Mise à jour.
J'ai fini SD Gundam G Generation Genesis sur PS4.
Complètement centralisé sur la chronologie principale de la licence, autrement dit celle de l'Universal Century, cet opus propose (presque) toutes les séries/films la composant (bizarrement il manque tout ce qui touche à V Gundam et F91). Ceux qui ne jurent que par Gundam W par exemple peuvent passer leur chemin.
En plus de ces séries/films, on trouvera des adaptations ou transfuges de romans ou jeux s'inscrivant dans cette timeline. Personnellement il y en a peu que j'ai appréciés car trop sur le thème de la guérilla, que ce soit d'un point de vue du camp allié ou de celui des ennemis.
En effet, un point intéressant (mais perturbant) du jeu, est d'alterner dans quel camp on va se situer. Je dis perturbant car cela n'a aucun sens que notre équipe de héros aide les alliés lors d'une bataille de tel chapitre, puis les ennemis lors de la suivante. Alors ce n'est pas non plus réellement une bataille sur deux, il y a de tout (chapitre intégralement du côté allié par exemple) mais encore une fois question cohérence on repassera. Enfin c'est quand même intéressant d'affronter les personnages/robots qu'on est habitué à contrôler.
Chaque chapitre nous fera revivre les passages importants de chaque licence, leur nombre étant lié au nombre d'épisodes de l'oeuvre (un film représentera forcément moins de batailles qu'une série de 50 épisodes). Une fois tout ceci achevé, on débloquera une bataille spéciale contre le boss de fin ; pas de surprise quant à son identité, mais j'ai bien aimé la manière dont il arrive.
Pour ceux qui tomberont dans le piège, il faudra une centaine d'heures pour remplir les encyclopédies, enfin principalement celle des mobile suits/armors, le reste (fiches de personnages, vaisseaux...) se remplissant tout seul pendant qu'on progresse dans le jeu. Je le dis à chaque fois mais le plaisir des SD Gundam G Generation réside justement dans le fait de collectionner les unités. Alors je ne dis qu'il faut toutes les posséder (il n'y en a pas moins de 458 !) mais les croiser au moins une fois pour les ajouter à son "Pokédex". Pour en obtenir plusieurs possibilités s'offrent au joueur :
- l'achat, tout simplement, avec celles de base ou celles qu'on débloque dans le magasin via des quêtes ;
- l'évolution, principal moyen, en faisant passer des niveaux à une unité, on peut la transformer en mieux, ou en moins bien : pour parcourir toutes les branches de l'organigramme, il faut parfois régresser pour partir dans une autre direction ;
- l'échange ; c'est rare de s'en servir, car seulement disponible après que l'unité ait un peu évolué et que c'est payant. C'est donc uniquement intéressant si l'on a fini une branche et qu'on veut sauter vers une autre ;
- la conception. Très intéressant comme procédé, car en gros on s'inspire de deux unités pour établir les plans d'une autre pour l'ajouter au magasin. L'énorme avantage est que cela ne coute rien, dans le sens où l'on ne sacrifie pas d'unité (puisque ce n'est ni une évolution, ni un échange). Après cela sert surtout pour débloquer des unités très particulières, liées à des personnages précis, qu'on ne peut pas obtenir par les autres biais ;
- enfin la capture, valable uniquement quand on détruit une forteresse d'où viennent de sortir des unités, ou en tuant le leader des renforts spéciaux lorsqu'on réussit le défi optionnel propre à chaque bataille.
Bref il y a de quoi s'occuper.
Les animations de combat sont rapides et pêchues pour la plupart, donc de temps en temps on peut en lancer une ne serait-ce que pour changer la musique (celles créées pour le jeu sont trop peu nombreuses et pas terribles, alors que celles tirées des anime sont un régal).
Techniquement sinon le jeu est assez léger pour une PS4. Il aurait tourné sur une PS3 sans soucis je pense, mais vous l'aurez compris l'intérêt n'est pas là. Cela m'a fait plaisir de rejouer à un SD Gundam G Generation. Je compte prendre Cross Rays mais pas dans l'immédiat, ce serait l'overdose vu "l'investissement" demandé.
J'ai fini SD Gundam G Generation Genesis sur PS4.
Complètement centralisé sur la chronologie principale de la licence, autrement dit celle de l'Universal Century, cet opus propose (presque) toutes les séries/films la composant (bizarrement il manque tout ce qui touche à V Gundam et F91). Ceux qui ne jurent que par Gundam W par exemple peuvent passer leur chemin.
En plus de ces séries/films, on trouvera des adaptations ou transfuges de romans ou jeux s'inscrivant dans cette timeline. Personnellement il y en a peu que j'ai appréciés car trop sur le thème de la guérilla, que ce soit d'un point de vue du camp allié ou de celui des ennemis.
En effet, un point intéressant (mais perturbant) du jeu, est d'alterner dans quel camp on va se situer. Je dis perturbant car cela n'a aucun sens que notre équipe de héros aide les alliés lors d'une bataille de tel chapitre, puis les ennemis lors de la suivante. Alors ce n'est pas non plus réellement une bataille sur deux, il y a de tout (chapitre intégralement du côté allié par exemple) mais encore une fois question cohérence on repassera. Enfin c'est quand même intéressant d'affronter les personnages/robots qu'on est habitué à contrôler.
Chaque chapitre nous fera revivre les passages importants de chaque licence, leur nombre étant lié au nombre d'épisodes de l'oeuvre (un film représentera forcément moins de batailles qu'une série de 50 épisodes). Une fois tout ceci achevé, on débloquera une bataille spéciale contre le boss de fin ; pas de surprise quant à son identité, mais j'ai bien aimé la manière dont il arrive.
Pour ceux qui tomberont dans le piège, il faudra une centaine d'heures pour remplir les encyclopédies, enfin principalement celle des mobile suits/armors, le reste (fiches de personnages, vaisseaux...) se remplissant tout seul pendant qu'on progresse dans le jeu. Je le dis à chaque fois mais le plaisir des SD Gundam G Generation réside justement dans le fait de collectionner les unités. Alors je ne dis qu'il faut toutes les posséder (il n'y en a pas moins de 458 !) mais les croiser au moins une fois pour les ajouter à son "Pokédex". Pour en obtenir plusieurs possibilités s'offrent au joueur :
- l'achat, tout simplement, avec celles de base ou celles qu'on débloque dans le magasin via des quêtes ;
- l'évolution, principal moyen, en faisant passer des niveaux à une unité, on peut la transformer en mieux, ou en moins bien : pour parcourir toutes les branches de l'organigramme, il faut parfois régresser pour partir dans une autre direction ;
- l'échange ; c'est rare de s'en servir, car seulement disponible après que l'unité ait un peu évolué et que c'est payant. C'est donc uniquement intéressant si l'on a fini une branche et qu'on veut sauter vers une autre ;
- la conception. Très intéressant comme procédé, car en gros on s'inspire de deux unités pour établir les plans d'une autre pour l'ajouter au magasin. L'énorme avantage est que cela ne coute rien, dans le sens où l'on ne sacrifie pas d'unité (puisque ce n'est ni une évolution, ni un échange). Après cela sert surtout pour débloquer des unités très particulières, liées à des personnages précis, qu'on ne peut pas obtenir par les autres biais ;
- enfin la capture, valable uniquement quand on détruit une forteresse d'où viennent de sortir des unités, ou en tuant le leader des renforts spéciaux lorsqu'on réussit le défi optionnel propre à chaque bataille.
Bref il y a de quoi s'occuper.
Les animations de combat sont rapides et pêchues pour la plupart, donc de temps en temps on peut en lancer une ne serait-ce que pour changer la musique (celles créées pour le jeu sont trop peu nombreuses et pas terribles, alors que celles tirées des anime sont un régal).
Techniquement sinon le jeu est assez léger pour une PS4. Il aurait tourné sur une PS3 sans soucis je pense, mais vous l'aurez compris l'intérêt n'est pas là. Cela m'a fait plaisir de rejouer à un SD Gundam G Generation. Je compte prendre Cross Rays mais pas dans l'immédiat, ce serait l'overdose vu "l'investissement" demandé.
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