Hum, je viens de réouvrir mon boitier et c'est difficile à dire. Y a des tout petits renforts à l'intérieur. Néanmoins ton switch a pas l'air plus épais que le connecteur. Je viens de me prendre 2 nouveaux boitiers tellement j'en suis satisfait; ça m'a fait 8.65£ fdpin. C'est pas la mer à boire, à toi de voir si tu veux tenter le coup.
Par-contre tu ne pourras plus y accéder facilement à ton switch, à moins de dévisser le boitier, le découper, etc.
Énorme, ça me rend nostalgique de la version megadrive, sur laquelle j avais campé un sacré bout de temps étant gamin. Je vais aller faire un tour sur YouTube moi
Attention, si la version megadrive porte le même nom que l'arcade, elle diffère sur pas mal de choses. Extrêmement bien réalisé, le jeu console est presque aussi bon dans la forme que l'arcade (voir mieux ?) si l'on excepte que seul le fond est identique. À part les persos, le principe et un stage, ça n'a rien à voir.
Le seul VRAI portage est la version master system qui essaye tant bien que mal à rester fidèle à l'arcade. Y a juste un niveau manquant. Après, la console est tirée dans ses derniers retranchements mais c'est pas ça.
Shadow Dancer c'est un gameplay rigide et old school comme Shinobi mais putain que c'est bon.
Tu veux dire que tu as là, le Shadow Dancer que je voyais à l'époque (auquel j'avais joué biensur ! ) au bar du coin de ma rue !? Veinard va ! Mais bon :
Je me rappelle de la déception que j'avais eue en jouant pour la première fois à Shadow Dancer sur Megadrive. J'avais appris qu'il s'agissait d'une suite de Shinobi et je m'étais précipité desuss, m'attendant à un jeu beaucoup plus proche de "Return of Shinobi" Je ne me rappelle plus très bien mais il est même possible que je l'ai acquis après Shinobi III, ce qui n'a dû qu'augmenter la douche froide. Du coup, je n'avais dû faire que les 2 premiers stages avant de laisser tomber, le gameplay "rigide" comme dit Krétinou, tranchait trop avec la liberté de mouvement des 2 autres épisodes cités ci-dessus. Aujourd'hui si j'y rejouais, j'aurais sans doute un regard moins critique.
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