24/05/2021 Landstalker (megadrive).
Je crois que j'ai passé trop de temps sur les jeux xbox 360 et one, je n'ai plus du tout l'habitude de la difficulté des jeux " à l'ancienne".
Action-adventure (avec un soupçon de RPG et des énigmes) dans un monde coloré et affichant fièrement ses sprites, Landstalker était un des fer de lance de la megadrive, tout en étant intégralement traduit en français, chose rare pour l'époque.
En soit le jeu n'est pas si difficile, ont bénéficie de continue sous la forme d'une herbe qu'on peut avoir en quantité, et on trouve un peut partout des cœur qui augmente le nombre de coups qu'on peut recevoir avant de mourir, sans compter les potions. La difficulté vient plutôt du level design et de la programmation du jeu en "fausse 3D", donnant un effet de profondeur aux éléments du jeu. Concrètement, vous voyez à longueur de temps des plateformes par exemple, sans pouvoir apprécier vraiment la distance qui vous sépare d'elles, et leurs angles exacts. S’ensuit des phase de gameplay crispant au possible, sachant que les donjons se font un malin plaisir de vous faire recommencer la moitié du donjon si vous vous loupez...
Finis en 25H00 et des poussières ( probablement 10H00 de plus, avec tous les essais infructueux...), l’inventaire des armes au complet et 90% des cœurs. Un vrai challenge ce jeu, même si il accuse un peu son âge, ses (nombreuses) erreurs de traduction, et des (petits) bugs à foison. Je suis content d'avoir su dépasser ma dyspraxie ( j'ai faillit laisser tomber le jeu à plusieurs reprises, tant j'ai pesté sur certains passages qui demande une exécution parfaite) et d'en être venu à bout. Mais je n'y reviendrais jamais, il y a des limites au masochisme
Je crois que j'ai passé trop de temps sur les jeux xbox 360 et one, je n'ai plus du tout l'habitude de la difficulté des jeux " à l'ancienne".
Action-adventure (avec un soupçon de RPG et des énigmes) dans un monde coloré et affichant fièrement ses sprites, Landstalker était un des fer de lance de la megadrive, tout en étant intégralement traduit en français, chose rare pour l'époque.
En soit le jeu n'est pas si difficile, ont bénéficie de continue sous la forme d'une herbe qu'on peut avoir en quantité, et on trouve un peut partout des cœur qui augmente le nombre de coups qu'on peut recevoir avant de mourir, sans compter les potions. La difficulté vient plutôt du level design et de la programmation du jeu en "fausse 3D", donnant un effet de profondeur aux éléments du jeu. Concrètement, vous voyez à longueur de temps des plateformes par exemple, sans pouvoir apprécier vraiment la distance qui vous sépare d'elles, et leurs angles exacts. S’ensuit des phase de gameplay crispant au possible, sachant que les donjons se font un malin plaisir de vous faire recommencer la moitié du donjon si vous vous loupez...
Finis en 25H00 et des poussières ( probablement 10H00 de plus, avec tous les essais infructueux...), l’inventaire des armes au complet et 90% des cœurs. Un vrai challenge ce jeu, même si il accuse un peu son âge, ses (nombreuses) erreurs de traduction, et des (petits) bugs à foison. Je suis content d'avoir su dépasser ma dyspraxie ( j'ai faillit laisser tomber le jeu à plusieurs reprises, tant j'ai pesté sur certains passages qui demande une exécution parfaite) et d'en être venu à bout. Mais je n'y reviendrais jamais, il y a des limites au masochisme

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