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- Cette cabale, sur fond de menaces de mort, parfois agrémentés de propos à connotation sexuelle, ou simplement racistes, dont beaucoup détournent volontairement les yeux depuis des années, complices et protégeant les malfaiteurs.
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-Cette petite guerre, dans tous les topics, entre trois protagonistes.
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Envoyé par KaspeR Voir le messageEt après on se demande pourquoi le féminisme...
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Envoyé par kensu Voir le messageLa patrouille de police a quitté l’hôpital après s’être assurée que Yassine M. était bien pris en charge par des infirmiers. "Plus tard, les policiers ont repris contact avec l’hôpital afin de vérifier si la personne avait été gardée en observation. Il s’est avéré qu’elle avait quitté l’hôpital", a détaillé le magistrat.
En cas de suspicion de démence et que l'individu demande un internement de sa propre initiative, c'est qu'il est déjà "loin" dans son état d'alerte.
Comme il est coopérant : on l'accompagne à l'hôpital et attend le verdict du psychiatre : internement d'urgence ou rdv ultérieur.
En fonction de ça, les mesures sont prises.
Le Magistrat est avisé par le Psychiatre lui-même et un procès-verbal est rédigé en urgence.
Dès lors, ce qu'il coince c'est cette notion : les Policiers ont laissé l'individu seul dans une salle d'attente ou c'est le Psychiatre qui a pris la décision d'une procédure non urgente ?
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Envoyé par kensu Voir le messagePourquoi 100?
Tu sais très bien que souvent c'est un rappel à la loi.
Au bout de la 2eme fois tu ne peux plus dire que tu n'etais pas au courant.
Je dis juste qu'il est facile de juger à posteriori.
Et si et si et si...
Pas graveDernière modification par Adol, 13 novembre 2022, 10h33.
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Yori, c'est de l'interprétation
Art. 2. Les mesures de protection ne peuvent être prises, à défaut de tout autre traitement approprié, à l'égard d'un malade mental, que si son état le requiert, soit qu'il mette gravement en péril sa santé et sa sécurité, soit qu'il constitue une menace grave pour la vie ou l'intégrité d'autrui.
L'inadaptation aux valeurs morales, sociales, religieuses, politiques ou autres, ne peut être en soi considérée comme une maladie mentale.
Art. 3. La personne qui se fait librement admettre dans un service psychiatrique peut le quitter à tout moment
Ils ont simplement trouvé qu'il ne constituait pas une menace grave.
Et même s'il était armé mais que tu ne ressens pas une envie de tuer.
S'il était entré dans le commissariat avec un couteau, menaçant de tuer les flics présents et en faisant autre chose que de parler (tentative de poignarder) etc... Il aurait été interné de force je suppose.
Et si tel n'était pas le cas, là on aurait pu y voir une faute.
J'ai vu énormément de personnes bourrées, folles etc.. qui ont tenus des propos graves mais dont tu te disais qu'elles ne passeraient pas à l'acte.
[Envoyé par yori Voir le messageLes propos incohérents étaient des menaces de mort avec un couteau dans la main.
Envoyé par yori Voir le messageDommage, la mort du flic aurait pu être évité. Je pense que le magistrat devrait être démis de ses fonctions et aller en taule. Le type fait le contraire de ce qu'il doit faire et s'en lave les mains pour le moment.
Il y aura une enquête pour savoir ce que le magistrat a fait.
A l'instant T on lui fait une remontée en lui donnant des éléments. Si dans loi il est dit que pour chaque menace il faut internet de force les gens je t'annonce que le système psychiatrique va morfler et qu'on ne soignera pas les cas qui le nécessitent vraiment (effet papillon).
Après tu veux démettre de ses fonctions qui? Tous les gens qui font une erreur et qui causent la mort de qq'un?
Genre une aide administrative de l'était pour un agricole qui n'arrive pas. L'agriculteur se suivie. On fait sauter tous ceux Qui sont responsables de l'erreur?
A être trop rigide on ne fera plus rien sous peine d'avoir des sanctions. Ou alors on va tout robotiser
Et ce qui est bien sur le papier va avoir d'autres répercussions (CF mon exemple sur le système psychiatrique qui arriverait à saturation)
Pour mettre en place une loi, il faut s'assurer qu'on doit en mesure de l'appliquer. C'est pas tjs le cas
Surtout avec la génération de maintenant ou montrer son cul sur internet va leur rapporter plus que d'être médecin, magistrat etc..
Déjà attendons de voir l'enquête etc..
Car souvent on crie au scandale pour rien
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Envoyé par yori Voir le message(peut-être une femme vu le degré d'incompétence).
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Le but de cette loi est justement d'encadrer la privation de liberté.
https://www.ejustice.just.fgov.be/cg...table_name=loi
Copie/colle le passage cité par le journal et tu verras où il se situe dans la loi. C'est le cas général, la procédure Nixon permet de gérer les cas particuliers et d'interner de force.
Les propos incohérents étaient des menaces de mort avec un couteau dans la main.
Dommage, la mort du flic aurait pu être évité. Je pense que le magistrat devrait être démis de ses fonctions et aller en taule. Le type fait le contraire de ce qu'il doit faire et s'en lave les mains pour le moment.
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Envoyé par yori Voir le messageAu lieu de d'appliquer la procédure Nixon qui aurait conduit de force le type dans une unité psychiatrique, le magistrat l'oriente vers un hôpital pour une consultation facultative.
La loi de mise sous protection des malades mentaux date du 26 juin 1990. Elle précise que « la personne qui se fait librement admettre dans un service psychiatrique peut le quitter à tout moment ». Comment cette procédure dite « de Nixon » a montré ses limites ce jeudi ?
https://www.google.com/amp/s/actu17....rroristes.html
Emmené aux urgences psychiatriques le matin
Le procureur de Bruxelles Tim De Wolf a expliqué que, jeudi matin, Yassine M. s’était présenté dans un commissariat bruxellois "en tenant des propos incohérents". "À la demande du magistrat de garde", le suspect a alors été emmené par des policiers aux urgences psychiatriques d’un hôpital bruxellois, mais sans privation de liberté car il ne répondait pas aux critères légaux de l’internement d’office, a-t-on expliqué. "Il était volontaire".
La patrouille de police a quitté l’hôpital après s’être assurée que Yassine M. était bien pris en charge par des infirmiers. "Plus tard, les policiers ont repris contact avec l’hôpital afin de vérifier si la personne avait été gardée en observation. Il s’est avéré qu’elle avait quitté l’hôpital", a détaillé le magistrat. Une enquête "du chef d’assassinat et tentative d’assassinat dans un contexte terroriste", conduite sous la responsabilité du parquet fédéral, a été ouverte. Le suspect sera interrogé dès que son état de santé le permettra.
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Envoyé par kensu Voir le messageComme le dit Anzymus on a surtout un problème de moyen.
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L'histoire est quand même énorme. Le type se pointe jeudi matin dans un commissariat avec un couteau en criant qu'il va tuer un policier. Au lieu de d'appliquer la procédure Nixon qui aurait conduit de force le type dans une unité psychiatrique, le magistrat l'oriente vers un hôpital pour une consultation facultative.
Deux policiers déposent le type à l'hôpital, ne disent rien au personnel de ce qu'il a fait, le laissent dans une salle d'attente et se barrent.
Lorsqu'une infirmière vient le chercher pour son rendez-vous, elle constate qu'il a déjà quitté l'hôpital.
Le soir même, il interpelle une voiture avec deux policiers à l'intérieur. Une fois la vitre baissée, il sort un couteau et plante le 1er, puis le second. Il sera dégommé par un 3ème par la suite.
Il y a une chaîne d'incompétence pas croyable et ces gens sont sensés assurer la sécurité de la population.
Malgré tout, c'est rien comparé à l'assaillant Poisson qui avait tué ses collègues du renseignement français dans leurs bureaux avec un couteau en céramique; alors qu'il était reconnu que c'était un fanatisé.
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Envoyé par Adol Voir le messageCela constitue néanmoins la préméditation, si elle est suivie d'actes derrière, oui.
(D'autant plus quand elle est répétée à de nombreuses reprises de façon écrite sur le web)
La base
Ok donc quelqu'un qui menace un autre de mort, c'est un simple rappel à la loi pour toi.
J'ai peu près compris où tu situes le curseur ^^
Au bout de 100 rappel à la loi, un blâme,
Au bout de 100 blâmes, une mise à pied d'un jour
Continuons, tout va bien.
Tu sais très bien que souvent c'est un rappel à la loi.
Au bout de la 2eme fois tu ne peux plus dire que tu n'etais pas au courant.
Je dis juste qu'il est facile de juger à posteriori.
Et si et si et si...
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