers de Bubble Bobble, où l'on doit agglomérer des bulles de même couleur au minimum par trois, pour les faire disparaitre et chuter tout ce qui était situé dessous. Par contre comme à chaque fois que je retourne sur ce premier épisode, je peste contre les bulles qui ont tendance à s'accrocher trop facilement aux autres, ce qui limite les trajectoires osées. C'est principalement pour cette raison que je préfère largement rejouer aux épisodes suivants.
                On peut également regretter que les stages soient aussi peu variés en terme de décors.
                Dans l'absolu un très bon jeu, mais rien que sur ce support, orientez-vous plutôt sur le 2.​

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                • Mise à jour.

                  J'ai fini Street Fighter Zero​ sur PS.
                  Bon portage du jeu d'arcade. Sur ce support on aurait pu craindre des temps de chargement indigestes mais non, les programmeurs s'en sont bien sortis.
                  Comme son titre l'indique, cet épisode permet de retourner à la jeunesse des personnages de Street Fighter II, et au passage d'en glisser d'autres de Final Fight.
                  Ce renouveau apportait un nouveau moteur graphique typé dessin-animé, dans la lignée des Vampire et autres X-Men, et un gameplay enrichi par les chain combos, les zero counters, une barre de super répartie sur trois niveaux, etc.
                  Plaisant d'y rejouer, même si objectivement les suites sont largement meilleures.

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                  • - Xenoblade Chronicles 3 (Switch) 23.06.2025

                    Quel jeu fabuleux ! Le meilleur des 3 avec un scénario et surtout des personnages extrêmement bien travaillés.
                    J'ai dû y passer 130h au pif, et après avoir eu les yeux bien mouillés sur la cinématique de fin, je suis sur la fin du jeu post-crédits.
                    Pas le temps de vous en dire plus je fonce sur les DLC juste après
                    le paradoxe féminin

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                    • Mieux que le 1er en son temps ?
                      je demande à voir…
                      Tu le classes combien le 1er du coup ?
                      J’avais renoncé au 2 à cause de ses mauvaises critiques, j’ai raté quelque chose ?

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                      • Le 1 avait été une claque phénoménale à l'époque, je l'ai refait l'année dernière et il est toujours top, c'est certain, mais je le mets quand même en 2ème position.
                        Le 3 c'est la quintessence de Xenoblade, rien que pour les missions par exemple, fini les je-ne-sais-combien de chasses aux monstres plus ennuyeuses les unes que les autres. Les systèmes de jeu sont plus simples à prendre en compte, surtout après le 2 qui possède trop de couches de gameplay. Et le scénario est vraiment excellent.
                        J'avoue que c'est celui que je viens de finir donc c'est forcément plus frais aujourd'hui.
                        J'ai adoré le 2 pour les personnages (excepté le héros), mais y' a des trucs un peu cringe quelques fois (genre gros plan sur les pieds d'une héroïne, une poitrine,...). Ça reste un excellent jeu et un excellent Xeno, à faire si tu aimes.
                        le paradoxe féminin

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                        • Mise à jour pour Amano.

                          Pour ma part, j'ai fini Star Hunter DX sur PS4 en un crédit.
                          Dans un premier temps je n'étais pas emballé par ce shmup horizontal à cause de sa direction artistique plus que moyenne, mais son gameplay rattrape le tout. Le jeu n'invente rien question tirs, motifs, mécanique de cancel... mais le plaisir est là. Les trois vaisseaux sont très différents et ont chacun leurs avantages et inconvénients, question survie et scoring.
                          Cinq stages à la difficulté progressive, puis le boss final en guise de sixième.
                          Ah si, il y a une originalité : on a souvent vu des true last bosses, qu'on débloque selon certaines conditions ; ici chacun des bosses possède une seconde forme, plus petite et énervée façon TLB, qu'on peut affronter si on détruit chaque partie via le mode ralenti.
                          Je le recommande à tous les amateurs du genre, surtout qu'il n'est pas très cher de base : 8.99 €.​

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                          • Envoyé par Amano J Voir le message
                            Le 1 avait été une claque phénoménale à l'époque, je l'ai refait l'année dernière et il est toujours top, c'est certain, mais je le mets quand même en 2ème position.
                            Le 3 c'est la quintessence de Xenoblade, rien que pour les missions par exemple, fini les je-ne-sais-combien de chasses aux monstres plus ennuyeuses les unes que les autres. Les systèmes de jeu sont plus simples à prendre en compte, surtout après le 2 qui possède trop de couches de gameplay. Et le scénario est vraiment excellent.
                            J'avoue que c'est celui que je viens de finir donc c'est forcément plus frais aujourd'hui.
                            J'ai adoré le 2 pour les personnages (excepté le héros), mais y' a des trucs un peu cringe quelques fois (genre gros plan sur les pieds d'une héroïne, une poitrine,...). Ça reste un excellent jeu et un excellent Xeno, à faire si tu aimes.
                            Merci du retour.

                            je sauterai probablement le 2 pour faire directement le 3 je pense.

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                            • Mise à jour.

                              J'ai fini Ghost of Tsushima sur PS4, en environ 55 heures, le temps de tout faire, et Dieu sait qu'il y en a, des choses à faire.
                              Encore un jeu fondamentalement excellent, mais qui se noie dans les quêtes annexes et les collectibles.
                              Je comprends pourquoi tant de monde considère que le vrai Assassin's Creed qui se déroule au Japon, c'est en réalité ce Ghost of Tsushima et non AC Shadows : assassinat (ce point est d'ailleurs très bien traité car le héros, un pur samouraï, doit aller contre les principes du bushido et accepter que cette action est certes lâche, mais indispensable dans certaines situations ; c'est un vrai cas de conscience), découverte progressive de la carte, beauuuuuuuuuuucoup d'escalade, d'infiltration, d'espionnage... on s'y croirait.
                              Le scénario du jeu est fondé sur un vrai fait historique : l'invasion mongole sur l'île de Tsushima. Totalement impuissant au début, le héros, Jin Sakai, va devoir parcourir les trois parties de l'île pour secourir ce qui reste de sa famille, libérer les zones envahies, solliciter des alliés, et progressivement forger sa légende du fantôme de Tsushima pour redonner espoir au peuple.
                              En chemin on trouvera plusieurs armures aux bonus différents, armes secondaires (on gardera en revanche les mêmes sabres tout du long, mais on pourra les améliorer et personnaliser leurs apparences), et des tonnes d'activités annexes pour gonfler sa barre de santé, ses points de détermination, gagner des talismans, etc. Mention spéciale aux haïkus, qu'on peut composer librement (toutes les associations de phrases proposées fonctionnent, on n'aura pas besoin d'un guide), très original d'intégrer cette touche de poésie typique dans un jeu de ce genre.
                              Quelques séquences d'enquête sont présentes, mais les indices ne sont pas toujours aisés à repérer, et ce qui est frustrant, c'est quand on trouve directement les traces de pas menant aux ennemis, mais impossibles à suivre tant que tout le reste n'a pas été trouvé.
                              Question combat c'est très complet avec de la garde, des esquives, des parades... et surtout des postures bien distinctes qui seront efficaces contre tel ou tel type d'ennemi. Après personnellement j'ai une préférence pour celle de la Lune, avec les coups de pied qui fracassent les jauges de garde en deux deux. Je trouve la difficulté très bien dosée car on ne peut pas foncer dans le tas, mais on ne doit pas non plus être oméga prudent contre le premier larbin venu. Le danger vient surtout du fait que les ennemis sont toujours très nombreux. Ah d'ailleurs là encore une idée sympa, on peut parfois, en ouverture d'hostilité, déclencher une confrontation qui avec le bon timing, permet de tuer instantanément jusqu'à cinq ennemis à la chaîne.
                              Les affrontements les plus importants (contre les bosses ou lors d'une quête précise) se dérouleront sous forme de duel au sabre (donc impossible d'utiliser l'arc ou les armes de jet) avec des plans cinématographiques inspirés des meilleurs chambara, parfait pour installer l'ambiance.
                              Globalement, en amoureux de ce type d'univers, j'ai adoré. Cela fleure bon le Japon féodal, autant qu'un Samurai Spirits ou un Oboro Muramasa. En revanche vous l'aurez compris, c'est une fois de plus le syndrome Ubisoft, avec des points d'intérêt dans tous les sens, ce qui rend l'expérience trop répétitive, à force de dénicher les terriers de renard, les sanctuaires shinto, les bambous d'entraînement, les ressources pour améliorer l'équipement (là par contre en se débrouillant bien on peut tout monter au max, ce que j'apprécie toujours ; je déteste avoir à choisir entre deux builds puisque le jeu n'offre volontairement pas assez), la monotonie s'installe forcément un minimum.
                              Malgré tout, ayant profité des soldes pour acheter la mise à jour en Director's Cut, j'ai eu la motivation de boucler le DLC consacré à l'ïle d'Iki qui mine de rien dure une dizaine d'heures et permet d'en savoir plus sur le père du héros, tout en acquérant de nouveaux équipements utilisables pour l'histoire sur Tsushima. Un complément qui vaut le coup mais je recommande de s'y attaquer sur le tard, autrement dit quand on est un tant soit peu armé, à l'aise avec le jeu, car la difficulté y est plus importante : les ennemis sont plus agressifs, plus résistants à cause des shamans qui renforcent leur défense, et le boss principal de ce chapitre supplémentaire est en ce qui me concerne le plus dangereux.
                              Je fais le new game + en ligne droite (puisqu'on conserve tout sauf ses ressources), je jetterai vite fait un oeil au mode légendes (du moins ce qui est peut-être faisable offline puisque c'est avant tout un mode en ligne) et après je range le disque.^^

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                              • Fait sur PS4 à l’époque et je l’avais trouvé au final hyper répétitif avec toutes ses quêtes et son gameplaypas très intéressant à jouer, ses décors cartons pâtes faisant un peu « estampes artificielles vu par des occidentaux ».

                                Le fait aussi que les PNJ aient tous l’accent de Tokyo rend aussi l’immersion difficile. Avoir fait ça enchainé juste après Sekiro (qui était déjà une mini déception) n’a pas aidé.

                                Après le contexte historique où se passe le jeu est une bonne idée et est plutôt bien amené.

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