Akumajou Densetsu est un véritable bijoux que je place devant le Akumajou de la SFC car plus complet pour moi (3 persos avec un gameplay intéressant pour Sylpha je trouve), une superbe ost et ambiance aussi. À faire en jap pour jouer avec les musiques de la puce sonore comme Contra où des animations/cutscenes ont été retirées en occident.
Ce bijou comme tu dis a vu naître mon thème préféré de toute la saga, et ce n’est pas rien.... Aquarius !
Ah quand même !
Superbe thème je reconnais mais je préfère Beginning je crois (reprise au passage dans le stage 4 de Dracula X PCE) : https://youtu.be/ptgaCJSF7j8
De toute la saga le choix est très dur mais je pense que Bloody Tears dans la version de Simon Quest et la piste qui m’a le plus marquée.
Je l’adore, il est sous-côté ce jeu, quelle ambiance.
Tout l’OST est merveilleux, et petite anecdote, quand j’étais gamin je baissais le volume à fond de la musique des passwords tellement elle me faisait flipper, true story
J'ai fini Mass Effect 2 sur PS3.
On ressent les gros progrès pour ce qui est des combats, malgré la rigidité du personnage. Je trouve que par exemple, rien que se mettre à couvert est plus intuitif/réactif que dans le premier, et comme c'est primordial, surtout dans les difficultés avancées, c'est heureux qu'ils aient amélioré ce genre de fonction.
L'histoire comporte moins de surprises, sauf le début qui est bien pensé pour faire un gros reset des pouvoirs et ce malgré la possibilité d'importer sa sauvegarde du premier épisode. Alors bien sûr on peut crier au vol, mais quand on sait que les ennemis se calent par rapport au niveau du joueur, cela aurait signifié une difficulté maximale dès les premières escarmouches. D'ailleurs tout le monde déconseille de jouer au new game+ (avec une sauvegarde de Mass Effect 2 donc, pas du premier) car là on se prend le phénomène en pleine poire, ce qui en a découragé plus d'un. Non le vrai intérêt de charger sa sauvegarde avant de commencer, c'est qu'elle inclura tous les choix qui ont eu lieu précédemment, qui est mort, si on était plutôt conciliant ou pragmatique, etc. Et comme c'est surtout cela qui fait le sel de Mass Effect, dans son vaste univers, on s'en fiche de perdre (presque) tous les acquis de son personnage niveau 60.
Dans cet épisode l'intrigue avance bien, on sent que les Moissonneurs ne sont plus bien loin et qu'ils continuent de manoeuvrer dans l'ombre. Pour contrer les actions de leurs serviteurs, on doit recruter une équipe de choc, y compris des anciens membres (tous ne pourront malheureusement pas être dans le commando mais on les reverra, si du moins ils ont survécu au cours de votre partie), et également de préférence gagner leurs loyautés respectives via des quêtes secondaires dédiées. C'est très important de les faire, déjà parce que cela débloque chez eux une aptitude particulière (parfois bien craquée), mais aussi parce que c'est majoritairement ce qui leur donnera une chance de survivre à la mission finale (même si cela ne donne pas 100% de garantie, il reste toujours une chance qu'un personnage meure ; j'en avais d'ailleurs fait les frais quand j'y avais joué sur Xbox 360).
J'ai fait tout ce qui était possible en une seule partie. Là je recommence en mode démentiel, pour l'instant c'est un peu chaud (on est très fragile, et les ennemis plus nombreux/résistants) mais je m'en sors. Faut prendre son temps, quoi, bien se débarrasser des boucliers/barrières/armures ennemies avant de vraiment commencer à sortir les flingues pour une meilleure efficacité, et espérer que ses équipiers ne fassent pas n'importe quoi.
Un monument du jeu de baston sur Neo Geo (et du jeu de baston tout court d'ailleurs !) pour commencer avec ce sublime KoF 98.
Déjà, son roster complètement craqué impressionne avec 38 persos (sans compter les versions alternatives)+ 4 boss cachés. La team USA fait son grand retour, ainsi que Heidern, Takuma, etc. L'intégralité des persos a un charisme fou, une habitude avec les jeux de baston SNK !
S'il ne représente pas un jump énorme sur le plan graphique et technique par rapport aux KoF précédents, KoF 98 propose un ensemble plus harmonieux, un tout parfaitement cohérent, avec des sprites redessinés et certains stages superbes (mes préférences vont pour ceux de la jonque en Chine, du petit port de plaisance en Corée, et de l'Alhambra à Grenade). S'agissant des stages, j'ai malgré tout une préférence pour ceux de l'épisode 95, qui offrent les décors les plus réussis de la série toute entière selon moi (Mountains, Oil Refinery, Thunderstorm, etc). La bande-son est comme toujours excellente, avec des thèmes récurrents retouchés et des digits vocales remises au goût du jour.
Le soft est irréprochable niveau gameplay, avec 2 styles de jeu bien distincts (grooves Advanced & Extra) puisantdu côté de KoF 97 et KoF 95. Certains rééquilibrages ont été opérés, avec des choppeurs toujours aussi punitifs mais s'exposant à un contre s'ils ratent leur choppe (Ralf par exemple) et d'autres persos totalement pétés (Terry, Athena, etc... et Rugal of course !).
Plus simple d'accès et plus permissif qu'un Third Strike, KoF 98 dispose d'une profondeur folle et d'une durée de vie quasi infinie. Ce n'est pas une coïncidence s'il continue à être joué à haut niveau plus de 20 ans après sa sortie... Objectivement, le meilleur KoF disponible sur Neo Geo.
Au rang des comparaisons, difficile de départager KoF 98 et Markof,même si j'avoue avoir un petit faible pour ce dernier (notamment pourB. Jenet).
Note :19/20
Double Dragon (Neo Geo) 16.05.21
Technos ressort sa licence à succès sur Neo Geo mais opte bizarrement pour un VS Fighting à la place d'un beat them up, pourtant un genre sur lequel la concurrence est moins rude sur laRolls...
Adaptation d'un nanar sorti en 1994 (avec Alyssa Milano svp), Double Dragon est donc à classer dans la même catégorie queStreet Fighter : The Movie... Un JV tiré d'un film adapté d'un JV (!!!).
Techniquement, le jeu est propre avec des zooms assez impressionnants, pas mal d'éléments destructibles et des introductions de personnages en début de stage bien spectaculaires et badass (Billy qui fonce dans son espèce de Doloreanen tentant d'écraser son adversaire, Eddie carrément largué depuis un hélico, etc). Les stages sont inégaux avec des couleurs parfois assez criardes. Et le style graphique pourra déconcerter. En tout cas, DD assume à fond son côté kitsch ! On retrouvera même dans certains stages en arrière-plan des écrans diffusant qq mini-vidéos en slow motion tirées du film.
Le roster est composé de 10 combattants, dans la moyenne du genre donc. Beaucoup de shotodans le lot. Bonne idée à signaler, à l'écran de sélection des persos, vous pourrez trouver des manips pour réaliser (quelques) coups spéciaux spécifiques à chaque perso. Pas besoin donc de se plonger dans la notice ou dans un guide surGameFAQs.
Le gameplay est plutôt bien fichu avec un double saut, une garde aérienne, des charge moves et surtout la possibilité de se transformer en pseudo super saiyan (en appuyant sur les 4 boutons du stick A B C D), faisant office de contre et donnant accès à d'autres coups. Une feature qui rajoutedu piment aux combats et qui provoque de sacrés retournements de situation !
Dans l'absolu, ce Double Dragon n'est pas un mauvais jeu de baston mais il est à ranger dans la catégorie des seconds couteaux sur AES, au côté desFighter's History Dynamite (Karnov's Revenge),Fû'un Mokushiroku (Savage Reign) ou bien encore Matrimelee... Ce qui n'est déjà pas si mal en soi !
Note: 15/20
Twin Dragons (FC) 18.05.21
Suite à la vidéo d'Invakaiser (cf le lien à la fin), je me suis pris le Famicom Homebrew Starter Pack de chez Broke Studio,constitué de 4 jeux.
On commence tout naturellement par Twin Dragons, un jeu néo-rétro donc, un pur platformer à l'ancienne réalisé par une équipe de 3 personnes seulement (avec Antoine Gohin à sa tête).
Graphiquement, c'est très coloré mais les environnements sont assez dépouillés, un peu trop peut-être à mon goût. Un peu plus embêtant, on ne distingue pas toujours très bien les éléments du décors avec lesquels on peut interagir (certaines plateformes notamment, ou bien des pics de glace acérés qui vous coûtent des coeurs de vie).
La jouabilité est quasi parfaite, les commandes répondent au doigt et à l'œil. Le level design est particulièrement réussi. Le soft peut se parcourir tranquillement sans trop de prise de tête mais se prête bien au speedrun également. On incarne alternativement au cours des niveaux 2 petits dragons, Dinky qui peut nager et balancer des boules de feu dévastatrices; et Minky, qui peut voler et aussi freezer momentanément les ennemis en leur envoyant des boules de glace. Dans le dernier tiers du jeu, on pourra même switcher en plein niveau d'un dragon à un autre. Même si j'aurais souhaité une coopération encore plus poussée entre les 2 dragons.
Les musiques constituent un des gros points forts de la cartouche, très travaillées et ultra typées 8-bits, avec des boucles assez courtes mais que vous risquez de fredonner un bon moment !
Le jeu prend une autre dimension dès que l'on récupère Minky et que l'on arpente les niveaux aériens vraiment super bien conçus. J'ai beaucoup aimé les boss également, qui possèdent des patterns fort bien pensés (mention spéciale pour le boss final du jeu, très original et mettant vraiment pour le coup à profit la coopération entre Dinky et Minky).
Relativement long à finir (comptez 2 voire 3 bonnes heures) et disposant d'un système de passwords, j'ai trouvé ce Twin Dragons un peu trop facile (en mode normal du moins), surtout si vous disposez des armes secondaires.
Il ne révolutionne pas le genre et les environnements sont d'un classicisme religieux (monde aquatique, glace, feu, etc) mais tout ce qu'il propose, il le fait extrêmement bien. Et il transpire la passion des développeurs pour la NES/Famicom !
Fini en NORMAL. J'ai testé les autres modes de difficulté et je crois que ça influe juste sur le nombre de points de vie qu'on a. Jusqu'au mode BADASS, qui se débloque après avoir fini le jeu et où on a pas le droit à l'erreur.
Comme je disais la dernière fois, c'est un mélange d'un grand nombre d'influences stylées autour d'un gameplay et d'un pixel art solides. On est obligé de faire attention dans les derniers niveaux. Les phases de jeu entre chaque checkpoint sont assez courtes donc toute l'action est basée sur la manière dont vous allez les passer. Il faut être tantôt dynamique, tantôt précis et il n'y a pas de limite de temps. Il faut travailler les niveaux pour éventuellement tenter le 100% qui consiste à one-lifer chaque segment en trouvant les 3 malettes et en tuant tous les ennemis. Je vais tenter de le faire, petit à petit, a l'occasion. Les combats de boss étaient franchement plaisants, il n'y a rien d'insurmontable, mais il y aura un peu de die & retry à chaque fois (les vies sont infinies). Les paterns sont plutôt faciles à éviter dans l'absolu mais il faut rester en mouvement et on ne pas bourrer les tirs, ce qui donne un très bon compromis. En plus, on peut jouer à 2, ce qui peut être intéressant dans des modes de difficulté élevés. Et j'ai vu pas mal de passages qui avaient l'air prévus pour être faits en duo. Franchement, je le conseille fortement. Le travail des développeurs mérite largement votre argent. La proposition vaut vraiment le détour, c'est pas du tout un jeu indépendant à la con.
Cette fois tu parcours la contrée en Transylvanie et il y a l'aspect RPG du jeu avec des passages franchement..... merci la hotline Nintendo de l'époque.
Je le préfère au III (joué sur le tard), après le IV c'est le chef-d'oeuvre ultime.
Y en a eu un autre entre temps que j'ai pas fait (vampire's kiss) mais qui a l'air terrible puis le fameux SOTN sur PS1 (ça c'était mon impression de l'époque).
A 160F j'ai eu le setiment d'avoir acheté un jeu de merde
Mais j'ai aimé faire le Rondo Of Blood sur SCD-rom2 même si pour moi cette série s'arrête au IV
Cette fois tu parcours la contrée en Transylvanie et il y a l'aspect RPG du jeu avec des passages franchement..... merci la hotline Nintendo de l'époque.
Je le préfère au III (joué sur le tard), après le IV c'est le chef-d'oeuvre ultime.
Y en a eu un autre entre temps que j'ai pas fait (vampire's kiss) mais qui a l'air terrible puis le fameux SOTN sur PS1 (ça c'était mon impression de l'époque).
A 160F j'ai eu le setiment d'avoir acheté un jeu de merde
Mais j'ai aimé faire le Rondo Of Blood sur SCD-rom2 même si pour moi cette série s'arrête au IV
Cette série s’arrête au 4 tu vas trop loin
Après le 4 il y a eu du très lourd mon gars ! Akumajo Dracula X68000, Chi No Rondo PCE CD que tu as cité, Vampire Killer MD, SOTN évidemment puis les 6 opus GBA / DS ! Et là je ne cite que mes préférés il y en a eu d’autres !
Par contre dans les opus non-Metroidvania, je suis comme toi, mon opus fétiche c’est le 4, chef-d’œuvre intemporel
Je mettrai le Rondo Of Blood devant de mon côté en première position.
Dracula XX/Vampire Kiss est un ersatz assez médiocre et peu inspiré de ce jeu au passage (mais reste un bon jeu dans l’absolu).
J'ai fini Anubis: Zone of the Enders sur Xbox 360.
Comme quoi j'ai bien d'y rejouer sur ce support, je n'arrêtais pas de me demander si j'allais craquer pour le reprendre sur PS4 (il ne coute pas grand chose, même en boite), parce que les défauts m'ont plus sauté aux yeux que lors de mes précédentes parties. Là j'étais en mode pépère (déjà platiné sur PS3, donc je sais à quel point certaines séquences sont cauchemardesques à réussir proprement), et entre l'action parfois brouillonne (j'en avais déjà parlé à l'époque) et la caméra qui fait n'importe quoi, on est souvent pas aidé.
Le pire c'est que j'ai toujours énormément apprécié ce jeu, pour son ambiance, pour la qualité du mecha-design, mais certaines idées de situations sont meilleures sur le papier qu'en live :
- quand on doit pirater l'orbital frame de Ken sans la tuer, pour Dieu sait quelle raison on choppe le timing immédiatement pour le premier coup, mais pour les suivants comme par hasard c'est trop tôt (donc on la blesse), ou trop tard (on prend des dégâts) ;
- quand on affronte l'IA de Viola et qu'on doit se protéger en choppant des boucliers dans le décor, là on maudit tellement la caméra. C'est tout bête ce qu'on doit faire, mais cela devient infernal parce qu'on reste obligatoirement en visée sur elle ;
- quand on doit nous guider au milieu d'un champ de mine, là encore cela pourrait être pas mal, faut pas se presser, bien écouter les conseils de direction... mais c'est beaucoup trop long, et l'itinéraire n'a en réalité ni queue ni tête.
Bref, je ne sais pas si la version PS4 corrige ce qu'elle peut, mais c'est dommage qu'un jeu aussi stylé soit un peu gâché par ce que je viens d'évoquer.
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