Pas de mon point de vue.
Là, je vais spoiler.
Dans Usual Suspects, Kint crée sciemment un personnage pour échapper à une inculpation. La construction du film repose sur la capacité du narrateur à induire en erreur le spectateur et les enquêteurs.
Dans Fight Club, le narrateur est cliniquement malade. Sa maladie est présente dès le début du film, ce dont le spectateur est témoin sous la forme d'images subliminales. Le narrateur, pas plus que Fincher, ne font rien pour induire le spectateur en erreur.
Le fait que dans les deux films il y ait un personnage "fictif" et "idéalisé", ne suffit pas, selon moi, à tirer un parallèle quant au twist.
Là où on a un narrateur mentalement malade dans Fight Club, on a un Kint manipulateur et parfaitement conscient de ce qu'il fait. Le narrateur de Fight Club se fait tout autant balader que le spectateur; son seul avantage est de raconter ce qui s'est passé, alors que lui est au bout de son histoire.
Là, je vais spoiler.

Dans Usual Suspects, Kint crée sciemment un personnage pour échapper à une inculpation. La construction du film repose sur la capacité du narrateur à induire en erreur le spectateur et les enquêteurs.
Dans Fight Club, le narrateur est cliniquement malade. Sa maladie est présente dès le début du film, ce dont le spectateur est témoin sous la forme d'images subliminales. Le narrateur, pas plus que Fincher, ne font rien pour induire le spectateur en erreur.
Le fait que dans les deux films il y ait un personnage "fictif" et "idéalisé", ne suffit pas, selon moi, à tirer un parallèle quant au twist.
Là où on a un narrateur mentalement malade dans Fight Club, on a un Kint manipulateur et parfaitement conscient de ce qu'il fait. Le narrateur de Fight Club se fait tout autant balader que le spectateur; son seul avantage est de raconter ce qui s'est passé, alors que lui est au bout de son histoire.
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