Crise cardiaque en 2002 pour mon père (un fou de boulot)...on se dit que cela n'arrive qu'aux autres...au coup de tel, on ne se rend pas compte tout de suite de la gravité de la chose: perdre un parent...j'ai mis 1h00 avant de fondre en larmes.
C'est un mal pour un bien: j'ai été par la suite plus complice avec lui...
C'est un mal pour un bien: j'ai été par la suite plus complice avec lui...

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