Il faut que je vous raconte un truc incroyable.
Tout d'abord, il faut savoir que j'ai maintes et maintes fois repoussé le visionnage de Jodrowsky's Dune, ce qui n'a aucune logique, vu qu'on m'avait un peu spoilé les enjeux du documentaire, et que j'adore Jodorowsky et Moebius.
Il faut aussi prendre en considération qu'il y a quelques jours, j'ai eu l'improbable idée de chercher d'éventuels films d'auteurs sur Prime Video. C'était pas évident mais j'ai quand même retenu My Buddha is Punk (un film documentaire poignant sur les punks en Birmanie) et Táu (ne lisez pas le synopsis).
Et donc, ce soir, je me suis décidé à regarder Táu, avec dans le rôle principal un certain Brontis Jodorowsky, dont j'ignorais jusqu'alors l'existence, même si, il faut l'avouer, son nom au générique m'a quand même intrigué. Mais sur le coup, j'ai regardé le film sans aller chercher de lien de parenté sur Google. Alors, le film était sympa, c'est assez spécial et si à la suite de mon post vous envisagez de le visionner, ne lisez pas le synopsis. Et c'est là que ça devient complètement fou. A la fin du film, je me laisse aller à la "musique" du générique de fin, tout en déviant doucement mon regard de l'écran, comme j'ai l'habitude de le faire à cause de l'agencement de la pièce, pour fixer mon "étagère cinéphile de la fnac" (tu vas comprendre grigri). Et là, il faut savoir qu'il y a 3 pièces qui se détachent du lot : 2 coffrets de 3 films d'Ingmar Bergman (voilà, pour bien branler ton cerveau) et le coffret Jodorowsky (avec Fando et Lis, El Topo et La Montagne Sacrée, rien que ça, tu peux presque sentir l'odeur de la moquette de la fnac). Donc là, c'en est trop, je dégaine mon smartphone, et en effet, Brontis n'est rien d'autre que le fils d'Alejandro Jodorowsky. La boucle est bouclée, je peux enfin aller manger mes spaghettis.
Quelle erreur !
Je mange TOUJOURS dans la cuisine et je met TOUJOURS Arte, peu importe le programme sur lequel je vais tomber, je regarde. D'ailleurs, on allume cette TV avec le bouton Power en façade, personne ne change la chaîne et/ou ne joue avec la télécommande. Ici, c'est Arte madame, on capte pas d'autre chaîne.
Putain grigri, au moment ou la TV s'allume, je tombe pile poil sur l'écran avec la vue du dessus sur les sièges de cinéma rouges qui annonce Jodorowsky's Dune. Je sais même pas comment c'est possible une telle coïncidence. Si j'avais juste mis mon assiette à chauffer avant d'allumer la TV, ça ne serait pas arrivé, alors que là, j'étais à la frame près, après le film du fiston, le coup d'oeil sur le coffret des films du papa et un tour sur la page wikipédia de Brontis, qui intervient dans le documentaire, que j'ai regardé en entier dans la cuisine.
Alors bon, ça va être simple, Jodorowsky's Dune, c'est objectivement génial. Bordel, les punchlines de Michel Seydoux, j'étais pas prêt. A voir absolument. Ne faites pas mon erreur, si vous ne l'avez pas encore vu, n'hésitez pas.
Tout d'abord, il faut savoir que j'ai maintes et maintes fois repoussé le visionnage de Jodrowsky's Dune, ce qui n'a aucune logique, vu qu'on m'avait un peu spoilé les enjeux du documentaire, et que j'adore Jodorowsky et Moebius.
Il faut aussi prendre en considération qu'il y a quelques jours, j'ai eu l'improbable idée de chercher d'éventuels films d'auteurs sur Prime Video. C'était pas évident mais j'ai quand même retenu My Buddha is Punk (un film documentaire poignant sur les punks en Birmanie) et Táu (ne lisez pas le synopsis).
Et donc, ce soir, je me suis décidé à regarder Táu, avec dans le rôle principal un certain Brontis Jodorowsky, dont j'ignorais jusqu'alors l'existence, même si, il faut l'avouer, son nom au générique m'a quand même intrigué. Mais sur le coup, j'ai regardé le film sans aller chercher de lien de parenté sur Google. Alors, le film était sympa, c'est assez spécial et si à la suite de mon post vous envisagez de le visionner, ne lisez pas le synopsis. Et c'est là que ça devient complètement fou. A la fin du film, je me laisse aller à la "musique" du générique de fin, tout en déviant doucement mon regard de l'écran, comme j'ai l'habitude de le faire à cause de l'agencement de la pièce, pour fixer mon "étagère cinéphile de la fnac" (tu vas comprendre grigri). Et là, il faut savoir qu'il y a 3 pièces qui se détachent du lot : 2 coffrets de 3 films d'Ingmar Bergman (voilà, pour bien branler ton cerveau) et le coffret Jodorowsky (avec Fando et Lis, El Topo et La Montagne Sacrée, rien que ça, tu peux presque sentir l'odeur de la moquette de la fnac). Donc là, c'en est trop, je dégaine mon smartphone, et en effet, Brontis n'est rien d'autre que le fils d'Alejandro Jodorowsky. La boucle est bouclée, je peux enfin aller manger mes spaghettis.
Quelle erreur !
Je mange TOUJOURS dans la cuisine et je met TOUJOURS Arte, peu importe le programme sur lequel je vais tomber, je regarde. D'ailleurs, on allume cette TV avec le bouton Power en façade, personne ne change la chaîne et/ou ne joue avec la télécommande. Ici, c'est Arte madame, on capte pas d'autre chaîne.
Putain grigri, au moment ou la TV s'allume, je tombe pile poil sur l'écran avec la vue du dessus sur les sièges de cinéma rouges qui annonce Jodorowsky's Dune. Je sais même pas comment c'est possible une telle coïncidence. Si j'avais juste mis mon assiette à chauffer avant d'allumer la TV, ça ne serait pas arrivé, alors que là, j'étais à la frame près, après le film du fiston, le coup d'oeil sur le coffret des films du papa et un tour sur la page wikipédia de Brontis, qui intervient dans le documentaire, que j'ai regardé en entier dans la cuisine.
Alors bon, ça va être simple, Jodorowsky's Dune, c'est objectivement génial. Bordel, les punchlines de Michel Seydoux, j'étais pas prêt. A voir absolument. Ne faites pas mon erreur, si vous ne l'avez pas encore vu, n'hésitez pas.
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