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Prosternez vous devant l'arme ultime bande d'adolescents imberbes
Plymouth baraccuda version HEMI CUDA (426) 425 HP
Un commentaire laissé par un type l'ayant essayé, poilant:
'ai eu l'occasion d'en conduire une au canada en 2000. Je faisait un stage et j'avais saoulé le patron en lui disant que les américaines c'était de la merde, et que le rendement des moteurs était minable, que Porsche et Ferrari c'est de la vrai sportive, j'en passe... Bref quelques temps après il me présente "mike", heureux proprio d'une 'Cuda 426 hémi; mike me tend les clef sourrir au lèvres en me disant "pour la tenir faut être un pilote"; il m'explique rapidement le mode d'emploi (jamais conduit de boite auto moi avant) et me previent que la bestiole est preparée pour le 1/4 mile. Il la démarre est me dit de prendre le volant: premiére impression le bruit du moulin est terrifiant et réveillerais un mort. Mon objectif assigné par mike et le patron est dans un premier temps de rallier le bout du parking de la boite à environ 3 ou 400m. Comme on me l'a expliquer, j'enclenche le 1 sur la boite auto et j'accélère doucement: 1500, 2000, 2500rpm...rien. La mike me dit d'y aller franchement...
A ce moment la c'est le début des emmerdes: gaz à fond, vers 4500rpm c'est la berrezina, le déluge, la terreur: je sais plus qui je suis ou je suis et qu'est ce qui m'arrive. Au final j'ai fais des zig zag sur une cinquantaine de mètre et j'ai laché la pédale.tous les gars ce sont bien foutu de ma gueule.
Explications: le moulin était équipé d'un blower(genre de compresseur) et de tout le matos nécéssaire pour prendre 7500rpm malgré ces 7L de cylindrée. La boite auto était réglée pour avoir un régime d'accroche vers les 4000 4500rpm, soit le régime de couple maxi, pour des départs cannons.Au final, mike revendiquait 750 canassons sauvages, et moins de 10'' au 1/4 mile. Il ne la prennait jamais en temps normale, c'était juste pour me donnée une leçon sur les "muscle car" américaines.
Moralité: pour les chiffres, je peux pas dire si c'est vrai ou pas. Par contre ce jour la, j'ai compris un certain nombre de chose:
Primo je suis pas un pilote
secundo, j'ai compris le sens du mot muscle dans "muscle car"
tertio, je respecte maintenant toutes les voitures, d'ou qu'elles viennent, avant de les avoir eu en main.
Quatro, j'ai appris à fermer ma gueule
*Ænema:
La dodge charger dont tu parlais je sais plus ou, en disant "c'est
400-500 HP", OK je veux bien mais ces puissances ce sont les dernières versions, fin 70 (68-70), comme toutes les versions hardcore des muscle cars équipé d'un 7L (histoire d'aller au bout des choses avant les normes anti-pollution), ces versions sont inabordables quel que soit le modèle au commun des mortels (plymouth, dodge, chevelle). Pour la Charger c'était un magnum 440 ou un HEMI 426 comme la barracuda (de tête). Voilà je voulais corriger ce petit détail et te ramener à la douce réalité d'opter pour une twingo.
Plymouth baraccuda version HEMI CUDA (426) 425 HP
Un commentaire laissé par un type l'ayant essayé, poilant:
'ai eu l'occasion d'en conduire une au canada en 2000. Je faisait un stage et j'avais saoulé le patron en lui disant que les américaines c'était de la merde, et que le rendement des moteurs était minable, que Porsche et Ferrari c'est de la vrai sportive, j'en passe... Bref quelques temps après il me présente "mike", heureux proprio d'une 'Cuda 426 hémi; mike me tend les clef sourrir au lèvres en me disant "pour la tenir faut être un pilote"; il m'explique rapidement le mode d'emploi (jamais conduit de boite auto moi avant) et me previent que la bestiole est preparée pour le 1/4 mile. Il la démarre est me dit de prendre le volant: premiére impression le bruit du moulin est terrifiant et réveillerais un mort. Mon objectif assigné par mike et le patron est dans un premier temps de rallier le bout du parking de la boite à environ 3 ou 400m. Comme on me l'a expliquer, j'enclenche le 1 sur la boite auto et j'accélère doucement: 1500, 2000, 2500rpm...rien. La mike me dit d'y aller franchement...
A ce moment la c'est le début des emmerdes: gaz à fond, vers 4500rpm c'est la berrezina, le déluge, la terreur: je sais plus qui je suis ou je suis et qu'est ce qui m'arrive. Au final j'ai fais des zig zag sur une cinquantaine de mètre et j'ai laché la pédale.tous les gars ce sont bien foutu de ma gueule.
Explications: le moulin était équipé d'un blower(genre de compresseur) et de tout le matos nécéssaire pour prendre 7500rpm malgré ces 7L de cylindrée. La boite auto était réglée pour avoir un régime d'accroche vers les 4000 4500rpm, soit le régime de couple maxi, pour des départs cannons.Au final, mike revendiquait 750 canassons sauvages, et moins de 10'' au 1/4 mile. Il ne la prennait jamais en temps normale, c'était juste pour me donnée une leçon sur les "muscle car" américaines.
Moralité: pour les chiffres, je peux pas dire si c'est vrai ou pas. Par contre ce jour la, j'ai compris un certain nombre de chose:
Primo je suis pas un pilote
secundo, j'ai compris le sens du mot muscle dans "muscle car"
tertio, je respecte maintenant toutes les voitures, d'ou qu'elles viennent, avant de les avoir eu en main.
Quatro, j'ai appris à fermer ma gueule
*Ænema:
La dodge charger dont tu parlais je sais plus ou, en disant "c'est
400-500 HP", OK je veux bien mais ces puissances ce sont les dernières versions, fin 70 (68-70), comme toutes les versions hardcore des muscle cars équipé d'un 7L (histoire d'aller au bout des choses avant les normes anti-pollution), ces versions sont inabordables quel que soit le modèle au commun des mortels (plymouth, dodge, chevelle). Pour la Charger c'était un magnum 440 ou un HEMI 426 comme la barracuda (de tête). Voilà je voulais corriger ce petit détail et te ramener à la douce réalité d'opter pour une twingo.
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