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  • GTA III (PS5) 03/01/2024
    GTA Vice City (PS5) 09/01/2024

    J'ai acheté la compilation GTAIII sur le PS Store. J'avais fait le III sur PC à l'époque et avait du laisser tomber vers les missions impossibles de la fin, à cause de la visée foireuse ou de la mission qui nécessite de ratisser la ville pour trouver des stands à détruire dans un temps imparti. Du die and retry abusif, puisque le temps est séré et qu'après avoir trouvé tous les stands, il faut optimiser l(ordre dans lequel on va les détruire. Sans soluce, c'est décourageant.

    Graphiquement, le jeu tourne en 60fps avec une distance d'affchage gigantesque et des textures refaites. Animations et designs font datés, ce n'est pas gênant, mais ça gâche malgré tout l'immersion. Il y a quelques bugs, mais le jeu se tient.

    Ce n'est pas le cas de Vice City. Je l'avais fais sur PS2 avec la définition et le framerate aux fraises en plus. Le jeu est pétri de bugs. Pnjs dont l'animation ne se déclenchent pas, Piétons qui se mettent à courrir en vitesse accélérée, policier qui sort d'une voiture, voitures en lévitation, éléments du décor bloqués en l'air, etc. Il y a tellement de choses, c'est impossible de tout citer. Je me rappelais avoir arrêté le jeu en cours et j'ai retrouvé l'exact moment ouù j'ai donc laissé tomber.

    À 45% de l'aventure, on termine une mission, puis il n'y plus aucune indication sur le radar et plus d'appel téléphonique. J'avais interpêté ça comme un bug de plus à l'époque et laissé tomber le jeu. En fait, pas du tout, à ce moment du jeu, il n'y a volontairement plus de mission et le jeu ne donne aucun embryon d'indication sur ce qu'il faut faire ensuite. On peut acheter des batiments divers, comme dans le III pour sauvegarder, sauf que certains proposent ici des missions à effectuer (impossible à deviner). Il faut terminer toutes les missions des batiments en question. Le nombre de batiments concernés et leur position ne sont pas indiqués, impossible de deviner non plus. Il y en a 6 et, en zonant sur la carte, j'en avais découvert 3 par hasard. Certains sont vraiment peu visibles et une mission d'un batiment se déclenche différemment des autres. Il s'agit de bateaux en cale et il n'y a pas de halo violet comme pour l'intégralité des autres missions du jeu. Il faut monter sur un bateau et la mission démarre. Comme il n'y a aucun intérêt à monter sur un bateau, on passe forcément à côté.

    Toutes ces missions représentent 45% du jeu et seules certaines suivent l'intrigue principale. Une fois qu'elles sont toutes terminées, les missions de l'histoire principale reprennent (les 10% restants). C'est vraiment une idée complètement débile pour allonger la durée de vie, vue que ce ne sont que des intrigues secondaires.

    Reste GTA San Andreas que j'avais simplement survolé à l'époque.


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    • Mise à jour pour kurush et yori.

      De mon côté j'ai fini Final Fantasy IV Pixel Remaster sur PS4.
      Mon RPG culte, que j'ai fini une bonne vingtaine de fois toutes plateformes confondues : sur SNES la première fois (le choc, malgré un jeu techniquement pas au top), SFC (pour la difficulté réelle), PS, GBA, WonderSwan Color (eh oui !), DS et PSP.
      FF IV est le premier jeu de la saga à réellement développer les personnages, ce qui est une double performance quand on voit à quel point ils sont nombreux. Là on a vraiment des caractères marqués, des secrets, des attitudes qui permettent de s’attacher à tel ou tel perso. Selon les événements, l’équipe sera sans cesse remaniée. Je pense que le mot d’ordre de cet opus est : sacrifice (vous comprendrez en y jouant). À noter que tous ont une classe propre (mage blanc, ninja, etc.), impossible à changer comme dans le précédent, et qu’ils les incarnent à merveille.
      J’avais parlé de la performance assez spectaculaire de FF III concernant la taille de son monde, et ici ce n’est pas mal non plus puisqu’on aura le monde principal (en gros cela représente la Terre), le monde souterrain (moins vaste mais quand même) et on finira carrément sur la Lune !
      Du pur bonheur d'y rejouer dans la gamme Pixel Remaster, même si les réorchestrations ne m'ont pas forcément convaincu. La traduction française est assez bonne malgré une ou deux coquilles (je pense à une arme par exemple, qui change de nom entre le moment où on nous la remet et celui où on la trouve dans son inventaire).
      Seule ombre au tableau, uniquement pour ceux qui chasseront les trophées, ces maudits drops aléatoires aux pourcentages ridicules (et encore, apparemment ils les ont un peu augmentés via une mise à jour) pour récupérer les invocations cachées ou la queue rose. Depuis toujours l'un des intérêts des succès/trophées est d'orienter les joueurs vers des secrets (tels que ceux que j'évoque, que des joueurs de la première heure pourraient encore ignorer), mais là c'est juste gonflant de tuer des monstres jusqu'à ce qu'ils veuillent bien, sur un malentendu, lâcher ces satanés objets.​

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      • 12/01/2024 : Kindgdom hearts : Chain of Memories (GBA).
        Acquis grâce à Yori (Merci !), ce KH a ceci de particulier, qu'il mélange son genre de base (action/aventure) pour y mêler un concept de deck de carte à jouer façon Baiten Kaitos. Concrètement, les cartes du deck enclenchent où une action d'attaque, de magie, d'usage d'item, d'invocation, de la part de votre héros, qui affronte des myriades de monstre dans un RPG/ donjon généré aléatoirement.

        La GBA reste impressionnante, avec un jeu pas vilain, peu de ralentissement, et les thèmes bien connus de la saga agréablement retranscrits, ainsi que quelques cinématiques certes fortement compressé, mais bien présente !

        Bien sûr, plus on avance dans le jeu et plus l'on peut enrichir sont deck de nouvelle carte trouvée sur les ennemis, dans des coffres, ramassé sur le cadavre des boss... à chaque niveau gagné le jeu nous laisse choisir entre augmenter ses HP / Mp - point de cartes autorisées dans son deck - ou une technique spéciale a débloqué En effet, on peut " mettre dans sa manche" jusqu'à trois cartes, qu'on déclenche ensuite d'un coup comme on veut. Ces attaques, en plus d'être souvent dévastatrice, sont beaucoup plus difficiles à contrer pour les ennemis que vos coups de base. Pour le reste, on peut sauter, courir, faire des roulades... la hitbox des ennemis est permissive, et si le système de carte est loin - très loin - d'offrir les possibilités d'un jeu comme magic l'assemblée, il y a tout de même pas mal de variation possible, du plus bourrin qui tape tout droit au fan d'invocation qui crame la moitié de l'écran.

        J'ai fini le jeu en un peu plus de 40h, mais j'ai mis beaucoup de temps à comprendre le système de carte dans sa manche et d'autres subtilité du jeu. je pense qu'il est possible d'aller au bout en deux fois moins de temps. D'autant que le jeu est pensé pour être fait deux fois, une avec le perso principal et l'autre avec son frère/ennemis : Riku. Je ne pense pas faire ce second loop, à priori très proche du premier, à quelques nuances scénaristiques prêt. Car c'est là l'un des points noir du jeu. Si l'on passe des moments agréables (bien que très naïf, Disney oblige) avec Dingo, Donald et quelques personnages tirés de la saga Final Fantasy, les Kingdom Heart se suive et se ressemble : on vous fait miroiter de mystérieux personnages tourmentés, pour vous offrir à la fin... du vent. Mention spéciale pour les membres de " l'organisation" qui allie manque de charisme, objectif flou, dans une intrigue fade, relevé seulement par la présence de quelques boss impressionnant et autres personnages Disney sympathique et leur mélodie enchanteresse.

        Autre souci : dans cette espèce de donjon crawler, les décors sont un peu vides et l'ennuient pointe vite : une fois qu'on s'est bien défoulé, chaque niveau n'est qu'une suite de salle a vidée, avec finalement assez peu de challenge si vous construisez correctement votre deck en le mettant régulièrement à jour. Si les ennemis sont variés dans leur skin, la façon de les tuer l'est beaucoup moins (certains sont simplement plus sensibles à certains éléments, ou sont invincibles de face...), il n'y a que certains boss qui auront le bon goût de faire varier le gameplay pour en venir à bout.

        Bref, loin d'être un mauvais jeu, assez original qui plus est, mais qui souffre de quelques défauts sans lequel il serait devenu un incontournable de la logithèque, déjà exceptionnel, de la GBA.






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        • Nine Years of Shadows (Nintendo Switch) 13/01/2024
          La personne la plus detestable, la plus ignominieuse des forums francais.

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          • Bari-Arm (Sega CD) 14/1/24
            Devastator (Mega CD) 14/1/24
            Annett Futatabi (Mega CD) 14/1/24
            Popful Mail (Sega CD) 15/1/24
            La personne la plus detestable, la plus ignominieuse des forums francais.

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            • Deathsmiles I – Deathsmiles I & II (Switch) 13.01.2024
              Deathsmiles II – Deathsmiles I & II (Switch) 13.01.2024

              Terminé 2 fois en difficulté normale : le premier en arcade et en mode Mega Black Label, le second en arcade et en mode original. Je ne suis pas un fan absolu du genre danmaku et je ne les ai pas suffisamment creusés pour en pondre un véritable test mais voici mon ressenti couché sur ces quelques lignes.

              Deathsmiles est un danmaku horizontal signé Cave, sorti initialement en arcade en 2007. On y incarne des gothiques lolitas aux poitrines généreuses. Elles ne dépareilleraient pas dans les bars à maids d’Akihabara…

              Le premier a de très loin ma faveur, pour son ambiance à la sauce Halloween, sa 3d-précalculée, son bestiaire déjanté (mention spéciale pour Mary, la vache folle géante !), la cohérence de son univers. Le gameplay (identique dans le second opus) peut décontenancer avec un bouton pour tirer vers la gauche, et un autre pour tir vers la droite, mais les vagues d’ennemis exploitent assez bien cette spécificité, vous obligeant régulièrement à switcher entre tir avant et arrière. Comme dans tous les danmaku ou presque, si vous maintenez le tir appuyé, vous ferez plus de dégâts mais vous déplacerez plus lentement en contrepartie. Il existe une attaque de zone assez sympa, et si vous accumulez 1 000 points, vous rentrez en power-up mode pour un maximum de dégâts ! Mention spéciale pour la Toccata de Bach qui accompagne l’affrontement final !

              Le second m’a beaucoup moins inspiré, avec sa 3d négligée (les sprites sont parfois assez moches), ses mouvements de caméra incessants, son thème de Noel plus consensuel. Il n’est pas inintéressant pour autant mais beaucoup moins abouti que le premier opus… Il m’aura moins marqué en tout cas ! Sauf l’Ave Maria de Bach remixé en guise de mélodie du boss de fin ! Le seul intérêt véritable que je trouve à cette suite est la possibilité d’afficher le jeu en plein écran, ce qui ne me semble pas être le cas pour le premier…

              Deathsmiles passe pour le Cave le plus abordable avec sa hitbox très réduite et ses ralentissements très prononcés. J’ai dû seulement cramer seulement 1 continue (certes avec 5 vies) dès mon premier essai donc je valide cette information. Par contre, le second offre un challenge beaucoup plus corsé !

              N’ayant pas de Xbox 360, cette compilation Switch faisait figure d’indispensable ! Dans l’absolu, elle ne présente pas un intérêt fantastique, se contentant de proposer le minimum syndical… Pour la petite histoire, je l’ai acheté chez Friends à Akiba pour 4000¥. La veille était toujours là, avec une bonne grosse crève (elle reniflait non-stop) … Elle était mal en point mais pas autant que son magasin, dont les rayons étaient à moitié vides… Pas sûr que Friends existe toujours lors de mon prochain voyage au Japon !



              Ma note Deathsmiles I : 17.5/20
              Ma note Deathsmiles II : 15.5/20

              Quelques vidéos de l’excellente chaîne YT Vinu Shmup :

              Une vraie review complète :

              https://www.youtube.com/watch?v=QIdkXhgyICM

              Le 1cc commenté sur le premier Deathsmiles (terminé avec Rosa en difficulté normale) :

              https://www.youtube.com/watch?v=yetSdARZgzE&t=0s​

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              • Mise à jour pour ces messieurs.

                Adol : tu enchaînes les WolfTeam.

                kurush : DeathSmiles est surtout abordable par le fait qu'il laisse au joueur le soin de moduler manuellement le rank. Pour une fois on ne le subit pas, ou on n'est pas obligé de le contrôler via des suicides par exemple, c'est à la carte et c'est une idée géniale : le débutant pourra faire une partie complète en rank 1 (le jeu ne s'emballera pas quoi qu'il arrive), le pro jouera entièrement en rank 3 (voire 999 selon le mode) si cela lui chante, et celui qui veut un minimum doser le jeu pourra choisir sur quels stages il veut augmenter/diminuer la difficulté, pour être toujours à l'aise sans s'ennuyer/pester.
                Mais la hitbox réduite, c'est dans tous les Cave (allez à la rigueur elle est plus grosse dans Donpachi on va dire).

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                • The Last Of Us Part 2 Remastered (PS5) 24/01/2024

                  C'est un DLC au jeu original, plus qu'un remaster. Il y a un mode Rogue pour gonfler la durée de vie du jeu, avec tous les artéfacts habituels: stats, points pour acheter armes et items, classsement, etc. La sauce ne prend pas. Autant le remaster du premier était une claque, car il cumulait le réhaussage de la définition avec un solide 60fps, autant celui-ci fait pâle figure car il vient après un patch gratuit sorti il y a deux ans. Le jeu est quand même proposé à 10€ pour ceux qui avaient déjà acheté TLOU2, une bonne chose.

                  J'ai fait un run différent de d'habitude, avec plus d'infiltration, beaucoup de corps à corps, des attaques par derrière et des fuites. En connaissant le chemin à prendre et plus ou moins la position des ennemis, j'ai roulé sur de nombreux passages.

                  Le jeu reste quand même exceptionnel et le soin de la réalisation incroyable.

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                  • Mise à jour pour yori.
                    Tu comptes le refaire en mode grounded + permadeath ?

                    De mon côté j'ai fini God of War: Ragnarök - Valhalla sur PS4, le DLC façon rogue-lite.
                    C'est très rare que je joue à des jeux qui fonctionnent sur ce déroulement (comme chacun le sait, je hais l'aléatoire), mais là comme on peut acheter pas mal de bonus permanents (stats, emplacements de glyphes, etc.), au final le hasard des coffres ne concernera que les attaques runiques, les éventuels effets secondaires et des gains provisoires de stats. Je n'ai pas senti de grosses différences d'un essai à un autre, selon ce que j'obtenais, bon sauf la fois où j'avais ce que je préfère dans cet épisode, à savoir tous les bonus de poison, là oui j'ai tout massacré sur mon passage.
                    Chaque partie se passe ainsi :
                    1. exploration de zones au hasard, tirées de ce qu'on trouvait dans le jeu principal (les 9 royaumes)
                    2. combat contre un mid-boss
                    3. à nouveau exploration aléatoire
                    4. arrivée dans le labyrinthe grec, zone excessivement chiante, car on doit y trouver un certain nombre de failles à fermer. Problèmes : ces failles sont disposées au pif (on peut tomber dessus de manière rapprochée comme très éloignée), et il y a en haut de l'écran une jauge de vie qui fait office d'horloge ; plus le temps passe, plus la jauge change de couleur, et comme ceux qui y ont joué le savent, cela symbolise un écart de puissance avec les ennemis, comme quand on n'est pas assez bien équipé. Donc plus on tourne en rond, plus les ennemis seront coriaces...
                    5. boss final. Alors je vais taire son identité mais c'est une excellente idée d'avoir pensé à lui.
                    En tout et pour tout, on devra le vaincre 4 fois (il est bien évidemment chaque fois plus fort, et change d'arme) pour avancer dans l'histoire.
                    Le point fort de ce DLC, outre le fait qu'il soit gratuit, ce sont toutes les références aux anciens God of War qu'il inclut. Il y aura des anecdotes entre Kratos et Mimir (je trouve les dialogues toujours aussi bien écrits), des clins d'oeil, des apparitions, des scènes revécues. Du tout bon pour les fans.
                    Bref si vous avez aimé Ragnarök, et que vous n'êtes pas allergiques aux rogue-lites, laissez-vous tenter par ce chapitre supplémentaire. Il faut une petite dizaine d'heures pour "tout" faire. J'avoue, je ne vais pas tourner en rond dans les zones jusqu'à tomber sur tous les éléments déblocables ou "grinder" pour avoir Kratos au max, ce qui est inutile de toute façon.​

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                    • Envoyé par Shû Shirakawa Voir le message
                      Mise à jour pour yori.
                      Tu comptes le refaire en mode grounded + permadeath ?

                      De mon côté j'ai fini God of War: Ragnarök - Valhalla sur PS4, le DLC façon rogue-lite.
                      C'est très rare que je joue à des jeux qui fonctionnent sur ce déroulement (comme chacun le sait, je hais l'aléatoire), mais là comme on peut acheter pas mal de bonus permanents (stats, emplacements de glyphes, etc.), au final le hasard des coffres ne concernera que les attaques runiques, les éventuels effets secondaires et des gains provisoires de stats. Je n'ai pas senti de grosses différences d'un essai à un autre, selon ce que j'obtenais, bon sauf la fois où j'avais ce que je préfère dans cet épisode, à savoir tous les bonus de poison, là oui j'ai tout massacré sur mon passage.
                      Chaque partie se passe ainsi :
                      1. exploration de zones au hasard, tirées de ce qu'on trouvait dans le jeu principal (les 9 royaumes)
                      2. combat contre un mid-boss
                      3. à nouveau exploration aléatoire
                      4. arrivée dans le labyrinthe grec, zone excessivement chiante, car on doit y trouver un certain nombre de failles à fermer. Problèmes : ces failles sont disposées au pif (on peut tomber dessus de manière rapprochée comme très éloignée), et il y a en haut de l'écran une jauge de vie qui fait office d'horloge ; plus le temps passe, plus la jauge change de couleur, et comme ceux qui y ont joué le savent, cela symbolise un écart de puissance avec les ennemis, comme quand on n'est pas assez bien équipé. Donc plus on tourne en rond, plus les ennemis seront coriaces...
                      5. boss final. Alors je vais taire son identité mais c'est une excellente idée d'avoir pensé à lui.
                      En tout et pour tout, on devra le vaincre 4 fois (il est bien évidemment chaque fois plus fort, et change d'arme) pour avancer dans l'histoire.
                      Le point fort de ce DLC, outre le fait qu'il soit gratuit, ce sont toutes les références aux anciens God of War qu'il inclut. Il y aura des anecdotes entre Kratos et Mimir (je trouve les dialogues toujours aussi bien écrits), des clins d'oeil, des apparitions, des scènes revécues. Du tout bon pour les fans.
                      Bref si vous avez aimé Ragnarök, et que vous n'êtes pas allergiques aux rogue-lites, laissez-vous tenter par ce chapitre supplémentaire. Il faut une petite dizaine d'heures pour "tout" faire. J'avoue, je ne vais pas tourner en rond dans les zones jusqu'à tomber sur tous les éléments déblocables ou "grinder" pour avoir Kratos au max, ce qui est inutile de toute façon.​
                      Ca me donne envie de rallumer la PS5
                      La personne la plus detestable, la plus ignominieuse des forums francais.

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                      • PAPER MARIO: Sticker Star (3DS) 25.01.2024 (Apparemment le titre est bien en caps lock Shû ^^)

                        Jeu que j'avais commencé aux vacances de la Toussaint espérant le finir rapidement, et que j'aurais finalement picoré jusqu'au dénouement de ce jour.


                        Première incursion pour ma pomme dans le monde du Mario de papier, univers extrêmement bien travaillé et réalisé ! En même temps c'est du Nintendo.
                        La particularité de ce titre est donc que tout tourne autour des autocollants, qui servent aussi bien à attaquer/défendre qu'à débloquer des passages pour continuer l'avancée dans le titre.
                        Peach se fait enlever par Bowser (merci Cpt. Obvious) pendant la fête des stickers, il en revient donc au héros et à Colette (le sticker sidekick) de la sauver et de remettre de l'ordre au royaume.
                        Les combats se jouent au tour par tour en utilisant différents stickers d'attaque (sauts, marteaux, carapaces, ..) ou de défense (champi, casque à pointe,...), une roulette moyennant quelques pièces peut amener un bonus de début de tour ainsi qu'augmenter le nombre d'actions jouées sur ledit tour (jusqu'à 3 actions). Pas de rangs à gagner ici, la seule évolution de Mario consiste à trouver des cœurs (plus ou moins) cachés qui augmentent la barre de vie de 5 pts chacun.
                        Niveau exploration là aussi tout est question de sticker : Colette permet d'utiliser la "papiérisation" qui permet de coller/décoller des stickers du décor ou qu'on peut trouver ça et là, dans le but de les décoller/coller ailleurs. Voici en gros les puzzles qui permettent la progression du jeu.

                        C'est sympa à jouer et ça se finit en une 20aine d'heures
                        le paradoxe féminin

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                        • Mise à jour pour Amano.
                          OK je le note en maj. tel quel alors.^^

                          J'ai fini Echoes of the Fallen (aussi appelé Les Rémanences du ciel), le premier DLC de Final Fantasy XVI.
                          Alors la première chose à dire, c'est que selon les quêtes que vous aurez terminées, ou pas, le DLC ne sera pas forcément accessible. Ce qui a été mon cas, puisque j'ai volontairement repris mon clear data en mode difficile (puisqu'il faut terminer le DLC aussi en difficile) et que dans cette partie, j'avais été le plus possible en ligne droite, donc j'avais zappé quasiment toutes les quêtes annexes.
                          Donc pour vous éclairer, c'est assez simple, le jeu attend qu'on ait définitivement dans son équipe Jill et Joshua, pour accompagner le héros en toute circonstance et pas juste pour le donjon final. Seulement une fois que c'est fait, là on vous prévient que la quête du DLC peut être lancée en allant voir la marchande. Je présume fortement que ce sera la même chose quand le DLC suivant, celui qui portera sur Léviathan, sortira. Au moins on devrait être tranquille.
                          Maintenant pour ce qui est du contenu, question diégèse on n'apprendra pas grand chose de plus au sujet des Célestes, ce peuple avancé qui a précédé l'humanité. Là dessus le jeu ne tient pas ses promesses. Non tout ceci n'est qu'un prétexte pour qu'au bout de l'histoire on puisse affronter Oméga, le super boss optionnel récurrent dans de nombreux épisode. Cette version XVI est assez réussie avec un design type bio-mécanique, un comportement assez agressif, de grosses attaques de zones, et une ultime phase où on doit le tuer avant qu'il n'ait fini de charger une attaque létale. Mais ce n'est même pas le boss qui m'a posé le plus de problèmes dans ce DLC ; j'ai trouvé Angra Mainyu, quelques étages plus bas dans la tour, plus dangereux.
                          Après j'ai apprécié le combat, pour ses différentes phases, la mise en scène et l'équilibrage. Je dis cela à cause du très mauvais souvenir d'Oméga dans Final Fantasy XV Royal Edition où cet ennemi était in-fer-nal. Je sais via interviews des développeurs que c'était voulu, qu'ils voulaient un boss qui calmerait les joueurs, et ils n'avaient que trop bien réussi. Alors oui j'étais surement une fois de plus en "sous-level" mais il pouvait OS les personnages beaucoup trop facilement. C'était pour le coup vraiment exagéré.
                          Là non, c'est comme n'importe quel combat de boss de FF XVI donc long (syndrome sac à PV) mais pas forcément difficile. Je l'ai tué en étant niveau 89, sachant que le cap a été repoussé à 105 pour ceux qui aiment faire du level up.
                          En tout le DLC dure entre deux et trois heures.​

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                          • Mise à jour.

                            J'ai fini Ys III sur PS2.
                            Alors j'ai envie de dire qu'il y a deux manières de voir ce jeu :
                            1. d'un point de vue portage fidèle de l'original sorti 15 ans plus tôt sur PC japonais puis sur de nombreuses consoles (on se souvient ici notamment des versions NEC CD et Mega Drive), c'est sans doute le top. La réalisation ne pousse clairement pas la PS2 dans ses retranchements, c'est de la 2D très propre mais qui pourrait être encore plus belle. L'animation est fluide, les commandes répondent bien, du doublage à gogo, quelques illustrations (là aussi, je pense qu'on pouvait faire mieux), etc. Bref pas un "HD remaster" non plus mais une version clean de chez clean qui respecte à la lettre tous les plans du jeu de départ. Si vous voulez jouer à la meilleure version du III "naturel", alors ce portage PS2 est un bon candidat.
                            2. d'un point de vue global, comprendre en incluant le remake The Oath in Felghana, bon ben c'est vite vu c'est ce dernier qui gagne haut la main. Tout est mieux dans Felghana : plus vaste, plus long, des systèmes en plus dans le gameplay, la bande-son phénoménale (là sur PS2, j'attendais certains thèmes avec impatience, genre le château de Valestein, écrit d'ailleurs "Ballastein" pour l'occasion, et moui, on reconnaît bien sûr mais c'est tellement fade à côté...). Si vous voulez jouer à la version absolue du III, alors non oubliez ce disque PS2 et ruez-vous sur la PSP.
                            Après pour parler un peu du jeu en lui-même, il en avait déçu plus d'un (moi y compris) à l'époque, pour son passage en vue latérale (j'ai toujours aimé faire la comparaison avec Zelda II) et son faible nombre de zones à explorer.
                            Adol peut recourir à des bagues qui utilisent un compteur spécifique, et qui lui octroient des effets secondaires (boost en puissance, en défense, régénération progressive, etc.).
                            Comme ses prédécesseurs, le jeu n'est pas bien long. Seulement trois ou quatre heures suffiront pour le finir. Petit détail sympa pendant le générique de fin : on a droit à une démonstration contre chaque boss pour les affronter comme il se doit (même si souvent, "malheureusement" bourriner s'avère efficace).​

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                            • Je te rejoins.

                              Ys III est le moins bon des YS « anciennes versions », mais bénéficie clairement du meilleur remake dans Felghana. Il faut dire que ce dernier a bien été modifié et retravaillé dans son contenu avec pas mal d’ajouts.

                              YS III dans sa version PCE a cependant peut-être les meilleurs musiques de toute la saga confondue avec le travail remarquable d’arrangements de Ryo Yonemitsu et Keita Hoshi qui subliment les compositions de Mieko Ishikawa (meilleur que Felghana pour le coup pour moi). À faire ou au moins écouté une fois dans sa vie je pense.
                              Dernière modification par msx33, 02 février 2024, 21h54.

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                              • Overcooked ! (PS4) 05.02.2024

                                Fini à 100% en co-op avec ma dulcinée

                                Petit jeu super sympa à jouer obligatoirement en co-opération (on peut switcher entre les 2 persos si on joue en solo mais ce n'est pas pratique et encore moins le but principal du jeu), idéal pour des sessions casu avec des gens qui ne jouent pas souvent au JV.
                                Le but est de cuisiner les différentes commandes (soupes, burgers, fish n' chips,...) de chaque client dans le temps imparti pour chacune d'entre elle, sous peine de pénalité si dépassement. Pour ce faire il faut prendre les ingrédients, les transformer, les assembler et les cuire. Chaque cuisine apporte son lot de difficultés : éléments mobiles, sol glacé, etc...

                                Une vraie bonne surprise, à tel point que l'on va enchaîner avec un DLC puis le 2

                                le paradoxe féminin

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