Mise à jour pour Adol.
Profitant des promotions sur le PS Store, j'ai acheté pour moins de 2 € Teslagrad Remastered sur PS4/5 (vive le cross-buy).
Comme la "remasterisation" reste légère, il s'agit surtout de changements dans les éclairages et autres effets lumineux, c'est pratiquement un copier-coller de l'original sorti sur PS3/4/Vita.
Mon avis de l'époque reste inchangé :
Un jeu assez poétique dans son genre, qui m'a rappelé plus d'une fois Child of Light, graphiquement parlant (même s'il n'égale pas ce dernier).
Savant mélange de réflexion et de plateformes, Teslagrad met en avant les principes magnétiques (attraction/répulsion) pour franchir les différents obstacles et progresser dans la tour. Au début on ne peut pas faire grand chose, on est très dépendant du décor (flux déjà en place, ennemis/fleurs qui polarisent momentanément) puis à la manière d'un Metroid, via certains accessoires, on aura plus de possibilités pour explorer. Je regrette un peu que le bâton serve si peu. On l'obtient juste avant le quatrième boss, il permet de détruire un mur pour récupérer un parchemin, et de vaincre boss final. Bref, pour disons à peine 5% du jeu. Bizarre de ne pas avoir placé davantage de parchemins ou salles bloquées à droite à gauche pour motiver encore plus à revenir sur ses pas.
J'ai assez aimé, mais comme je le disais dans un autre sujet, de trop nombreux passages seront beaucoup trop ardus pour les enfants. Et le pire c'est qu'ils surviennent tôt.
À signaler également pas mal d'approximations dans les collisions. Je les ai lourdement senties contre le deuxième boss (le seul qui m'ait "posé problème") quand on doit éviter ses ondes qui nous éjectent directement hors de la surface de combat (ah oui j'avais oublié de le dire, pas de barre de vie, pas de coeurs ou que sais-je, c'est mort instantanée dans ce jeu), je ne comprenais jamais pourquoi je passais au travers ou non, en déclenchant pourtant mes mouvements aux mêmes instants, ainsi que lors de la longue ascension vers la fin, quand on doit slalomer au milieu d'éclairs.
En bref, un jeu assez mignon (les quelques passages narratifs se déroulent façon théâtre de marionnettes), plutôt technique, qui aurait mérité quelques réglages supplémentaires, et une bande-son plus fournie.
Profitant des promotions sur le PS Store, j'ai acheté pour moins de 2 € Teslagrad Remastered sur PS4/5 (vive le cross-buy).
Comme la "remasterisation" reste légère, il s'agit surtout de changements dans les éclairages et autres effets lumineux, c'est pratiquement un copier-coller de l'original sorti sur PS3/4/Vita.
Mon avis de l'époque reste inchangé :
Un jeu assez poétique dans son genre, qui m'a rappelé plus d'une fois Child of Light, graphiquement parlant (même s'il n'égale pas ce dernier).
Savant mélange de réflexion et de plateformes, Teslagrad met en avant les principes magnétiques (attraction/répulsion) pour franchir les différents obstacles et progresser dans la tour. Au début on ne peut pas faire grand chose, on est très dépendant du décor (flux déjà en place, ennemis/fleurs qui polarisent momentanément) puis à la manière d'un Metroid, via certains accessoires, on aura plus de possibilités pour explorer. Je regrette un peu que le bâton serve si peu. On l'obtient juste avant le quatrième boss, il permet de détruire un mur pour récupérer un parchemin, et de vaincre boss final. Bref, pour disons à peine 5% du jeu. Bizarre de ne pas avoir placé davantage de parchemins ou salles bloquées à droite à gauche pour motiver encore plus à revenir sur ses pas.
J'ai assez aimé, mais comme je le disais dans un autre sujet, de trop nombreux passages seront beaucoup trop ardus pour les enfants. Et le pire c'est qu'ils surviennent tôt.
À signaler également pas mal d'approximations dans les collisions. Je les ai lourdement senties contre le deuxième boss (le seul qui m'ait "posé problème") quand on doit éviter ses ondes qui nous éjectent directement hors de la surface de combat (ah oui j'avais oublié de le dire, pas de barre de vie, pas de coeurs ou que sais-je, c'est mort instantanée dans ce jeu), je ne comprenais jamais pourquoi je passais au travers ou non, en déclenchant pourtant mes mouvements aux mêmes instants, ainsi que lors de la longue ascension vers la fin, quand on doit slalomer au milieu d'éclairs.
En bref, un jeu assez mignon (les quelques passages narratifs se déroulent façon théâtre de marionnettes), plutôt technique, qui aurait mérité quelques réglages supplémentaires, et une bande-son plus fournie.
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